Ce lundi soir, les spectateurs plongés dans les salles obscures du Six N’étoiles pourront remonter le temps. Grâce à l’association Lumières Du Sud (LDS), ils plongeront dans les années 1970 pour aller à la rencontres des actrices de l’époque les plus populaires telle Jane Fonda, Jill Clayburgh, Ellen Burstyn ou encore Juliet Berto.

Derrière la caméra : Delphine Seyrig, une actrice dotée de l’une des plus belles et exigeantes filmographies qu’ait compté le cinéma français. En passant hors champs, elle souhaite questionner sur l’expérience féminine dans le milieu. Pendant deux heures, les actrices et la réalisatrice vont livrer un véritable manifeste féministe, comme un #Metoo avant l’heure. Dans un extrait, par exemple, Jane Fonda se livre sur, comment, à ses début, la Warner a essayé de la convaincre de transformer son physique (formes de la mâchoire et nu nez, volume des seins, couleur de cheveux …) pour correspondre aux canons de beauté d’Hollywood.

C’est à découvrir à 20h30 ce lundi. Après la projection, la présidente de LDS tendra le micro à Delphine Seyrig qui a collaboré à l’époque avec la réalisatrice du film, décédée dans les années 1990, en participant au doublage et à la traduction. Les questions du public seront les bienvenues !

Ce lundi soir, les spectateurs plongés dans les salles obscures du Six N’étoiles pourront remonter le temps. Grâce à l’association Lumières Du Sud (LDS), ils plongeront dans les années 1970 pour aller à la rencontres des actrices de l’époque les plus populaires telle Jane Fonda, Jill Clayburgh, Ellen Burstyn ou encore Juliet Berto.

Derrière la caméra : Delphine Seyrig, une actrice dotée de l’une des plus belles et exigeantes filmographies qu’ait compté le cinéma français. En passant hors champs, elle souhaite questionner sur l’expérience féminine dans le milieu. Pendant deux heures, les actrices et la réalisatrice vont livrer un véritable manifeste féministe, comme un #Metoo avant l’heure. Dans un extrait, par exemple, Jane Fonda se livre sur, comment, à ses début, la Warner a essayé de la convaincre de transformer son physique (formes de la mâchoire et nu nez, volume des seins, couleur de cheveux …) pour correspondre aux canons de beauté d’Hollywood.

C’est à découvrir à 20h30 ce lundi. Après la projection, la présidente de LDS tendra le micro à Delphine Seyrig qui a collaboré à l’époque avec la réalisatrice du film, décédée dans les années 1990, en participant au doublage et à la traduction. Les questions du public seront les bienvenues !

Ce lundi soir, les spectateurs plongés dans les salles obscures du Six N’étoiles pourront remonter le temps. Grâce à l’association Lumières Du Sud (LDS), ils plongeront dans les années 1970 pour aller à la rencontres des actrices de l’époque les plus populaires telle Jane Fonda, Jill Clayburgh, Ellen Burstyn ou encore Juliet Berto.

Derrière la caméra : Delphine Seyrig, une actrice dotée de l’une des plus belles et exigeantes filmographies qu’ait compté le cinéma français. En passant hors champs, elle souhaite questionner sur l’expérience féminine dans le milieu. Pendant deux heures, les actrices et la réalisatrice vont livrer un véritable manifeste féministe, comme un #Metoo avant l’heure. Dans un extrait, par exemple, Jane Fonda se livre sur, comment, à ses début, la Warner a essayé de la convaincre de transformer son physique (formes de la mâchoire et nu nez, volume des seins, couleur de cheveux …) pour correspondre aux canons de beauté d’Hollywood.

C’est à découvrir à 20h30 ce lundi. Après la projection, la présidente de LDS tendra le micro à Delphine Seyrig qui a collaboré à l’époque avec la réalisatrice du film, décédée dans les années 1990, en participant au doublage et à la traduction. Les questions du public seront les bienvenues !