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mardi 17 juin 2025

Bien-être animal : le broyage des poussins et la castration à vif des porcelets bientôt interdits en France

C’est la fin annoncée de deux pratiques très controversées utilisées dans l’élevage. Le broyage des poussins et la castration à vif des porcelets seront interdits fin 2021, a annoncé le ministre de l’Agriculture, Didier Guillaume, mardi 28 janvier, au micro de BFMTV et RMC.

27.000 porcelets sont castrés à vif chaque jour en France et près de 50 millions de poussins mâles sont broyés. Pour le broyage des poussins, « l’objectif, c’est de forcer les entreprises, la recherche à faire cela fin 2021, (…) trouver la technique qui marche à grande échelle », a déclaré Didier Guillaume. Venant compléter et renforcer des mesures déjà en vigueur, le plan prévoit d’améliorer la qualité de vie des animaux d’élevage en mettant fin à des pratiques douloureuses.

Le ministre de l’Agriculture a également annoncé avoir, avec notamment l’Allemagne et l’Espagne, décidé la mise en place « à partir de l’année prochaine » d’un étiquetage « sur le bien-être animal ».

« Pas la fin de l’élevage »

« Nous savons que la situation aujourd’hui commence à choquer bon nombre de nos concitoyens », a estimé le ministre au micro de Jean-Marc Bourdin, pour justifier cette meilleure prise en compte du bien-être animal dans l’élevage que veut insuffler le gouvernement. Cette sensibilité n’était peut-être pas celle-là il y a trente ans, mais aujourd’hui c’est réel. » « Le bien-être animal, ce n’est pas la fin de l’élevage, a-t-il poursuivi. C’est le mieux de l’élevage. »

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Bien-être animal : le broyage des poussins et la castration à vif des porcelets bientôt interdits en France

C’est la fin annoncée de deux pratiques très controversées utilisées dans l’élevage. Le broyage des poussins et la castration à vif des porcelets seront interdits fin 2021, a annoncé le ministre de l’Agriculture, Didier Guillaume, mardi 28 janvier, au micro de BFMTV et RMC.

27.000 porcelets sont castrés à vif chaque jour en France et près de 50 millions de poussins mâles sont broyés. Pour le broyage des poussins, « l’objectif, c’est de forcer les entreprises, la recherche à faire cela fin 2021, (…) trouver la technique qui marche à grande échelle », a déclaré Didier Guillaume. Venant compléter et renforcer des mesures déjà en vigueur, le plan prévoit d’améliorer la qualité de vie des animaux d’élevage en mettant fin à des pratiques douloureuses.

Le ministre de l’Agriculture a également annoncé avoir, avec notamment l’Allemagne et l’Espagne, décidé la mise en place « à partir de l’année prochaine » d’un étiquetage « sur le bien-être animal ».

« Pas la fin de l’élevage »

« Nous savons que la situation aujourd’hui commence à choquer bon nombre de nos concitoyens », a estimé le ministre au micro de Jean-Marc Bourdin, pour justifier cette meilleure prise en compte du bien-être animal dans l’élevage que veut insuffler le gouvernement. Cette sensibilité n’était peut-être pas celle-là il y a trente ans, mais aujourd’hui c’est réel. » « Le bien-être animal, ce n’est pas la fin de l’élevage, a-t-il poursuivi. C’est le mieux de l’élevage. »

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C’est la fin annoncée de deux pratiques très controversées utilisées dans l’élevage. Le broyage des poussins et la castration à vif des porcelets seront interdits fin 2021, a annoncé le ministre de l’Agriculture, Didier Guillaume, mardi 28 janvier, au micro de BFMTV et RMC.

27.000 porcelets sont castrés à vif chaque jour en France et près de 50 millions de poussins mâles sont broyés. Pour le broyage des poussins, « l’objectif, c’est de forcer les entreprises, la recherche à faire cela fin 2021, (…) trouver la technique qui marche à grande échelle », a déclaré Didier Guillaume. Venant compléter et renforcer des mesures déjà en vigueur, le plan prévoit d’améliorer la qualité de vie des animaux d’élevage en mettant fin à des pratiques douloureuses.

Le ministre de l’Agriculture a également annoncé avoir, avec notamment l’Allemagne et l’Espagne, décidé la mise en place « à partir de l’année prochaine » d’un étiquetage « sur le bien-être animal ».

« Pas la fin de l’élevage »

« Nous savons que la situation aujourd’hui commence à choquer bon nombre de nos concitoyens », a estimé le ministre au micro de Jean-Marc Bourdin, pour justifier cette meilleure prise en compte du bien-être animal dans l’élevage que veut insuffler le gouvernement. Cette sensibilité n’était peut-être pas celle-là il y a trente ans, mais aujourd’hui c’est réel. » « Le bien-être animal, ce n’est pas la fin de l’élevage, a-t-il poursuivi. C’est le mieux de l’élevage. »

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