Officiellement, l’événement qui se tient à l’espace Malraux à Six-Fours depuis hier est un salon « bien-être », or, une fois que vous aurez passé la porte d’entrée, plusieurs univers s’offriront à vous pour le plus grand plaisir des curieux.
Des producteurs sur place pour vous faire découvrir leur labeur.
Il y a d’abord les traditionnels stands de dégustation de produits locaux : des fruits et des légumes qui proviennent tout droit d’une exploitation, mais aussi de l’huile d’olive, du nougat et des pâtes de fruits qui sont directement réalisées dans un laboratoire à Six-Fours. Pour les goûts, vous n’aurez qu’à vous laissez aller à une dégustation sur place : de la framboise, du citron, du gingembre, vos papilles auront de quoi être émoustillées.
Quelques stands bien-être sont à découvrir.
Un stand de parfums, des créatrices de bijoux, de l’acupuncture avec un professionnel qui vient d’Asie, une magnétiseuse prête à « couper votre feu », des produits de beauté et des soins naturels (…), il y a tout ce dont vous rêvez pour apaiser votre esprit. Nadine, une passante qui s’est laissé tenter par l’expérience dit avoir réussi à « déconnecter le temps d’un instant » pendant un massage réalisé sur place et explique être enthousiasmée à l’idée de pouvoir discuter avec autant de professionnels. « C’est comme faire son marché, mais on repart avec des conseils plutôt que des produits » conclue-t-elle.
Beaucoup d’ésotérisme.
S’il y a tout de même une chose qui différencie ce salon du bien-être avec les habituels, c’est la place de l’ésotérisme, de la magie et de la spiritualité qui est conséquente. Pierres précieuses, livres, tarots à acheter sur place, oracles, bougies sacrées (…) ceux qui sont en quête d’une autre vérité trouveront sans nul doute leur bonheur. Il n’y a d’ailleurs pas moins de trois voyants sur place ainsi qu’une Energeticienne et une « chamane nomade » qui pratique des « guidances d’écritures canalisées« . L’aventure se laisse tenter ! Le salon se tiendra encore dimanche toute la journée, l’entrée est libre.
