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dimanche 10 novembre 2024

Les sauveteurs des mers s’entrainent sur les plages de Six-Fours

Les baigneurs des premières heures de la plage du Cros avaient de quoi être surpris ce mercredi matin. En quelques minutes seulement, une trentaine de nageurs sauveteurs ont envahi le sable afin de « multiplier les opérations. »

Les effectifs bientôt au complet. 

Rien de grave, assure cependant Thierry Mas Saint-Guiral, adjoint au marie chargé de la sécurité. « Ce sont de simples exercices pour garder les sauveteurs aguerris. Les postes de secours des plages ont ouvert petit à petit depuis le 1er mai dernier. À présent, les 6 sont en fonction, chaque jour, de 9h à 19h. En tout, il y a une bonne trentaine de nageurs sauveteurs âgés de 18 à 23 ans sur les plages qui sont encadrés eux même par des policiers municipaux de la brigade nautique. Le 7 juillet prochain, sept CRS MNS viendront encore gonfler nos rangs. »

Beaucoup d’interventions mais très peu de blessé. 

Les sauveteurs présents ce jour-là l’atteste, si un bon millier d’interventions ont eu lieu l’année passée durant la saison estivale, très peu étaient en rapport avec du secours à la personne « À peine une vingtaine, poursuit l’élu, et les sauveteurs ont besoin de contacter les pompiers que rarement. Il y a surtout des petits bobos et des soucis d’embarcation. » Sébastien Chrostek, policier municipal membre de la brigade nautique reprend : « Il y a quelques jours, le vent s’est levé d’un coup et nous sommes allés chercher 17 Kayaks dans la journée. Nous sommes sur une plage où il y a beaucoup de loisir de mer, donc nous apportons une assistance lorsque certains peuvent se retrouver en difficulté. Encore un exemple, la semaine dernière, un bateau s’est échoué dans la digue. »

Garder les gestes qui sauvent en tête. 

Thierry Mas Saint-Guiral rebondit : « Et c’est pour cette raison que les exercices sont nécessaires. On espère qu’il n’y aura pas de massage cardiaque à réaliser sur la plage cet été, mais si jamais il y a besoin, ils seront tous prêts. Evidemment, tout ceux qui portent les tee-shirts jaunes sont formés avec diplôme d’état relevant du ministère de l’Intérieur en poche, mais il n’empêche que leur faire répéter les gestes qui sauvent en condition est sécurisant pour tout le monde. » « C’est la troisième fois déjà cette année que nous réalisons l’opération, conclut le policier, et il y en aura d’autres. Cela permet aussi de travailler la cohésion du groupe et de les voir évoluer en situation. Dans la brigade qui les encadre, il y un maître nageur certifié, un coach sportif et un moniteur de secourisme. Autant vous dire qu’ils sont avec des professionnels qui connaissent le métier et qui peuvent détecter la moindre faille. Mais ce sont des bonnes recrues, ils et elles sont tous très sérieux. » 

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Les baigneurs des premières heures de la plage du Cros avaient de quoi être surpris ce mercredi matin. En quelques minutes seulement, une trentaine de nageurs sauveteurs ont envahi le sable afin de « multiplier les opérations. »

Les effectifs bientôt au complet. 

Rien de grave, assure cependant Thierry Mas Saint-Guiral, adjoint au marie chargé de la sécurité. « Ce sont de simples exercices pour garder les sauveteurs aguerris. Les postes de secours des plages ont ouvert petit à petit depuis le 1er mai dernier. À présent, les 6 sont en fonction, chaque jour, de 9h à 19h. En tout, il y a une bonne trentaine de nageurs sauveteurs âgés de 18 à 23 ans sur les plages qui sont encadrés eux même par des policiers municipaux de la brigade nautique. Le 7 juillet prochain, sept CRS MNS viendront encore gonfler nos rangs. »

Beaucoup d’interventions mais très peu de blessé. 

Les sauveteurs présents ce jour-là l’atteste, si un bon millier d’interventions ont eu lieu l’année passée durant la saison estivale, très peu étaient en rapport avec du secours à la personne « À peine une vingtaine, poursuit l’élu, et les sauveteurs ont besoin de contacter les pompiers que rarement. Il y a surtout des petits bobos et des soucis d’embarcation. » Sébastien Chrostek, policier municipal membre de la brigade nautique reprend : « Il y a quelques jours, le vent s’est levé d’un coup et nous sommes allés chercher 17 Kayaks dans la journée. Nous sommes sur une plage où il y a beaucoup de loisir de mer, donc nous apportons une assistance lorsque certains peuvent se retrouver en difficulté. Encore un exemple, la semaine dernière, un bateau s’est échoué dans la digue. »

Garder les gestes qui sauvent en tête. 

Thierry Mas Saint-Guiral rebondit : « Et c’est pour cette raison que les exercices sont nécessaires. On espère qu’il n’y aura pas de massage cardiaque à réaliser sur la plage cet été, mais si jamais il y a besoin, ils seront tous prêts. Evidemment, tout ceux qui portent les tee-shirts jaunes sont formés avec diplôme d’état relevant du ministère de l’Intérieur en poche, mais il n’empêche que leur faire répéter les gestes qui sauvent en condition est sécurisant pour tout le monde. » « C’est la troisième fois déjà cette année que nous réalisons l’opération, conclut le policier, et il y en aura d’autres. Cela permet aussi de travailler la cohésion du groupe et de les voir évoluer en situation. Dans la brigade qui les encadre, il y un maître nageur certifié, un coach sportif et un moniteur de secourisme. Autant vous dire qu’ils sont avec des professionnels qui connaissent le métier et qui peuvent détecter la moindre faille. Mais ce sont des bonnes recrues, ils et elles sont tous très sérieux. » 

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Les effectifs bientôt au complet. 

Rien de grave, assure cependant Thierry Mas Saint-Guiral, adjoint au marie chargé de la sécurité. « Ce sont de simples exercices pour garder les sauveteurs aguerris. Les postes de secours des plages ont ouvert petit à petit depuis le 1er mai dernier. À présent, les 6 sont en fonction, chaque jour, de 9h à 19h. En tout, il y a une bonne trentaine de nageurs sauveteurs âgés de 18 à 23 ans sur les plages qui sont encadrés eux même par des policiers municipaux de la brigade nautique. Le 7 juillet prochain, sept CRS MNS viendront encore gonfler nos rangs. »

Beaucoup d’interventions mais très peu de blessé. 

Les sauveteurs présents ce jour-là l’atteste, si un bon millier d’interventions ont eu lieu l’année passée durant la saison estivale, très peu étaient en rapport avec du secours à la personne « À peine une vingtaine, poursuit l’élu, et les sauveteurs ont besoin de contacter les pompiers que rarement. Il y a surtout des petits bobos et des soucis d’embarcation. » Sébastien Chrostek, policier municipal membre de la brigade nautique reprend : « Il y a quelques jours, le vent s’est levé d’un coup et nous sommes allés chercher 17 Kayaks dans la journée. Nous sommes sur une plage où il y a beaucoup de loisir de mer, donc nous apportons une assistance lorsque certains peuvent se retrouver en difficulté. Encore un exemple, la semaine dernière, un bateau s’est échoué dans la digue. »

Garder les gestes qui sauvent en tête. 

Thierry Mas Saint-Guiral rebondit : « Et c’est pour cette raison que les exercices sont nécessaires. On espère qu’il n’y aura pas de massage cardiaque à réaliser sur la plage cet été, mais si jamais il y a besoin, ils seront tous prêts. Evidemment, tout ceux qui portent les tee-shirts jaunes sont formés avec diplôme d’état relevant du ministère de l’Intérieur en poche, mais il n’empêche que leur faire répéter les gestes qui sauvent en condition est sécurisant pour tout le monde. » « C’est la troisième fois déjà cette année que nous réalisons l’opération, conclut le policier, et il y en aura d’autres. Cela permet aussi de travailler la cohésion du groupe et de les voir évoluer en situation. Dans la brigade qui les encadre, il y un maître nageur certifié, un coach sportif et un moniteur de secourisme. Autant vous dire qu’ils sont avec des professionnels qui connaissent le métier et qui peuvent détecter la moindre faille. Mais ce sont des bonnes recrues, ils et elles sont tous très sérieux. » 

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