Catherine Berzolla a fait de la communication non violente son outil de prédilection pour venir en aide aux famille en peine.
Elle raconte : « Parfois, lors d’un conflit, chacun exprime sa souffrance en oubliant l’impact que les mots peuvent avoir sur la personne qui est en face. Et lorsqu’une émotion est trop forte, on peut aussi oublier que nous sommes les seuls responsables de ce que nous ressentons. La communication non violente permet à chacun de poser ses cartes sur la table et d’échanger dans le calme et la bienveillance. Bien souvent, une émotion est simplement la matérialisation d’un besoin qui n’a pas été entendu. Je suis présente pour écouter sans juger et aider les uns et les autres à retrouver leur place. »
Si Catherine connait si bien les blessures de l’âme et les tourments d’un esprit qui n’écoute pas ses insatisfaction, c’est parce son éveil lui a permis de guérir d’une profonde dépression que les professionnel de la santé ne parvenaient pas à soigner. Elle reprend : « Nous sommes le résultat de nos expériences passées, nos croyances profondes trouvent raconte dans notre cercle familial et nos relations antérieures. La psychogénéalogie, le reïki, le lahochi sont autant d’outils qui m’ont permise de m’émanciper de mes barrières mentales. C’est parce que je suis aujourd’hui épanouie et heureuse que je souhaite partager mes outils avec ceux qui en ont besoin. »
Catherine en est persuadée, la solution est d’aimer d’avantage. Ces « petites graines d’amours » qu’elle distille ici et là permettent à tout un chacun d’être plus tolérant avec les autres. Elle termine : « Je ne suis pas une guérisseuse, j’aide simplement,t les personnes qui me consulte à trouver des clefs. C’est ainsi qu’ils parviennent à se guérir eux-même et à retrouver un sentiment d’harmonie dans leur famille. »
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