À l’occasion de la rentrée, la question était sur de nombreuses lèvres. Pour rappel, en centre-ville, à l’emplacement de l’ancienne école Condorcet, un groupe scolaire est en train de sortir de terre. Il contiendra : une école élémentaire de 12 classes pouvant accueillir 336 élèves, une école maternelle de 10 classes pouvant accueillir 280 enfants, un pôle médical et un restaurant scolaire.

Afin de lutter contre le changement climatique, la ville a inscrit ce projet dans une démarche « Bâtiments Durables Méditerranéens ». Cela devrait assurer aux occupants un confort climatique renforcé par la présence de nombreux espaces végétalisés et désimperméabilisés.

Un retard rattrapé et un coût maitrisé. 

En février prochain donc, les élèves de Condorcet feront une seconde rentrée, cette fois-ci, dans un établissement flambant neuf. « Nous avons pour l’heure une quinzaine de jours de retard sur le programme suite à un contre-temps mais nous avons l’intention de le rattraper », assure Jean-Sebastien Vialatte, premier magistrat. L’école maternelle Reynier, elle, sera bientôt déconstruite à son tour.

Concernant les coûts, pour la reconstruction des deux écoles, le prévisionnel du projet estimait à 15,5 millions d’euros hors taxes l’ensemble des travaux, soit 20 millions en tout. La somme avait été avancée avec l’aide de l’Etat, de la Métropole Toulon Provence Méditerranée et de la Région. Malgré l’inflation et les coûts énergétiques en augmentation, là encore, le maire en est certain : « Les coûts sont maîtrisés. Pour le chantier en lui même, il n’y a pas d’envolée des prix, nous tenons nos estimations. Nous allons par contre demander un avenant. Nous souhaitons équiper les classes de brasseurs d’air. Après réflexion, nous nous sommes dits que c’était mieux de le faire dans l’instant plutôt que déranger les élèves après. La commune prendre en charge cet ajout. »

Et les autres écoles ?

Toujours dans le but d’apporter un meilleur confort aux petits êtres qui débutent dans la vie, de nombreux travaux sont en cours dans les autres écoles de la ville. Les cours de récréation doivent être toutes végétalisées à terme et des opérations de réhabilitation ont lieu afin d’isoler au mieux les bâtiments.

Le jour de la rentrée, Jean-Sebastien Vialatte s’est d’ailleurs rendu à l’école Carredon pour souhaiter la bienvenue aux élèves. « Pendant l’été, des travaux ont été effectué par les services municipaux. Là aussi, il était question de rénovation énergétique avec notamment des travaux au niveau de la toiture, l’isolation des murs, la réflection de la façade mais aussi le remplacement de toutes les fenêtres. »

Une salle climatisée dans toutes les écoles ? 

Contre le réchauffement climatique, quelles solutions ? Le maire dit entendre les inquiétudes des parents d’élèves concernant les chaleurs dans les établissements et de nombreux travaux d’isolation sont en cours de réalisation. Mais il ne conçoit pas pour autant de mettre des climatisation dans les classes: « Ce serait une aberration d’un point de vue écologique. Néanmoins, sur l’ensemble des écoles, nous sommes en train de réfléchir a équiper la bibliothèque ou la cantine de ce système. En cas de grosses chaleurs, les enfants auront un endroit pour se rafraichir. » 

« Mea Culpa pour les nuisances occasionnées pendant le concassage du béton »

Depuis la loi anti-gaspillage pour une économie circulaire (AGEC), il n’est plus question de démolir un bâtiment. À présent, il faut le déconstruire afin de permettre aux équipements qui le peuvent encore d’avoir une nouvelle vie. Sur le chantier des écoles, c’est notamment le cas des fenêtres, des équipements sportifs, ou encore des sanitaires. Concernant le béton, il doit être concassé afin d’être réutilisé.

En centre-ville l’opération a occasionné des nuisances pour les riverains. Le premier magistrat promet : « L’acte en lui même est compliqué et on a embêté beaucoup de monde pendant l’été. Mea Culpa. Que les riverains se rassurent,  pour l’école maternelle qui va être déconstruite bientôt, on ne recommencera pas l’opération sur place. Nous sommes en train de chercher une solution. »

Bonne nouvelle pour les tout-petits!

Cette année, 2424 élèves ont fait leur rentrée dans les écoles élémentaires de la ville soit une trentaine de moins que l’année passée. Les places vacantes en maternelle seront mises à disposition des enfants de 2 ans et demi dans le cadre de la scolarisation en Toute Petite Section (TPS).

À l’occasion de la rentrée, la question était sur de nombreuses lèvres. Pour rappel, en centre-ville, à l’emplacement de l’ancienne école Condorcet, un groupe scolaire est en train de sortir de terre. Il contiendra : une école élémentaire de 12 classes pouvant accueillir 336 élèves, une école maternelle de 10 classes pouvant accueillir 280 enfants, un pôle médical et un restaurant scolaire.

Afin de lutter contre le changement climatique, la ville a inscrit ce projet dans une démarche « Bâtiments Durables Méditerranéens ». Cela devrait assurer aux occupants un confort climatique renforcé par la présence de nombreux espaces végétalisés et désimperméabilisés.

Un retard rattrapé et un coût maitrisé. 

En février prochain donc, les élèves de Condorcet feront une seconde rentrée, cette fois-ci, dans un établissement flambant neuf. « Nous avons pour l’heure une quinzaine de jours de retard sur le programme suite à un contre-temps mais nous avons l’intention de le rattraper », assure Jean-Sebastien Vialatte, premier magistrat. L’école maternelle Reynier, elle, sera bientôt déconstruite à son tour.

Concernant les coûts, pour la reconstruction des deux écoles, le prévisionnel du projet estimait à 15,5 millions d’euros hors taxes l’ensemble des travaux, soit 20 millions en tout. La somme avait été avancée avec l’aide de l’Etat, de la Métropole Toulon Provence Méditerranée et de la Région. Malgré l’inflation et les coûts énergétiques en augmentation, là encore, le maire en est certain : « Les coûts sont maîtrisés. Pour le chantier en lui même, il n’y a pas d’envolée des prix, nous tenons nos estimations. Nous allons par contre demander un avenant. Nous souhaitons équiper les classes de brasseurs d’air. Après réflexion, nous nous sommes dits que c’était mieux de le faire dans l’instant plutôt que déranger les élèves après. La commune prendre en charge cet ajout. »

Et les autres écoles ?

Toujours dans le but d’apporter un meilleur confort aux petits êtres qui débutent dans la vie, de nombreux travaux sont en cours dans les autres écoles de la ville. Les cours de récréation doivent être toutes végétalisées à terme et des opérations de réhabilitation ont lieu afin d’isoler au mieux les bâtiments.

Le jour de la rentrée, Jean-Sebastien Vialatte s’est d’ailleurs rendu à l’école Carredon pour souhaiter la bienvenue aux élèves. « Pendant l’été, des travaux ont été effectué par les services municipaux. Là aussi, il était question de rénovation énergétique avec notamment des travaux au niveau de la toiture, l’isolation des murs, la réflection de la façade mais aussi le remplacement de toutes les fenêtres. »

Une salle climatisée dans toutes les écoles ? 

Contre le réchauffement climatique, quelles solutions ? Le maire dit entendre les inquiétudes des parents d’élèves concernant les chaleurs dans les établissements et de nombreux travaux d’isolation sont en cours de réalisation. Mais il ne conçoit pas pour autant de mettre des climatisation dans les classes: « Ce serait une aberration d’un point de vue écologique. Néanmoins, sur l’ensemble des écoles, nous sommes en train de réfléchir a équiper la bibliothèque ou la cantine de ce système. En cas de grosses chaleurs, les enfants auront un endroit pour se rafraichir. » 

« Mea Culpa pour les nuisances occasionnées pendant le concassage du béton »

Depuis la loi anti-gaspillage pour une économie circulaire (AGEC), il n’est plus question de démolir un bâtiment. À présent, il faut le déconstruire afin de permettre aux équipements qui le peuvent encore d’avoir une nouvelle vie. Sur le chantier des écoles, c’est notamment le cas des fenêtres, des équipements sportifs, ou encore des sanitaires. Concernant le béton, il doit être concassé afin d’être réutilisé.

En centre-ville l’opération a occasionné des nuisances pour les riverains. Le premier magistrat promet : « L’acte en lui même est compliqué et on a embêté beaucoup de monde pendant l’été. Mea Culpa. Que les riverains se rassurent,  pour l’école maternelle qui va être déconstruite bientôt, on ne recommencera pas l’opération sur place. Nous sommes en train de chercher une solution. »

Bonne nouvelle pour les tout-petits!

Cette année, 2424 élèves ont fait leur rentrée dans les écoles élémentaires de la ville soit une trentaine de moins que l’année passée. Les places vacantes en maternelle seront mises à disposition des enfants de 2 ans et demi dans le cadre de la scolarisation en Toute Petite Section (TPS).

À l’occasion de la rentrée, la question était sur de nombreuses lèvres. Pour rappel, en centre-ville, à l’emplacement de l’ancienne école Condorcet, un groupe scolaire est en train de sortir de terre. Il contiendra : une école élémentaire de 12 classes pouvant accueillir 336 élèves, une école maternelle de 10 classes pouvant accueillir 280 enfants, un pôle médical et un restaurant scolaire.

Afin de lutter contre le changement climatique, la ville a inscrit ce projet dans une démarche « Bâtiments Durables Méditerranéens ». Cela devrait assurer aux occupants un confort climatique renforcé par la présence de nombreux espaces végétalisés et désimperméabilisés.

Un retard rattrapé et un coût maitrisé. 

En février prochain donc, les élèves de Condorcet feront une seconde rentrée, cette fois-ci, dans un établissement flambant neuf. « Nous avons pour l’heure une quinzaine de jours de retard sur le programme suite à un contre-temps mais nous avons l’intention de le rattraper », assure Jean-Sebastien Vialatte, premier magistrat. L’école maternelle Reynier, elle, sera bientôt déconstruite à son tour.

Concernant les coûts, pour la reconstruction des deux écoles, le prévisionnel du projet estimait à 15,5 millions d’euros hors taxes l’ensemble des travaux, soit 20 millions en tout. La somme avait été avancée avec l’aide de l’Etat, de la Métropole Toulon Provence Méditerranée et de la Région. Malgré l’inflation et les coûts énergétiques en augmentation, là encore, le maire en est certain : « Les coûts sont maîtrisés. Pour le chantier en lui même, il n’y a pas d’envolée des prix, nous tenons nos estimations. Nous allons par contre demander un avenant. Nous souhaitons équiper les classes de brasseurs d’air. Après réflexion, nous nous sommes dits que c’était mieux de le faire dans l’instant plutôt que déranger les élèves après. La commune prendre en charge cet ajout. »

Et les autres écoles ?

Toujours dans le but d’apporter un meilleur confort aux petits êtres qui débutent dans la vie, de nombreux travaux sont en cours dans les autres écoles de la ville. Les cours de récréation doivent être toutes végétalisées à terme et des opérations de réhabilitation ont lieu afin d’isoler au mieux les bâtiments.

Le jour de la rentrée, Jean-Sebastien Vialatte s’est d’ailleurs rendu à l’école Carredon pour souhaiter la bienvenue aux élèves. « Pendant l’été, des travaux ont été effectué par les services municipaux. Là aussi, il était question de rénovation énergétique avec notamment des travaux au niveau de la toiture, l’isolation des murs, la réflection de la façade mais aussi le remplacement de toutes les fenêtres. »

Une salle climatisée dans toutes les écoles ? 

Contre le réchauffement climatique, quelles solutions ? Le maire dit entendre les inquiétudes des parents d’élèves concernant les chaleurs dans les établissements et de nombreux travaux d’isolation sont en cours de réalisation. Mais il ne conçoit pas pour autant de mettre des climatisation dans les classes: « Ce serait une aberration d’un point de vue écologique. Néanmoins, sur l’ensemble des écoles, nous sommes en train de réfléchir a équiper la bibliothèque ou la cantine de ce système. En cas de grosses chaleurs, les enfants auront un endroit pour se rafraichir. » 

« Mea Culpa pour les nuisances occasionnées pendant le concassage du béton »

Depuis la loi anti-gaspillage pour une économie circulaire (AGEC), il n’est plus question de démolir un bâtiment. À présent, il faut le déconstruire afin de permettre aux équipements qui le peuvent encore d’avoir une nouvelle vie. Sur le chantier des écoles, c’est notamment le cas des fenêtres, des équipements sportifs, ou encore des sanitaires. Concernant le béton, il doit être concassé afin d’être réutilisé.

En centre-ville l’opération a occasionné des nuisances pour les riverains. Le premier magistrat promet : « L’acte en lui même est compliqué et on a embêté beaucoup de monde pendant l’été. Mea Culpa. Que les riverains se rassurent,  pour l’école maternelle qui va être déconstruite bientôt, on ne recommencera pas l’opération sur place. Nous sommes en train de chercher une solution. »

Bonne nouvelle pour les tout-petits!

Cette année, 2424 élèves ont fait leur rentrée dans les écoles élémentaires de la ville soit une trentaine de moins que l’année passée. Les places vacantes en maternelle seront mises à disposition des enfants de 2 ans et demi dans le cadre de la scolarisation en Toute Petite Section (TPS).