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vendredi 26 avril 2024

À Lyon, l’artiste Ememem répare les trottoirs avec des mosaïques

Ememem répare avec poésie, couleur et humour les blessures des trottoirs lyonnais. Les fissures, nids de poules ou autres vulgaires trous deviennent de véritables œuvres d’art, grâce à des pièces de faïence ou de mosaïque découpées et posées pour l’occasion. Un programme haut en couleur qui enchante les lyonnais depuis 2016.

Cet artiste qui, par souci d’anonymat, refuse de rencontrer les journalistes.

« Ememem est un personnage bienfaisant bien fêlé. Sans identité propre », se décrit l’artiste. Son pseudonyme lui a été inspiré par le bruit de sa moto qu’il enfourche à chaque sortie nocturne pour aller « flacker » un bout de trottoir dans Lyon. « J’aime cette répétition de syllabes, ça créer un rythme et une musique », explique par écrit à 20 Minutes cet artiste qui, par souci d’anonymat, refuse de rencontrer les journalistes.

« J’aime vraiment l’idée de pouvoir faire renaître les choses, les réinventer. »

Concernant les matériaux qu’il utilise, l’artiste précise au site Rue89Lyon : “J’essaye de récupérer tout ce que je peux. J’aime vraiment l’idée de pouvoir faire renaître les choses, les réinventer. On jette tellement tout tout le temps… Question matériau, je pense que n’importe quoi peut se prêter au flacking, avec la bonne technique. J’essaye plusieurs choses, je privilégie la faïence pour l’instant car j’adore le décalage qu’elle apporte en sortant de l’espace privé de la salle de bain par exemple. Mais j’aime travailler avec tous les matériaux.”

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À Lyon, l’artiste Ememem répare les trottoirs avec des mosaïques

Ememem répare avec poésie, couleur et humour les blessures des trottoirs lyonnais. Les fissures, nids de poules ou autres vulgaires trous deviennent de véritables œuvres d’art, grâce à des pièces de faïence ou de mosaïque découpées et posées pour l’occasion. Un programme haut en couleur qui enchante les lyonnais depuis 2016.

Cet artiste qui, par souci d’anonymat, refuse de rencontrer les journalistes.

« Ememem est un personnage bienfaisant bien fêlé. Sans identité propre », se décrit l’artiste. Son pseudonyme lui a été inspiré par le bruit de sa moto qu’il enfourche à chaque sortie nocturne pour aller « flacker » un bout de trottoir dans Lyon. « J’aime cette répétition de syllabes, ça créer un rythme et une musique », explique par écrit à 20 Minutes cet artiste qui, par souci d’anonymat, refuse de rencontrer les journalistes.

« J’aime vraiment l’idée de pouvoir faire renaître les choses, les réinventer. »

Concernant les matériaux qu’il utilise, l’artiste précise au site Rue89Lyon : “J’essaye de récupérer tout ce que je peux. J’aime vraiment l’idée de pouvoir faire renaître les choses, les réinventer. On jette tellement tout tout le temps… Question matériau, je pense que n’importe quoi peut se prêter au flacking, avec la bonne technique. J’essaye plusieurs choses, je privilégie la faïence pour l’instant car j’adore le décalage qu’elle apporte en sortant de l’espace privé de la salle de bain par exemple. Mais j’aime travailler avec tous les matériaux.”

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Cet artiste qui, par souci d’anonymat, refuse de rencontrer les journalistes.

« Ememem est un personnage bienfaisant bien fêlé. Sans identité propre », se décrit l’artiste. Son pseudonyme lui a été inspiré par le bruit de sa moto qu’il enfourche à chaque sortie nocturne pour aller « flacker » un bout de trottoir dans Lyon. « J’aime cette répétition de syllabes, ça créer un rythme et une musique », explique par écrit à 20 Minutes cet artiste qui, par souci d’anonymat, refuse de rencontrer les journalistes.

« J’aime vraiment l’idée de pouvoir faire renaître les choses, les réinventer. »

Concernant les matériaux qu’il utilise, l’artiste précise au site Rue89Lyon : “J’essaye de récupérer tout ce que je peux. J’aime vraiment l’idée de pouvoir faire renaître les choses, les réinventer. On jette tellement tout tout le temps… Question matériau, je pense que n’importe quoi peut se prêter au flacking, avec la bonne technique. J’essaye plusieurs choses, je privilégie la faïence pour l’instant car j’adore le décalage qu’elle apporte en sortant de l’espace privé de la salle de bain par exemple. Mais j’aime travailler avec tous les matériaux.”

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