Le saviez-vous ?

Au début du XXe siècle, certaines poupées de collection voyageaient avec… un véritable passeport diplomatique ! Considérées comme de précieuses ambassadrices culturelles, elles étaient envoyées à l’étranger pour représenter l’artisanat et le savoir-faire de leur pays lors des grandes expositions internationales.

Bien plus que de simples jouets, les poupées anciennes — qu’elles soient en porcelaine ou en celluloïd — ont longtemps été de véritables objets de luxe. À certaines époques, leur prix pouvait même atteindre l’équivalent de plusieurs mois de salaire d’un ouvrier. Avec le temps, ces poupées sont devenues de petits chefs-d’œuvre de technologie : certaines pouvaient parler, boire, cligner des yeux ou bouger avec une précision étonnante, fascinant autant les enfants que les adultes.

Témoins d’une époque, elles reflètent à la fois les jeux de l’enfance, les modes de vie, mais aussi l’esprit d’une société tout entière. C’est justement cette histoire riche et émouvante qui passionne Pierre et Elisabeth, un couple de collectionneurs qui propose aujourd’hui un atelier découverte autour des poupées anciennes à l’association Bric à Brac.

Depuis une dizaine d’années, ils écument les brocantes, les vide-greniers et les sites d’occasion, à la recherche de ces trésors chargés d’histoires et d’émotions. Pierre raconte :
« Quand nous avons commencé cette collection avec ma femme, nous avons d’abord découvert l’histoire des fabricants de poupées, les grandes entreprises qui ont marqué leur époque. Mais très vite, nous avons compris que derrière chaque poupée, il y a aussi une part d’intime, des souvenirs, parfois même des histoires de famille transmises de génération en génération. »

Il se souvient par exemple de cette poupée Bella de l’après-guerre, dénichée sur Le Bon Coin.
« Elle était dans un état de conservation exceptionnel. Intrigués, nous avons demandé au vendeur comment cela était possible. Il nous a expliqué que la poupée appartenait à sa belle-mère. Petite, si elle avait bien travaillé à l’école et s’était montrée sage toute la semaine, ses parents sortaient la poupée de son carton le dimanche et la déposaient sur son lit. L’enfant avait alors le droit de l’admirer et de jouer autour d’elle. Après son enfance, la poupée est restée précieusement rangée dans un placard, soigneusement conservée jusqu’au décès de cette dame. Elle n’avait jamais quitté sa chambre, ni d’enfant ni d’adulte. »

Des histoires comme celle-ci, Pierre et Elisabeth en ont des dizaines à raconter. Ce matin, ils partageront quelques-unes de ces anecdotes touchantes et viendront accompagnés de certaines petites « stars » de leur collection.

Ce samedi de 10h à 12h à l’association Bric a Brac merveilleux. Venez acheter des jouets anciens ou présenter votre poupée ancienne et raconter son histoire. Adresse : ZI les playes. 50 rue de l’avenir. Pour en savoir plus sur les poupées anciennes : poupees-en-scenes.over-blog.com

Le saviez-vous ?

Au début du XXe siècle, certaines poupées de collection voyageaient avec… un véritable passeport diplomatique ! Considérées comme de précieuses ambassadrices culturelles, elles étaient envoyées à l’étranger pour représenter l’artisanat et le savoir-faire de leur pays lors des grandes expositions internationales.

Bien plus que de simples jouets, les poupées anciennes — qu’elles soient en porcelaine ou en celluloïd — ont longtemps été de véritables objets de luxe. À certaines époques, leur prix pouvait même atteindre l’équivalent de plusieurs mois de salaire d’un ouvrier. Avec le temps, ces poupées sont devenues de petits chefs-d’œuvre de technologie : certaines pouvaient parler, boire, cligner des yeux ou bouger avec une précision étonnante, fascinant autant les enfants que les adultes.

Témoins d’une époque, elles reflètent à la fois les jeux de l’enfance, les modes de vie, mais aussi l’esprit d’une société tout entière. C’est justement cette histoire riche et émouvante qui passionne Pierre et Elisabeth, un couple de collectionneurs qui propose aujourd’hui un atelier découverte autour des poupées anciennes à l’association Bric à Brac.

Depuis une dizaine d’années, ils écument les brocantes, les vide-greniers et les sites d’occasion, à la recherche de ces trésors chargés d’histoires et d’émotions. Pierre raconte :
« Quand nous avons commencé cette collection avec ma femme, nous avons d’abord découvert l’histoire des fabricants de poupées, les grandes entreprises qui ont marqué leur époque. Mais très vite, nous avons compris que derrière chaque poupée, il y a aussi une part d’intime, des souvenirs, parfois même des histoires de famille transmises de génération en génération. »

Il se souvient par exemple de cette poupée Bella de l’après-guerre, dénichée sur Le Bon Coin.
« Elle était dans un état de conservation exceptionnel. Intrigués, nous avons demandé au vendeur comment cela était possible. Il nous a expliqué que la poupée appartenait à sa belle-mère. Petite, si elle avait bien travaillé à l’école et s’était montrée sage toute la semaine, ses parents sortaient la poupée de son carton le dimanche et la déposaient sur son lit. L’enfant avait alors le droit de l’admirer et de jouer autour d’elle. Après son enfance, la poupée est restée précieusement rangée dans un placard, soigneusement conservée jusqu’au décès de cette dame. Elle n’avait jamais quitté sa chambre, ni d’enfant ni d’adulte. »

Des histoires comme celle-ci, Pierre et Elisabeth en ont des dizaines à raconter. Ce matin, ils partageront quelques-unes de ces anecdotes touchantes et viendront accompagnés de certaines petites « stars » de leur collection.

Ce samedi de 10h à 12h à l’association Bric a Brac merveilleux. Venez acheter des jouets anciens ou présenter votre poupée ancienne et raconter son histoire. Adresse : ZI les playes. 50 rue de l’avenir. Pour en savoir plus sur les poupées anciennes : poupees-en-scenes.over-blog.com

Le saviez-vous ?

Au début du XXe siècle, certaines poupées de collection voyageaient avec… un véritable passeport diplomatique ! Considérées comme de précieuses ambassadrices culturelles, elles étaient envoyées à l’étranger pour représenter l’artisanat et le savoir-faire de leur pays lors des grandes expositions internationales.

Bien plus que de simples jouets, les poupées anciennes — qu’elles soient en porcelaine ou en celluloïd — ont longtemps été de véritables objets de luxe. À certaines époques, leur prix pouvait même atteindre l’équivalent de plusieurs mois de salaire d’un ouvrier. Avec le temps, ces poupées sont devenues de petits chefs-d’œuvre de technologie : certaines pouvaient parler, boire, cligner des yeux ou bouger avec une précision étonnante, fascinant autant les enfants que les adultes.

Témoins d’une époque, elles reflètent à la fois les jeux de l’enfance, les modes de vie, mais aussi l’esprit d’une société tout entière. C’est justement cette histoire riche et émouvante qui passionne Pierre et Elisabeth, un couple de collectionneurs qui propose aujourd’hui un atelier découverte autour des poupées anciennes à l’association Bric à Brac.

Depuis une dizaine d’années, ils écument les brocantes, les vide-greniers et les sites d’occasion, à la recherche de ces trésors chargés d’histoires et d’émotions. Pierre raconte :
« Quand nous avons commencé cette collection avec ma femme, nous avons d’abord découvert l’histoire des fabricants de poupées, les grandes entreprises qui ont marqué leur époque. Mais très vite, nous avons compris que derrière chaque poupée, il y a aussi une part d’intime, des souvenirs, parfois même des histoires de famille transmises de génération en génération. »

Il se souvient par exemple de cette poupée Bella de l’après-guerre, dénichée sur Le Bon Coin.
« Elle était dans un état de conservation exceptionnel. Intrigués, nous avons demandé au vendeur comment cela était possible. Il nous a expliqué que la poupée appartenait à sa belle-mère. Petite, si elle avait bien travaillé à l’école et s’était montrée sage toute la semaine, ses parents sortaient la poupée de son carton le dimanche et la déposaient sur son lit. L’enfant avait alors le droit de l’admirer et de jouer autour d’elle. Après son enfance, la poupée est restée précieusement rangée dans un placard, soigneusement conservée jusqu’au décès de cette dame. Elle n’avait jamais quitté sa chambre, ni d’enfant ni d’adulte. »

Des histoires comme celle-ci, Pierre et Elisabeth en ont des dizaines à raconter. Ce matin, ils partageront quelques-unes de ces anecdotes touchantes et viendront accompagnés de certaines petites « stars » de leur collection.

Ce samedi de 10h à 12h à l’association Bric a Brac merveilleux. Venez acheter des jouets anciens ou présenter votre poupée ancienne et raconter son histoire. Adresse : ZI les playes. 50 rue de l’avenir. Pour en savoir plus sur les poupées anciennes : poupees-en-scenes.over-blog.com