Le samedi 18 mars prochain, toute la journée, Linda SCHELL organise une journée d’ateliers au Palais des Congrès à Toulon. Huit entrepreneurs dont Virginie de Lalande (qui a fait la couverture de Forbes en 2020) viendront témoigner de leurs expériences pour aider les nouveaux professionnels à se lancer. « C’est un nouveau défi pour moi. Le but pour les futurs entrepreneurs sera d’obtenir des clefs pour une réussite prochaine ! » 

Si Virginie DeLalande a été cité dans la liste du magazine Forbes qui énumère les 40 femmes les plus inspirantes de l’année 2020, elle a également fait se déplacer une centaine de personnes, quelques mois plus tard, lorsqu’elle est venue parler de son livre « Abandonner ? Jamais! » à la Maison du Patrimoine. Conviée à l’époque par Linda Schell, qui est également secrétaire du CLAB (Comité de Liaison des Associations Bruscaines), celle qui aspire à quitter la Suisse pour le soleil de Six-Fours, sera de retour sur le devant de la scène pour les « Yellow Day ».

Linda raconte : « C’est une des rencontres les plus inspirantes que j’ai eu l’occasion de faire dans ma vie. Je tenais donc à ce que les participants de ma journée autour de l’entrepreneuriat puissent bénéficier de son expérience. À l’âge de 9 mois, on a annoncé à ses parents qu’elle était sourde profonde et qu’elle ne parlerait jamais … elle est aujourd’hui conférencière et a atteint la finale du Grand orale sur France 2! Qui mieux qu’elle pour expliquer l’impact des choix dans une vie et le désir de réaliser ses rêves envers et contre tous? Elle viendra prendre la parole devant le public et répondre à quelques questions. Sept autres experts en leur domaine seront présents pour proposer un atelier aux participants. C’est à ne pas manquer pour ceux qui hésitent à se lancer, les autres qui sont en début de course et évidemment les curieux. »

La passion d’entreprendre depuis plusieurs générations : 

Il y a quelques années de cela, le Brusc perdait une de ses figures locales : Renée Mercheyer. Cette agricultrice au grand coeur qui avait passée sa vie durant, les mains dans la terre pour y faire pousser la vie,   ne comptait jamais ses heures. Tout chez elle, était fait par passion. Lorsque nous l’avions rencontré quelques mois avant sa mort, elle nous avait confiait ne jamais avoir demander ses droits à la retraite: « S’arrêter ? Mais pourquoi faire? Le jour où je n’aurai plus l’envie … alors à quoi bon ? » 

Si dans les années 70 elle avait participé à la « Révolution douce », permettant l’acquisition d’un statut aux yeux de l’Etat pour les femmes d’agriculteur, pour ses vieux jours, elle avait aussi songé à transformer une partie de son exploitation au tourisme. « Une visionnaire qui n’avait peur de rien » tranche Linda Shell sa petite fille. « Avoir Renée pour grand-mère m’a ouvert bien des possibilités je crois. Dans ma famille, lorsqu’on a une idée en tête, et bien il faut y aller. Â l’âge de vingt ans je souhaitais créer ma société dans la communication. Mes parents m’ont dit : « d’accord! Tu as besoin de quoi? ». Et à 21 ans, je créais des sites internets de ma chambre d’adolescente au Brusc et je conversais avec mes clients qui étaient dans la capitale. » Vingt ans plus loin, toujours à la tête de sa structure, Linda forme à présent les autres à la communication.

« Avec le temps, les besoins de mes clients ont évolué. Aujourd’hui, la dynamique est différente. Les gens n’hésitent plus à tout quitter pour se lancer dans un métier passion. Je forme d’ailleurs souvent des personnes très bien installées dans leur vie professionnelle et qui cherchent à renouer avec leurs envies premières. L’année passée, j’ai eu un avocat qui est devenu céramiste, ou encore une directrice des ressources humaines qui travaillait à la capitale et qui a ouvert un atelier de couture dans le sud de la France. » Étant persuadée qu’il suffit de vouloir pour pouvoir, la jeune femme multiplie les rencontres. « On ne me retirera pas de l’idée que la passion est un moteur puissant. Mon rôle est d’aider ces nouveaux chefs d’entreprise à s’installer sur le web et à se démarquer. Sans faire du développement personnel, j’aide ces derniers à prendre conscience de leur potentiel. Parfois, lorsqu’on a une idée, il suffit d’oser ! » 

Le samedi 18 mars prochain, toute la journée, Linda SCHELL organise une journée d’ateliers au Palais des Congrès à Toulon. Huit entrepreneurs dont Virginie de Lalande (qui a fait la couverture de Forbes en 2020) viendront témoigner de leurs expériences pour aider les nouveaux professionnels à se lancer. « C’est un nouveau défi pour moi. Le but pour les futurs entrepreneurs sera d’obtenir des clefs pour une réussite prochaine ! » 

Si Virginie DeLalande a été cité dans la liste du magazine Forbes qui énumère les 40 femmes les plus inspirantes de l’année 2020, elle a également fait se déplacer une centaine de personnes, quelques mois plus tard, lorsqu’elle est venue parler de son livre « Abandonner ? Jamais! » à la Maison du Patrimoine. Conviée à l’époque par Linda Schell, qui est également secrétaire du CLAB (Comité de Liaison des Associations Bruscaines), celle qui aspire à quitter la Suisse pour le soleil de Six-Fours, sera de retour sur le devant de la scène pour les « Yellow Day ».

Linda raconte : « C’est une des rencontres les plus inspirantes que j’ai eu l’occasion de faire dans ma vie. Je tenais donc à ce que les participants de ma journée autour de l’entrepreneuriat puissent bénéficier de son expérience. À l’âge de 9 mois, on a annoncé à ses parents qu’elle était sourde profonde et qu’elle ne parlerait jamais … elle est aujourd’hui conférencière et a atteint la finale du Grand orale sur France 2! Qui mieux qu’elle pour expliquer l’impact des choix dans une vie et le désir de réaliser ses rêves envers et contre tous? Elle viendra prendre la parole devant le public et répondre à quelques questions. Sept autres experts en leur domaine seront présents pour proposer un atelier aux participants. C’est à ne pas manquer pour ceux qui hésitent à se lancer, les autres qui sont en début de course et évidemment les curieux. »

La passion d’entreprendre depuis plusieurs générations : 

Il y a quelques années de cela, le Brusc perdait une de ses figures locales : Renée Mercheyer. Cette agricultrice au grand coeur qui avait passée sa vie durant, les mains dans la terre pour y faire pousser la vie,   ne comptait jamais ses heures. Tout chez elle, était fait par passion. Lorsque nous l’avions rencontré quelques mois avant sa mort, elle nous avait confiait ne jamais avoir demander ses droits à la retraite: « S’arrêter ? Mais pourquoi faire? Le jour où je n’aurai plus l’envie … alors à quoi bon ? » 

Si dans les années 70 elle avait participé à la « Révolution douce », permettant l’acquisition d’un statut aux yeux de l’Etat pour les femmes d’agriculteur, pour ses vieux jours, elle avait aussi songé à transformer une partie de son exploitation au tourisme. « Une visionnaire qui n’avait peur de rien » tranche Linda Shell sa petite fille. « Avoir Renée pour grand-mère m’a ouvert bien des possibilités je crois. Dans ma famille, lorsqu’on a une idée en tête, et bien il faut y aller. Â l’âge de vingt ans je souhaitais créer ma société dans la communication. Mes parents m’ont dit : « d’accord! Tu as besoin de quoi? ». Et à 21 ans, je créais des sites internets de ma chambre d’adolescente au Brusc et je conversais avec mes clients qui étaient dans la capitale. » Vingt ans plus loin, toujours à la tête de sa structure, Linda forme à présent les autres à la communication.

« Avec le temps, les besoins de mes clients ont évolué. Aujourd’hui, la dynamique est différente. Les gens n’hésitent plus à tout quitter pour se lancer dans un métier passion. Je forme d’ailleurs souvent des personnes très bien installées dans leur vie professionnelle et qui cherchent à renouer avec leurs envies premières. L’année passée, j’ai eu un avocat qui est devenu céramiste, ou encore une directrice des ressources humaines qui travaillait à la capitale et qui a ouvert un atelier de couture dans le sud de la France. » Étant persuadée qu’il suffit de vouloir pour pouvoir, la jeune femme multiplie les rencontres. « On ne me retirera pas de l’idée que la passion est un moteur puissant. Mon rôle est d’aider ces nouveaux chefs d’entreprise à s’installer sur le web et à se démarquer. Sans faire du développement personnel, j’aide ces derniers à prendre conscience de leur potentiel. Parfois, lorsqu’on a une idée, il suffit d’oser ! » 

Le samedi 18 mars prochain, toute la journée, Linda SCHELL organise une journée d’ateliers au Palais des Congrès à Toulon. Huit entrepreneurs dont Virginie de Lalande (qui a fait la couverture de Forbes en 2020) viendront témoigner de leurs expériences pour aider les nouveaux professionnels à se lancer. « C’est un nouveau défi pour moi. Le but pour les futurs entrepreneurs sera d’obtenir des clefs pour une réussite prochaine ! » 

Si Virginie DeLalande a été cité dans la liste du magazine Forbes qui énumère les 40 femmes les plus inspirantes de l’année 2020, elle a également fait se déplacer une centaine de personnes, quelques mois plus tard, lorsqu’elle est venue parler de son livre « Abandonner ? Jamais! » à la Maison du Patrimoine. Conviée à l’époque par Linda Schell, qui est également secrétaire du CLAB (Comité de Liaison des Associations Bruscaines), celle qui aspire à quitter la Suisse pour le soleil de Six-Fours, sera de retour sur le devant de la scène pour les « Yellow Day ».

Linda raconte : « C’est une des rencontres les plus inspirantes que j’ai eu l’occasion de faire dans ma vie. Je tenais donc à ce que les participants de ma journée autour de l’entrepreneuriat puissent bénéficier de son expérience. À l’âge de 9 mois, on a annoncé à ses parents qu’elle était sourde profonde et qu’elle ne parlerait jamais … elle est aujourd’hui conférencière et a atteint la finale du Grand orale sur France 2! Qui mieux qu’elle pour expliquer l’impact des choix dans une vie et le désir de réaliser ses rêves envers et contre tous? Elle viendra prendre la parole devant le public et répondre à quelques questions. Sept autres experts en leur domaine seront présents pour proposer un atelier aux participants. C’est à ne pas manquer pour ceux qui hésitent à se lancer, les autres qui sont en début de course et évidemment les curieux. »

La passion d’entreprendre depuis plusieurs générations : 

Il y a quelques années de cela, le Brusc perdait une de ses figures locales : Renée Mercheyer. Cette agricultrice au grand coeur qui avait passée sa vie durant, les mains dans la terre pour y faire pousser la vie,   ne comptait jamais ses heures. Tout chez elle, était fait par passion. Lorsque nous l’avions rencontré quelques mois avant sa mort, elle nous avait confiait ne jamais avoir demander ses droits à la retraite: « S’arrêter ? Mais pourquoi faire? Le jour où je n’aurai plus l’envie … alors à quoi bon ? » 

Si dans les années 70 elle avait participé à la « Révolution douce », permettant l’acquisition d’un statut aux yeux de l’Etat pour les femmes d’agriculteur, pour ses vieux jours, elle avait aussi songé à transformer une partie de son exploitation au tourisme. « Une visionnaire qui n’avait peur de rien » tranche Linda Shell sa petite fille. « Avoir Renée pour grand-mère m’a ouvert bien des possibilités je crois. Dans ma famille, lorsqu’on a une idée en tête, et bien il faut y aller. Â l’âge de vingt ans je souhaitais créer ma société dans la communication. Mes parents m’ont dit : « d’accord! Tu as besoin de quoi? ». Et à 21 ans, je créais des sites internets de ma chambre d’adolescente au Brusc et je conversais avec mes clients qui étaient dans la capitale. » Vingt ans plus loin, toujours à la tête de sa structure, Linda forme à présent les autres à la communication.

« Avec le temps, les besoins de mes clients ont évolué. Aujourd’hui, la dynamique est différente. Les gens n’hésitent plus à tout quitter pour se lancer dans un métier passion. Je forme d’ailleurs souvent des personnes très bien installées dans leur vie professionnelle et qui cherchent à renouer avec leurs envies premières. L’année passée, j’ai eu un avocat qui est devenu céramiste, ou encore une directrice des ressources humaines qui travaillait à la capitale et qui a ouvert un atelier de couture dans le sud de la France. » Étant persuadée qu’il suffit de vouloir pour pouvoir, la jeune femme multiplie les rencontres. « On ne me retirera pas de l’idée que la passion est un moteur puissant. Mon rôle est d’aider ces nouveaux chefs d’entreprise à s’installer sur le web et à se démarquer. Sans faire du développement personnel, j’aide ces derniers à prendre conscience de leur potentiel. Parfois, lorsqu’on a une idée, il suffit d’oser ! »