Au coeur du Parc de la Méditerranée, dans l’enceinte même de la Batterie du Cap Nègre cet incroyable fortification qui date du XIXe siècle, Marie-Line Costantini expose ses oeuvres complexes. De la perception au questionnement du corps, le dessin est en ces lieux « une praxis fondatrice » selon l’artiste même.

Une oeuvre basée sur la condition humaine.

Fabiola Casagrande, adjointe aux maire déléguée à la culture, raconte : « L’oeuvre de Marie-Line Costantini est picturale et basée sur la condition humaine. Entre abstraction et figuration, elle s’exprime de façon originale, avec des matières telles le goudron mêlé à de la peinture à l’huile, de la paraffine et divers composants, des matériaux rebelles qui pour elle offrent des vibrations, de fortes tonalités, de la substance. » Si l’artiste met au centre de ses peintures des corps diaphanes, des silhouettes à peines visibles, des cerveaux et autres constructions « C’est ce qui intrigue le regard », reprend l’élue devant l’assistance venue en nombre pour découvrir l’exposition le jour de son inauguration.

« Révéler les qualités intrinsèques de surface, texture et matière. » 

« La peinture serait-elle une chose impossible qui mène vers ce que l’on ne connaît pas? Interroge la plasticienne, Fallait-il en passer par là pour avoir une vision holistique et perceptive? J’expérimente l’espace et la matière en opérant en série, hors de la Convention (…) Les toiles sont tendues sur châssis et le couleurs préparées à partir de pigments et liants; artisan dans le but de révéler les qualités intrinsèques de surface, texture et matière. (…) La toile, un objet qui met à distance, moi, ceux qui la voient- paradoxale, contradictoire- héritage humaniste. »

Les vidéos d’une chorégraphe  projetées au sous-sol. 

Au sous sol, des vidéos réalisées par  Pascaline Richtarch sont projetées. Elles viennent compléter cette exposition. La chorégraphe, dont une partie importante de son travail est axée sur l’exploration identitaire du corps mélange danse et peinture. Les univers se répondent, les créations des deux artistes fusionnent. Une exposition remarquable à découvrir jusqu’au 20 mars prochain.

Au coeur du Parc de la Méditerranée, dans l’enceinte même de la Batterie du Cap Nègre cet incroyable fortification qui date du XIXe siècle, Marie-Line Costantini expose ses oeuvres complexes. De la perception au questionnement du corps, le dessin est en ces lieux « une praxis fondatrice » selon l’artiste même.

Une oeuvre basée sur la condition humaine.

Fabiola Casagrande, adjointe aux maire déléguée à la culture, raconte : « L’oeuvre de Marie-Line Costantini est picturale et basée sur la condition humaine. Entre abstraction et figuration, elle s’exprime de façon originale, avec des matières telles le goudron mêlé à de la peinture à l’huile, de la paraffine et divers composants, des matériaux rebelles qui pour elle offrent des vibrations, de fortes tonalités, de la substance. » Si l’artiste met au centre de ses peintures des corps diaphanes, des silhouettes à peines visibles, des cerveaux et autres constructions « C’est ce qui intrigue le regard », reprend l’élue devant l’assistance venue en nombre pour découvrir l’exposition le jour de son inauguration.

« Révéler les qualités intrinsèques de surface, texture et matière. » 

« La peinture serait-elle une chose impossible qui mène vers ce que l’on ne connaît pas? Interroge la plasticienne, Fallait-il en passer par là pour avoir une vision holistique et perceptive? J’expérimente l’espace et la matière en opérant en série, hors de la Convention (…) Les toiles sont tendues sur châssis et le couleurs préparées à partir de pigments et liants; artisan dans le but de révéler les qualités intrinsèques de surface, texture et matière. (…) La toile, un objet qui met à distance, moi, ceux qui la voient- paradoxale, contradictoire- héritage humaniste. »

Les vidéos d’une chorégraphe  projetées au sous-sol. 

Au sous sol, des vidéos réalisées par  Pascaline Richtarch sont projetées. Elles viennent compléter cette exposition. La chorégraphe, dont une partie importante de son travail est axée sur l’exploration identitaire du corps mélange danse et peinture. Les univers se répondent, les créations des deux artistes fusionnent. Une exposition remarquable à découvrir jusqu’au 20 mars prochain.

Au coeur du Parc de la Méditerranée, dans l’enceinte même de la Batterie du Cap Nègre cet incroyable fortification qui date du XIXe siècle, Marie-Line Costantini expose ses oeuvres complexes. De la perception au questionnement du corps, le dessin est en ces lieux « une praxis fondatrice » selon l’artiste même.

Une oeuvre basée sur la condition humaine.

Fabiola Casagrande, adjointe aux maire déléguée à la culture, raconte : « L’oeuvre de Marie-Line Costantini est picturale et basée sur la condition humaine. Entre abstraction et figuration, elle s’exprime de façon originale, avec des matières telles le goudron mêlé à de la peinture à l’huile, de la paraffine et divers composants, des matériaux rebelles qui pour elle offrent des vibrations, de fortes tonalités, de la substance. » Si l’artiste met au centre de ses peintures des corps diaphanes, des silhouettes à peines visibles, des cerveaux et autres constructions « C’est ce qui intrigue le regard », reprend l’élue devant l’assistance venue en nombre pour découvrir l’exposition le jour de son inauguration.

« Révéler les qualités intrinsèques de surface, texture et matière. » 

« La peinture serait-elle une chose impossible qui mène vers ce que l’on ne connaît pas? Interroge la plasticienne, Fallait-il en passer par là pour avoir une vision holistique et perceptive? J’expérimente l’espace et la matière en opérant en série, hors de la Convention (…) Les toiles sont tendues sur châssis et le couleurs préparées à partir de pigments et liants; artisan dans le but de révéler les qualités intrinsèques de surface, texture et matière. (…) La toile, un objet qui met à distance, moi, ceux qui la voient- paradoxale, contradictoire- héritage humaniste. »

Les vidéos d’une chorégraphe  projetées au sous-sol. 

Au sous sol, des vidéos réalisées par  Pascaline Richtarch sont projetées. Elles viennent compléter cette exposition. La chorégraphe, dont une partie importante de son travail est axée sur l’exploration identitaire du corps mélange danse et peinture. Les univers se répondent, les créations des deux artistes fusionnent. Une exposition remarquable à découvrir jusqu’au 20 mars prochain.