En 2020, 643 séniors de plus de 65 ans ont perdu la vie sur les routes françaises, soit 25 % de la totalité de la mortalité routière alors qu’ils ne représentaient que 19% de la population. Les personnes âgées causent-elles donc plus d’accidents que les autres ? Pas vraiment. Pour comprendre les chiffres, il faut poursuivre la lecture des statistiques.

Les personnes âgées sont plus souvent victimes que responsables dans les accidents.

Les 65-74 ans sont déclarés responsables d’un accident mortel dans moins de 10% des cas alors que les 18-24 ans le sont dans 19,2%. Les seniors sont donc plus souvent victimes que responsables d’accidents mortels sur la voie publique. Et de part leur condition, ils sont aussi généralement victimes d’accidents de la route plus graves que les autres classes d’âge à accident identique. Pour 100 blessés, il y a 4 tués chez les moins de 65 ans et 16 tués à partir de 75 ans.

Une conférence dans les résidences autonomies.

 Dans son objectif de « maintien de lien social », l’association Delta Revie 83 qui oeuvre dans la télé assistance a été mandatée par la ville de Six-Fours pour faire une intervention auprès des ainés dans les résidences autonomies. Lecture des chiffres, rappel de la sécurité routière pour les conducteurs mais aussi pour les piétons et cyclistes, analyse des accidents types sont au rendez-vous ainsi qu’une invitation à se demander si l’on est toujours assez en forme pour prendre le volant.

Quand doit-on arrêter de conduire ? 

Charles Giraud, ancien chargé de la sécurité routière à Toulon explique: « En moyenne on cesse de prendre le volant vers 82 ans pour deux raisons. Il y a chez certain, une barrière psychologique. On se dit, c’est le moment. Pour d’autres, c’est l’âge où souvent, on a plus les petits enfants à aller chercher ici ou là. Mais dans tous les cas, il faut s’interroger sur ses capacités physiques à prendre le volant, est ce qu’on entend encore assez bien, est ce qu’on perçoit la route et tous les dangers qui peuvent apparaître ? Certaines choses peuvent mettre sur la voix, comme une multitude de petits accrochages. Un accident n’a pas besoin d’être grave pour être pris au sérieux. En cas de doute, on peut aussi demander l’avis à son médecin. L’envie de conduire peut persister mais si les réflexes ne sont plus, il faut abdiquer. » 

En 2020, 643 séniors de plus de 65 ans ont perdu la vie sur les routes françaises, soit 25 % de la totalité de la mortalité routière alors qu’ils ne représentaient que 19% de la population. Les personnes âgées causent-elles donc plus d’accidents que les autres ? Pas vraiment. Pour comprendre les chiffres, il faut poursuivre la lecture des statistiques.

Les personnes âgées sont plus souvent victimes que responsables dans les accidents.

Les 65-74 ans sont déclarés responsables d’un accident mortel dans moins de 10% des cas alors que les 18-24 ans le sont dans 19,2%. Les seniors sont donc plus souvent victimes que responsables d’accidents mortels sur la voie publique. Et de part leur condition, ils sont aussi généralement victimes d’accidents de la route plus graves que les autres classes d’âge à accident identique. Pour 100 blessés, il y a 4 tués chez les moins de 65 ans et 16 tués à partir de 75 ans.

Une conférence dans les résidences autonomies.

 Dans son objectif de « maintien de lien social », l’association Delta Revie 83 qui oeuvre dans la télé assistance a été mandatée par la ville de Six-Fours pour faire une intervention auprès des ainés dans les résidences autonomies. Lecture des chiffres, rappel de la sécurité routière pour les conducteurs mais aussi pour les piétons et cyclistes, analyse des accidents types sont au rendez-vous ainsi qu’une invitation à se demander si l’on est toujours assez en forme pour prendre le volant.

Quand doit-on arrêter de conduire ? 

Charles Giraud, ancien chargé de la sécurité routière à Toulon explique: « En moyenne on cesse de prendre le volant vers 82 ans pour deux raisons. Il y a chez certain, une barrière psychologique. On se dit, c’est le moment. Pour d’autres, c’est l’âge où souvent, on a plus les petits enfants à aller chercher ici ou là. Mais dans tous les cas, il faut s’interroger sur ses capacités physiques à prendre le volant, est ce qu’on entend encore assez bien, est ce qu’on perçoit la route et tous les dangers qui peuvent apparaître ? Certaines choses peuvent mettre sur la voix, comme une multitude de petits accrochages. Un accident n’a pas besoin d’être grave pour être pris au sérieux. En cas de doute, on peut aussi demander l’avis à son médecin. L’envie de conduire peut persister mais si les réflexes ne sont plus, il faut abdiquer. » 

En 2020, 643 séniors de plus de 65 ans ont perdu la vie sur les routes françaises, soit 25 % de la totalité de la mortalité routière alors qu’ils ne représentaient que 19% de la population. Les personnes âgées causent-elles donc plus d’accidents que les autres ? Pas vraiment. Pour comprendre les chiffres, il faut poursuivre la lecture des statistiques.

Les personnes âgées sont plus souvent victimes que responsables dans les accidents.

Les 65-74 ans sont déclarés responsables d’un accident mortel dans moins de 10% des cas alors que les 18-24 ans le sont dans 19,2%. Les seniors sont donc plus souvent victimes que responsables d’accidents mortels sur la voie publique. Et de part leur condition, ils sont aussi généralement victimes d’accidents de la route plus graves que les autres classes d’âge à accident identique. Pour 100 blessés, il y a 4 tués chez les moins de 65 ans et 16 tués à partir de 75 ans.

Une conférence dans les résidences autonomies.

 Dans son objectif de « maintien de lien social », l’association Delta Revie 83 qui oeuvre dans la télé assistance a été mandatée par la ville de Six-Fours pour faire une intervention auprès des ainés dans les résidences autonomies. Lecture des chiffres, rappel de la sécurité routière pour les conducteurs mais aussi pour les piétons et cyclistes, analyse des accidents types sont au rendez-vous ainsi qu’une invitation à se demander si l’on est toujours assez en forme pour prendre le volant.

Quand doit-on arrêter de conduire ? 

Charles Giraud, ancien chargé de la sécurité routière à Toulon explique: « En moyenne on cesse de prendre le volant vers 82 ans pour deux raisons. Il y a chez certain, une barrière psychologique. On se dit, c’est le moment. Pour d’autres, c’est l’âge où souvent, on a plus les petits enfants à aller chercher ici ou là. Mais dans tous les cas, il faut s’interroger sur ses capacités physiques à prendre le volant, est ce qu’on entend encore assez bien, est ce qu’on perçoit la route et tous les dangers qui peuvent apparaître ? Certaines choses peuvent mettre sur la voix, comme une multitude de petits accrochages. Un accident n’a pas besoin d’être grave pour être pris au sérieux. En cas de doute, on peut aussi demander l’avis à son médecin. L’envie de conduire peut persister mais si les réflexes ne sont plus, il faut abdiquer. »