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jeudi 21 novembre 2024

Béatrice Deleye, Hypnothérapeute, guérit avec des mots. “L’hypnose, ce n’est pas de la magie, c’est du concret »

Au centre Kennedy, Béatrice Deleye guérit avec des mots. Elle connaît leurs pouvoirs, et sait les dompter. Elle les sélectionne avec précaution, et lorsque sa voix se fait plus douce à votre oreille, et que vous avez la sensation d’être bercé par une douce mélodie, c’est qu’elle chuchote déjà avec votre inconscient.

Une oreille bienveillante :

Béatrice utilise l’hypnose pour lutter contre les addictions et les troubles du comportement. Elle soigne également les blessures et les anxiétés de l’âme. ​Son métier, elle le pratique avec dextérité et passion. Elle raconte : ​“J’ai toujours aimé être à l’écoute des personnes que je rencontre. Depuis l’enfance. Très vite à l’école d’ailleurs, je me suis passionnée pour les langues, la philosophie et les sciences humaines. Certains intérêts sont innés. Moi j’aime dialoguer avec les personnes qui rencontrent des difficultés dans leur quotidien et les aider à aller mieux.”

“C’est lorsque l’esprit s’évapore dans ses rêveries que l’inconscient est à l’écoute”

Elle reprend : ​“L’hypnose, ce n’est pas de la magie, c’est du concret. D’abord il faut comprendre les troubles de la personne que vous avez en face de vous ou ses inquiétudes. Le dialogue est très important. Puis je place le sujet en état de conscience modifié. C’est comme être au petit-matin, entre deux rêves. On est détendu, l’esprit s’évapore dans diverses pensées, mais on est bien présent. C’est là que j’en profite pour dialoguer avec l’inconscient. Lorsque mes clients se sentent apaisés et en sécurité.”

“L’hypnose, ce n’est pas de la magie”

Béatrice a ouvert son cabinet en 2017 et depuis, des jolies histoires, elle en a plein à raconter : ​“Il y a cette femme qui avait une peur panique de l’avion et qui m’a envoyé cet été une carte postale de l’autre bout du monde. Ces personnes qui arrêtent la cigarette au bout de quelques séances, et ces gens qui retrouvent le contrôle de leur vie.”

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Au centre Kennedy, Béatrice Deleye guérit avec des mots. Elle connaît leurs pouvoirs, et sait les dompter. Elle les sélectionne avec précaution, et lorsque sa voix se fait plus douce à votre oreille, et que vous avez la sensation d’être bercé par une douce mélodie, c’est qu’elle chuchote déjà avec votre inconscient.

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Béatrice utilise l’hypnose pour lutter contre les addictions et les troubles du comportement. Elle soigne également les blessures et les anxiétés de l’âme. ​Son métier, elle le pratique avec dextérité et passion. Elle raconte : ​“J’ai toujours aimé être à l’écoute des personnes que je rencontre. Depuis l’enfance. Très vite à l’école d’ailleurs, je me suis passionnée pour les langues, la philosophie et les sciences humaines. Certains intérêts sont innés. Moi j’aime dialoguer avec les personnes qui rencontrent des difficultés dans leur quotidien et les aider à aller mieux.”

“C’est lorsque l’esprit s’évapore dans ses rêveries que l’inconscient est à l’écoute”

Elle reprend : ​“L’hypnose, ce n’est pas de la magie, c’est du concret. D’abord il faut comprendre les troubles de la personne que vous avez en face de vous ou ses inquiétudes. Le dialogue est très important. Puis je place le sujet en état de conscience modifié. C’est comme être au petit-matin, entre deux rêves. On est détendu, l’esprit s’évapore dans diverses pensées, mais on est bien présent. C’est là que j’en profite pour dialoguer avec l’inconscient. Lorsque mes clients se sentent apaisés et en sécurité.”

“L’hypnose, ce n’est pas de la magie”

Béatrice a ouvert son cabinet en 2017 et depuis, des jolies histoires, elle en a plein à raconter : ​“Il y a cette femme qui avait une peur panique de l’avion et qui m’a envoyé cet été une carte postale de l’autre bout du monde. Ces personnes qui arrêtent la cigarette au bout de quelques séances, et ces gens qui retrouvent le contrôle de leur vie.”

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Une oreille bienveillante :

Béatrice utilise l’hypnose pour lutter contre les addictions et les troubles du comportement. Elle soigne également les blessures et les anxiétés de l’âme. ​Son métier, elle le pratique avec dextérité et passion. Elle raconte : ​“J’ai toujours aimé être à l’écoute des personnes que je rencontre. Depuis l’enfance. Très vite à l’école d’ailleurs, je me suis passionnée pour les langues, la philosophie et les sciences humaines. Certains intérêts sont innés. Moi j’aime dialoguer avec les personnes qui rencontrent des difficultés dans leur quotidien et les aider à aller mieux.”

“C’est lorsque l’esprit s’évapore dans ses rêveries que l’inconscient est à l’écoute”

Elle reprend : ​“L’hypnose, ce n’est pas de la magie, c’est du concret. D’abord il faut comprendre les troubles de la personne que vous avez en face de vous ou ses inquiétudes. Le dialogue est très important. Puis je place le sujet en état de conscience modifié. C’est comme être au petit-matin, entre deux rêves. On est détendu, l’esprit s’évapore dans diverses pensées, mais on est bien présent. C’est là que j’en profite pour dialoguer avec l’inconscient. Lorsque mes clients se sentent apaisés et en sécurité.”

“L’hypnose, ce n’est pas de la magie”

Béatrice a ouvert son cabinet en 2017 et depuis, des jolies histoires, elle en a plein à raconter : ​“Il y a cette femme qui avait une peur panique de l’avion et qui m’a envoyé cet été une carte postale de l’autre bout du monde. Ces personnes qui arrêtent la cigarette au bout de quelques séances, et ces gens qui retrouvent le contrôle de leur vie.”

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