Si la Maison du Patrimoine domine les splendeurs de la baie du Brusc, elle conserve également bien des trésors en son sein. Depuis vendredi dernier, les oeuvres de Catherine Monce, photographe et écrivaine se confrontent aux créations de Denis Robinot plasticien qui travaille les pigments et la couleur bleu comme personne. Les deux amis qui aiment à se « challenger » n’en sont pas à leur coup d’essai puisqu’ils ont déjà fait paraître un livre à quatre mains intitulé « Bleu Providence ».

Des oeuvres qui se répondent et entrainent le dialogue. 

Catherine explique : « Notre collaboration fonctionne car nous avons une réelle confiance l’un en l’autre. Il a un certain laisser aller. Ce n’est pas venu du jour au lendemain, nous avons parfois essayé de se mettre à la place de l’autre quand nous étions en train de créer et ça ne fonctionnait pas. Puis nous avons fini par comprendre que chacun devait garder son univers afin de mêler nos oeuvres pour créer un dialogue. Nous avons commencé par un livre commun. Je suis partie de ses créations qui m’ont toujours beaucoup attirées et j’ai écrit. Pour cette exposition, nous faisons l’inverse. J’ai d’abord cherché un thème, le coquillage avec toutes ses symboliques : la féminité, le voyage et le secret. Puis avec plusieurs photographies que j’ai mélangé comme un peintre avec de la peinture par plusieurs touches, j’ai raconté une histoire. Il a fait ses planches plus tard. »

Un espace dédié à chacun. 

Et pour rester fidèle à l’idée initiale qui est d’apporter son univers au labeur de l’autre, les deux artistes ont choisi la Maison du Patrimoine comme écrin. « À l’étage, nous avons chacun un espace qui nous est propre ou nous pouvons en dévoiler un peu plus sur nous même, poursuit l’artiste. » Denis Robinot a, lui, vécu l’expérience comme un véritable « challenge ».

Le bleu, la couleur de l’humanité. 

Il raconte : « Ce qui fait l’artiste c’est la liberté d’expression dans son art, je ne pouvais pas calquer ses oeuvres. Alors j’ai décidé de partir sur les sentiments que provoquaient en moi ses créations et par un jeu d’impression j’ai réalisé ces tableaux. Le bleu est une couleur qui m’accompagne depuis 2014. J’y vois le ciel, la mer, mais aussi les enfants et le respect de l’humanité. Afin de travailler sur les lignes et les formes j’ai ajouté du plexiglass qui est un matériau très interessant. Ça permet de peindre à l’envers. Ici, j’ai donc choisi d’intégrer quelque chose et non pas de rajouter. » 

Une exposition à découvrir avant le 8 mai. Une rencontre avec les artistes est organisée pour le samedi 9 avril à 15H. Pour commander un exemplaire du livre « Bleu Providence », rendez-vous sur la page Facebook des artistes.

Si la Maison du Patrimoine domine les splendeurs de la baie du Brusc, elle conserve également bien des trésors en son sein. Depuis vendredi dernier, les oeuvres de Catherine Monce, photographe et écrivaine se confrontent aux créations de Denis Robinot plasticien qui travaille les pigments et la couleur bleu comme personne. Les deux amis qui aiment à se « challenger » n’en sont pas à leur coup d’essai puisqu’ils ont déjà fait paraître un livre à quatre mains intitulé « Bleu Providence ».

Des oeuvres qui se répondent et entrainent le dialogue. 

Catherine explique : « Notre collaboration fonctionne car nous avons une réelle confiance l’un en l’autre. Il a un certain laisser aller. Ce n’est pas venu du jour au lendemain, nous avons parfois essayé de se mettre à la place de l’autre quand nous étions en train de créer et ça ne fonctionnait pas. Puis nous avons fini par comprendre que chacun devait garder son univers afin de mêler nos oeuvres pour créer un dialogue. Nous avons commencé par un livre commun. Je suis partie de ses créations qui m’ont toujours beaucoup attirées et j’ai écrit. Pour cette exposition, nous faisons l’inverse. J’ai d’abord cherché un thème, le coquillage avec toutes ses symboliques : la féminité, le voyage et le secret. Puis avec plusieurs photographies que j’ai mélangé comme un peintre avec de la peinture par plusieurs touches, j’ai raconté une histoire. Il a fait ses planches plus tard. »

Un espace dédié à chacun. 

Et pour rester fidèle à l’idée initiale qui est d’apporter son univers au labeur de l’autre, les deux artistes ont choisi la Maison du Patrimoine comme écrin. « À l’étage, nous avons chacun un espace qui nous est propre ou nous pouvons en dévoiler un peu plus sur nous même, poursuit l’artiste. » Denis Robinot a, lui, vécu l’expérience comme un véritable « challenge ».

Le bleu, la couleur de l’humanité. 

Il raconte : « Ce qui fait l’artiste c’est la liberté d’expression dans son art, je ne pouvais pas calquer ses oeuvres. Alors j’ai décidé de partir sur les sentiments que provoquaient en moi ses créations et par un jeu d’impression j’ai réalisé ces tableaux. Le bleu est une couleur qui m’accompagne depuis 2014. J’y vois le ciel, la mer, mais aussi les enfants et le respect de l’humanité. Afin de travailler sur les lignes et les formes j’ai ajouté du plexiglass qui est un matériau très interessant. Ça permet de peindre à l’envers. Ici, j’ai donc choisi d’intégrer quelque chose et non pas de rajouter. » 

Une exposition à découvrir avant le 8 mai. Une rencontre avec les artistes est organisée pour le samedi 9 avril à 15H. Pour commander un exemplaire du livre « Bleu Providence », rendez-vous sur la page Facebook des artistes.

Si la Maison du Patrimoine domine les splendeurs de la baie du Brusc, elle conserve également bien des trésors en son sein. Depuis vendredi dernier, les oeuvres de Catherine Monce, photographe et écrivaine se confrontent aux créations de Denis Robinot plasticien qui travaille les pigments et la couleur bleu comme personne. Les deux amis qui aiment à se « challenger » n’en sont pas à leur coup d’essai puisqu’ils ont déjà fait paraître un livre à quatre mains intitulé « Bleu Providence ».

Des oeuvres qui se répondent et entrainent le dialogue. 

Catherine explique : « Notre collaboration fonctionne car nous avons une réelle confiance l’un en l’autre. Il a un certain laisser aller. Ce n’est pas venu du jour au lendemain, nous avons parfois essayé de se mettre à la place de l’autre quand nous étions en train de créer et ça ne fonctionnait pas. Puis nous avons fini par comprendre que chacun devait garder son univers afin de mêler nos oeuvres pour créer un dialogue. Nous avons commencé par un livre commun. Je suis partie de ses créations qui m’ont toujours beaucoup attirées et j’ai écrit. Pour cette exposition, nous faisons l’inverse. J’ai d’abord cherché un thème, le coquillage avec toutes ses symboliques : la féminité, le voyage et le secret. Puis avec plusieurs photographies que j’ai mélangé comme un peintre avec de la peinture par plusieurs touches, j’ai raconté une histoire. Il a fait ses planches plus tard. »

Un espace dédié à chacun. 

Et pour rester fidèle à l’idée initiale qui est d’apporter son univers au labeur de l’autre, les deux artistes ont choisi la Maison du Patrimoine comme écrin. « À l’étage, nous avons chacun un espace qui nous est propre ou nous pouvons en dévoiler un peu plus sur nous même, poursuit l’artiste. » Denis Robinot a, lui, vécu l’expérience comme un véritable « challenge ».

Le bleu, la couleur de l’humanité. 

Il raconte : « Ce qui fait l’artiste c’est la liberté d’expression dans son art, je ne pouvais pas calquer ses oeuvres. Alors j’ai décidé de partir sur les sentiments que provoquaient en moi ses créations et par un jeu d’impression j’ai réalisé ces tableaux. Le bleu est une couleur qui m’accompagne depuis 2014. J’y vois le ciel, la mer, mais aussi les enfants et le respect de l’humanité. Afin de travailler sur les lignes et les formes j’ai ajouté du plexiglass qui est un matériau très interessant. Ça permet de peindre à l’envers. Ici, j’ai donc choisi d’intégrer quelque chose et non pas de rajouter. » 

Une exposition à découvrir avant le 8 mai. Une rencontre avec les artistes est organisée pour le samedi 9 avril à 15H. Pour commander un exemplaire du livre « Bleu Providence », rendez-vous sur la page Facebook des artistes.