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dimanche 22 juin 2025

Compte-rendu : Une soirée pour inspirer la nouvelle génération d’explorateurs de l’univers

Ce dimanche 27 avril, le cinéma Six N’Étoiles de Six-Fours a vibré au rythme des étoiles à l’occasion d’une soirée exceptionnelle organisée par Le Petit Varois en partenariat avec le club d’astronomie Antarès.

Avant la projection du chef-d’œuvre Interstellar de Christopher Nolan, les spectateurs ont été conviés à une conférence passionnante sur les mystères de l’univers, abordant des concepts aussi fascinants que :

  • ⏳ la relativité du temps,

  • ⚫ les trous noirs,

  • 🪐 la quête de nouveaux mondes habitables,

  • ⚛️ la gravité quantique et les dimensions cachées.

Une salle comble et des échanges inspirants

La salle affichait complet pour l’occasion, et les échanges avec le public ont montré à quel point l’astronomie continue de faire rêver petits et grands. Un immense merci au Six N’Étoiles pour leur accueil chaleureux et à tous ceux qui ont partagé ce voyage interstellaire avec nous!

Crédit photos : Gilles Blanchard

Un hommage au patrimoine local : 

En introduction, Caroline Gonzales, rédactrice en chef du petitvarois.fr  a rappelé l’importance du club Antarès dans le patrimoine scientifique local. Fondé à la fin des années 1950 à La Seyne-sur-Mer, en pleine effervescence de la conquête spatiale, le club est né autour de la passion d’un professeur de mathématiques, M. Jean Pison, et de ses élèves du collège Martini puis du lycée Beaussier.

Avec des moyens de fortune — hublots de bateaux, miroirs récupérés — ces jeunes pionniers construisent leurs premiers télescopes, illustrant à merveille la maxime de Lavoisier : « Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme. » Encore aujourd’hui, les visiteurs de l’observatoire utilisent parfois ces instruments fabriqués à la main il y a près de 70 ans.

Crédit photos : Gilles Blanchard

L’héritage continue

Parmi les anciens membres du club, Rose, aujourd’hui encore investie auprès des scolaires, et Georges Klimoff, devenu expert de la conquête spatiale et qui a été traducteur de Youri Gagarine lors de son passage sur l’île de Bendor, témoignent de l’impact durable de cette aventure humaine.

Tout à droite : Mr Klimoff en sortie avec le club d’astronomie en 1961.
Mr Klimoff était présent pour cet événement. Crédit photos : Gilles Blanchard

Aux jeunes présents dans la salle, un message fort a été lancé par le club d’astronomie : « Ce que vous entreprenez aujourd’hui peut changer votre vie demain. »

La soirée s’est poursuivie entre les mains de Frédéric Capolino et Adrien Cognet, membres actuels du club Antarès, qui ont accompagné les spectateurs dans une exploration scientifique et cinématographique de l’univers, avec Interstellar comme fil rouge.

Un regard vers l’infini

Cette soirée exceptionnelle s’est achevée avec une invitation à rêver un peu plus grand et à continuer de lever les yeux vers les étoiles. Rendez-vous est d’ores et déjà pris pour de nouvelles aventures scientifiques aux côtés du club Antarès !

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Compte-rendu : Une soirée pour inspirer la nouvelle génération d’explorateurs de l’univers

Ce dimanche 27 avril, le cinéma Six N’Étoiles de Six-Fours a vibré au rythme des étoiles à l’occasion d’une soirée exceptionnelle organisée par Le Petit Varois en partenariat avec le club d’astronomie Antarès.

Avant la projection du chef-d’œuvre Interstellar de Christopher Nolan, les spectateurs ont été conviés à une conférence passionnante sur les mystères de l’univers, abordant des concepts aussi fascinants que :

  • ⏳ la relativité du temps,

  • ⚫ les trous noirs,

  • 🪐 la quête de nouveaux mondes habitables,

  • ⚛️ la gravité quantique et les dimensions cachées.

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La salle affichait complet pour l’occasion, et les échanges avec le public ont montré à quel point l’astronomie continue de faire rêver petits et grands. Un immense merci au Six N’Étoiles pour leur accueil chaleureux et à tous ceux qui ont partagé ce voyage interstellaire avec nous!

Crédit photos : Gilles Blanchard

Un hommage au patrimoine local : 

En introduction, Caroline Gonzales, rédactrice en chef du petitvarois.fr  a rappelé l’importance du club Antarès dans le patrimoine scientifique local. Fondé à la fin des années 1950 à La Seyne-sur-Mer, en pleine effervescence de la conquête spatiale, le club est né autour de la passion d’un professeur de mathématiques, M. Jean Pison, et de ses élèves du collège Martini puis du lycée Beaussier.

Avec des moyens de fortune — hublots de bateaux, miroirs récupérés — ces jeunes pionniers construisent leurs premiers télescopes, illustrant à merveille la maxime de Lavoisier : « Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme. » Encore aujourd’hui, les visiteurs de l’observatoire utilisent parfois ces instruments fabriqués à la main il y a près de 70 ans.

Crédit photos : Gilles Blanchard

L’héritage continue

Parmi les anciens membres du club, Rose, aujourd’hui encore investie auprès des scolaires, et Georges Klimoff, devenu expert de la conquête spatiale et qui a été traducteur de Youri Gagarine lors de son passage sur l’île de Bendor, témoignent de l’impact durable de cette aventure humaine.

Tout à droite : Mr Klimoff en sortie avec le club d’astronomie en 1961.
Mr Klimoff était présent pour cet événement. Crédit photos : Gilles Blanchard

Aux jeunes présents dans la salle, un message fort a été lancé par le club d’astronomie : « Ce que vous entreprenez aujourd’hui peut changer votre vie demain. »

La soirée s’est poursuivie entre les mains de Frédéric Capolino et Adrien Cognet, membres actuels du club Antarès, qui ont accompagné les spectateurs dans une exploration scientifique et cinématographique de l’univers, avec Interstellar comme fil rouge.

Un regard vers l’infini

Cette soirée exceptionnelle s’est achevée avec une invitation à rêver un peu plus grand et à continuer de lever les yeux vers les étoiles. Rendez-vous est d’ores et déjà pris pour de nouvelles aventures scientifiques aux côtés du club Antarès !

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Avant la projection du chef-d’œuvre Interstellar de Christopher Nolan, les spectateurs ont été conviés à une conférence passionnante sur les mystères de l’univers, abordant des concepts aussi fascinants que :

  • ⏳ la relativité du temps,

  • ⚫ les trous noirs,

  • 🪐 la quête de nouveaux mondes habitables,

  • ⚛️ la gravité quantique et les dimensions cachées.

Une salle comble et des échanges inspirants

La salle affichait complet pour l’occasion, et les échanges avec le public ont montré à quel point l’astronomie continue de faire rêver petits et grands. Un immense merci au Six N’Étoiles pour leur accueil chaleureux et à tous ceux qui ont partagé ce voyage interstellaire avec nous!

Crédit photos : Gilles Blanchard

Un hommage au patrimoine local : 

En introduction, Caroline Gonzales, rédactrice en chef du petitvarois.fr  a rappelé l’importance du club Antarès dans le patrimoine scientifique local. Fondé à la fin des années 1950 à La Seyne-sur-Mer, en pleine effervescence de la conquête spatiale, le club est né autour de la passion d’un professeur de mathématiques, M. Jean Pison, et de ses élèves du collège Martini puis du lycée Beaussier.

Avec des moyens de fortune — hublots de bateaux, miroirs récupérés — ces jeunes pionniers construisent leurs premiers télescopes, illustrant à merveille la maxime de Lavoisier : « Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme. » Encore aujourd’hui, les visiteurs de l’observatoire utilisent parfois ces instruments fabriqués à la main il y a près de 70 ans.

Crédit photos : Gilles Blanchard

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Parmi les anciens membres du club, Rose, aujourd’hui encore investie auprès des scolaires, et Georges Klimoff, devenu expert de la conquête spatiale et qui a été traducteur de Youri Gagarine lors de son passage sur l’île de Bendor, témoignent de l’impact durable de cette aventure humaine.

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Mr Klimoff était présent pour cet événement. Crédit photos : Gilles Blanchard

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La soirée s’est poursuivie entre les mains de Frédéric Capolino et Adrien Cognet, membres actuels du club Antarès, qui ont accompagné les spectateurs dans une exploration scientifique et cinématographique de l’univers, avec Interstellar comme fil rouge.

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