Pendant deux semaines, une grande exposition itinérante s’installe dans les jardins de la Maison du Cygne.

Parce que les écrivains sont aussi des artistes, en 2019, la Région Sud, avec à la présidence Renaud Muselier, a créé l’événement « Une année, un auteur » qui a pour but de promouvoir les grands esprits qui ont fait la fierté du Sud. Depuis le 28 mai dernier, c’est Albert Camus, « L’homme révolté » qui succède à Jean-Giono, car « qui mieux que lui pouvait s’inscrire dans la lignée de ces penseurs humanistes qui font la fierté et le socle de notre civilisation ? » explique Sandra Kuntz, conseillère régionale.

Romancier ou essayiste, il fut également journaliste et dramaturge. Amoureux de la vie, cet « étranger », viscéralement ancré dans le sud a su ouvrir la voie du courant littéraire de l’absurde. Son prix Nobel de littérature lui offrit une reconnaissance internationale et lui permit de s’installer à Lourmarin où il repose à présent.

Sur les panneaux de bois qui ont été montés pour l’occasion dans le jardin de la Maison du Cygne, Albert Camus se dévoile jusque dans l’intimité. Son écriture que l’on devine rapide et authentique, les photos qui proviennent de la collection familiale, ses oeuvres, ses pensées. Recopié à la main, cette annotation sur un papier : « À toi qui ne pourras jamais lire ce livre ». Samedi prochain, au même endroit, aura lieu une lecture de correspondance intitulé « Je vous écris comme à mon ami et à mon frère. » Un instant à ne pas manquer, avant que l’exposition ne quitte les lieux le 2 décembre prochain pour poursuivre son périple dans toute la Provence.

À savoir : Albert Camus en chiffre, c’est au total 26 oeuvres ; romans, essais, pièces de théâtre (…), mais aussi 72 traductions de l’Etranger à travers le monde. Aujourd’hui, 176 établissements scolaires portent son nom.

Pendant deux semaines, une grande exposition itinérante s’installe dans les jardins de la Maison du Cygne.

Parce que les écrivains sont aussi des artistes, en 2019, la Région Sud, avec à la présidence Renaud Muselier, a créé l’événement « Une année, un auteur » qui a pour but de promouvoir les grands esprits qui ont fait la fierté du Sud. Depuis le 28 mai dernier, c’est Albert Camus, « L’homme révolté » qui succède à Jean-Giono, car « qui mieux que lui pouvait s’inscrire dans la lignée de ces penseurs humanistes qui font la fierté et le socle de notre civilisation ? » explique Sandra Kuntz, conseillère régionale.

Romancier ou essayiste, il fut également journaliste et dramaturge. Amoureux de la vie, cet « étranger », viscéralement ancré dans le sud a su ouvrir la voie du courant littéraire de l’absurde. Son prix Nobel de littérature lui offrit une reconnaissance internationale et lui permit de s’installer à Lourmarin où il repose à présent.

Sur les panneaux de bois qui ont été montés pour l’occasion dans le jardin de la Maison du Cygne, Albert Camus se dévoile jusque dans l’intimité. Son écriture que l’on devine rapide et authentique, les photos qui proviennent de la collection familiale, ses oeuvres, ses pensées. Recopié à la main, cette annotation sur un papier : « À toi qui ne pourras jamais lire ce livre ». Samedi prochain, au même endroit, aura lieu une lecture de correspondance intitulé « Je vous écris comme à mon ami et à mon frère. » Un instant à ne pas manquer, avant que l’exposition ne quitte les lieux le 2 décembre prochain pour poursuivre son périple dans toute la Provence.

À savoir : Albert Camus en chiffre, c’est au total 26 oeuvres ; romans, essais, pièces de théâtre (…), mais aussi 72 traductions de l’Etranger à travers le monde. Aujourd’hui, 176 établissements scolaires portent son nom.

Pendant deux semaines, une grande exposition itinérante s’installe dans les jardins de la Maison du Cygne.

Parce que les écrivains sont aussi des artistes, en 2019, la Région Sud, avec à la présidence Renaud Muselier, a créé l’événement « Une année, un auteur » qui a pour but de promouvoir les grands esprits qui ont fait la fierté du Sud. Depuis le 28 mai dernier, c’est Albert Camus, « L’homme révolté » qui succède à Jean-Giono, car « qui mieux que lui pouvait s’inscrire dans la lignée de ces penseurs humanistes qui font la fierté et le socle de notre civilisation ? » explique Sandra Kuntz, conseillère régionale.

Romancier ou essayiste, il fut également journaliste et dramaturge. Amoureux de la vie, cet « étranger », viscéralement ancré dans le sud a su ouvrir la voie du courant littéraire de l’absurde. Son prix Nobel de littérature lui offrit une reconnaissance internationale et lui permit de s’installer à Lourmarin où il repose à présent.

Sur les panneaux de bois qui ont été montés pour l’occasion dans le jardin de la Maison du Cygne, Albert Camus se dévoile jusque dans l’intimité. Son écriture que l’on devine rapide et authentique, les photos qui proviennent de la collection familiale, ses oeuvres, ses pensées. Recopié à la main, cette annotation sur un papier : « À toi qui ne pourras jamais lire ce livre ». Samedi prochain, au même endroit, aura lieu une lecture de correspondance intitulé « Je vous écris comme à mon ami et à mon frère. » Un instant à ne pas manquer, avant que l’exposition ne quitte les lieux le 2 décembre prochain pour poursuivre son périple dans toute la Provence.

À savoir : Albert Camus en chiffre, c’est au total 26 oeuvres ; romans, essais, pièces de théâtre (…), mais aussi 72 traductions de l’Etranger à travers le monde. Aujourd’hui, 176 établissements scolaires portent son nom.