A Perpignan, lundi 2 novembre, les soignants de l’hôpital ont vu des fleurs pousser… sur leurs voitures. Derrière ce phénomène botanique étonnant se cache Murielle Marcenac, une fleuriste qui voulait remercier ceux qui sont à nouveau en première ligne face à la deuxième vague de contaminations au Covid-19.

Avec les mesures annoncées par le gouvernement, la grossiste ne peut plus vendre ses produits. Ses livraisons ont été refusées ou annulées. “J’ai dû prendre une décision et je ne voulais pas gaspiller. Plutôt que de pleurer je me suis dit qu’il fallait donner le sourire aux gens, surtout en ce moment”, explique la jeune femme de 38 ans, contactée par Le Huffpost.

A Perpignan, lundi 2 novembre, les soignants de l’hôpital ont vu des fleurs pousser… sur leurs voitures. Derrière ce phénomène botanique étonnant se cache Murielle Marcenac, une fleuriste qui voulait remercier ceux qui sont à nouveau en première ligne face à la deuxième vague de contaminations au Covid-19.

Avec les mesures annoncées par le gouvernement, la grossiste ne peut plus vendre ses produits. Ses livraisons ont été refusées ou annulées. “J’ai dû prendre une décision et je ne voulais pas gaspiller. Plutôt que de pleurer je me suis dit qu’il fallait donner le sourire aux gens, surtout en ce moment”, explique la jeune femme de 38 ans, contactée par Le Huffpost.

A Perpignan, lundi 2 novembre, les soignants de l’hôpital ont vu des fleurs pousser… sur leurs voitures. Derrière ce phénomène botanique étonnant se cache Murielle Marcenac, une fleuriste qui voulait remercier ceux qui sont à nouveau en première ligne face à la deuxième vague de contaminations au Covid-19.

Avec les mesures annoncées par le gouvernement, la grossiste ne peut plus vendre ses produits. Ses livraisons ont été refusées ou annulées. “J’ai dû prendre une décision et je ne voulais pas gaspiller. Plutôt que de pleurer je me suis dit qu’il fallait donner le sourire aux gens, surtout en ce moment”, explique la jeune femme de 38 ans, contactée par Le Huffpost.