Dans un courrier adressé aux parents d’élèves des écoles maternelles de la ville, Jean-Sébastien Vialatte, premier magistrat de la commune a fait savoir son attachement à « inscrire l’éducation au rang des priorités. » Pour ce faire, la municipalité souhaite permettre aux plus jeunes de « vivre leur scolarité dans un environnement apaisé, propice à l’apprentissage et au respect mutuel. » 

Il a donc était proposé à chaque parent de répondre à un questionnaire en ligne avant le 19 avril pour savoir si oui ou non, ces derniers seraient satisfaits d’inscrire l’établissement scolaire de leur enfant dans une démarche d’expérimentation de tenue unique dans les écoles afin de lutter contre « la perte de valeurs » des élèves.

Chaque école devra se porter volontaire. 

Sur 449 participants, 75,5% sont favorables à la tenue vestimentaire commune. Pour le maire, l’idée est donc à creuser, mais il faut encore approfondir les désirs des administrés. Il raconte : « Il n’est pas question d’imposer à toutes les écoles une tenue à la rentrée. Il s’agit là d’une expérimentation qui se fera au bon vouloir des parents. Les établissements retenus pour l’expérimentation seront ceux qui se seront portés volontaires par avis favorable de leur Conseil d’école. » Concrètement, à quoi pourraient ressembler donc les petits écoliers de 2024 ? « Pour les écoles concernées, reprend le maire, les élèves être attribués de 4 blouses  gratuitement ( 2 manches longues, 2 manches courtes ). Il appartiendra aux familles de s’assurer de l’entretien du trousseau et d’en vêtir son enfant chaque matin. » 

Si la missive résonne avec une rentrée 2023 mouvementée dans l’actualité, Jean-Sébastien Vialatte, balaie cette idée d’une main avant de conclure : « Nous souhaitons que les élèves aient un sentiment d’appartenance tout en renforçant la cohésion dans les classes. Il n’y a aucune atteinte à la laïcité dans la commune et en maternelle ce serait une première (rires). Nous voulons simplement qu’ils soient moins regardant sur les marques de leurs vêtements plus tard et qu’il n’y aient pas de frontière entre eux. » 

Dans un courrier adressé aux parents d’élèves des écoles maternelles de la ville, Jean-Sébastien Vialatte, premier magistrat de la commune a fait savoir son attachement à « inscrire l’éducation au rang des priorités. » Pour ce faire, la municipalité souhaite permettre aux plus jeunes de « vivre leur scolarité dans un environnement apaisé, propice à l’apprentissage et au respect mutuel. » 

Il a donc était proposé à chaque parent de répondre à un questionnaire en ligne avant le 19 avril pour savoir si oui ou non, ces derniers seraient satisfaits d’inscrire l’établissement scolaire de leur enfant dans une démarche d’expérimentation de tenue unique dans les écoles afin de lutter contre « la perte de valeurs » des élèves.

Chaque école devra se porter volontaire. 

Sur 449 participants, 75,5% sont favorables à la tenue vestimentaire commune. Pour le maire, l’idée est donc à creuser, mais il faut encore approfondir les désirs des administrés. Il raconte : « Il n’est pas question d’imposer à toutes les écoles une tenue à la rentrée. Il s’agit là d’une expérimentation qui se fera au bon vouloir des parents. Les établissements retenus pour l’expérimentation seront ceux qui se seront portés volontaires par avis favorable de leur Conseil d’école. » Concrètement, à quoi pourraient ressembler donc les petits écoliers de 2024 ? « Pour les écoles concernées, reprend le maire, les élèves être attribués de 4 blouses  gratuitement ( 2 manches longues, 2 manches courtes ). Il appartiendra aux familles de s’assurer de l’entretien du trousseau et d’en vêtir son enfant chaque matin. » 

Si la missive résonne avec une rentrée 2023 mouvementée dans l’actualité, Jean-Sébastien Vialatte, balaie cette idée d’une main avant de conclure : « Nous souhaitons que les élèves aient un sentiment d’appartenance tout en renforçant la cohésion dans les classes. Il n’y a aucune atteinte à la laïcité dans la commune et en maternelle ce serait une première (rires). Nous voulons simplement qu’ils soient moins regardant sur les marques de leurs vêtements plus tard et qu’il n’y aient pas de frontière entre eux. » 

Dans un courrier adressé aux parents d’élèves des écoles maternelles de la ville, Jean-Sébastien Vialatte, premier magistrat de la commune a fait savoir son attachement à « inscrire l’éducation au rang des priorités. » Pour ce faire, la municipalité souhaite permettre aux plus jeunes de « vivre leur scolarité dans un environnement apaisé, propice à l’apprentissage et au respect mutuel. » 

Il a donc était proposé à chaque parent de répondre à un questionnaire en ligne avant le 19 avril pour savoir si oui ou non, ces derniers seraient satisfaits d’inscrire l’établissement scolaire de leur enfant dans une démarche d’expérimentation de tenue unique dans les écoles afin de lutter contre « la perte de valeurs » des élèves.

Chaque école devra se porter volontaire. 

Sur 449 participants, 75,5% sont favorables à la tenue vestimentaire commune. Pour le maire, l’idée est donc à creuser, mais il faut encore approfondir les désirs des administrés. Il raconte : « Il n’est pas question d’imposer à toutes les écoles une tenue à la rentrée. Il s’agit là d’une expérimentation qui se fera au bon vouloir des parents. Les établissements retenus pour l’expérimentation seront ceux qui se seront portés volontaires par avis favorable de leur Conseil d’école. » Concrètement, à quoi pourraient ressembler donc les petits écoliers de 2024 ? « Pour les écoles concernées, reprend le maire, les élèves être attribués de 4 blouses  gratuitement ( 2 manches longues, 2 manches courtes ). Il appartiendra aux familles de s’assurer de l’entretien du trousseau et d’en vêtir son enfant chaque matin. » 

Si la missive résonne avec une rentrée 2023 mouvementée dans l’actualité, Jean-Sébastien Vialatte, balaie cette idée d’une main avant de conclure : « Nous souhaitons que les élèves aient un sentiment d’appartenance tout en renforçant la cohésion dans les classes. Il n’y a aucune atteinte à la laïcité dans la commune et en maternelle ce serait une première (rires). Nous voulons simplement qu’ils soient moins regardant sur les marques de leurs vêtements plus tard et qu’il n’y aient pas de frontière entre eux. »