Le macaron, « cette petite pâtisserie ronde aux amandes » comme le décrivait déjà Rabelais au XVIè siècles, s’habille aujourd’hui de tons pastels pour attirer tous les regards et cache en son coeur nombre de saveurs pour faire frémir les papilles. Et c’est ce véritable symbole de la gastronomie française, celui-là même qui séduisait toute la haute bourgeoisie parisienne durant la belle époque que Valérie Pichambert a décidé de travailler au quotidien.

« Avec les fruits du jardin quand cela est possible, ou ceux du maraîcher lorsque cela est nécessaire », la pâtissière expérimentée sait comment réaliser les mets les plus gourmands. Il faut dire que la création de desserts a toujours eu une place importante dans sa vie. Lorsqu’elle remonte dans ses souvenirs d’enfance, elle se revoit avec son père, pâtissier amateur, en train « de jouer avec les couleurs et les saveurs ».

« Il y a toujours eu quelque chose de sacré pour moi dans la cuisine. Et c’est sans doute pour cette raison que je m’attarde autant sur les détails et que je ne prends aucun raccourci dans mes recettes. Lorsque je propose un macaron aux pommes, c’est que j’ai passé du temps à éplucher ces dernières et que j’ai laissé les morceaux sur le feu pendant assez longtemps pour obtenir une compote. Je n’ajoute pas de sucre à cette mixture, celui présent dans la coque adoucira bien assez l’ensemble.« 

Aux côtés des classiques tels que banane-chocolat, vanille-noix de pécan ou encore pomme-cannelle, des macarons salés sèment la surprise : chèvre-miel, confit de figues-foie gras, gelée de vin aux épices-foie gras, il y en a pour toutes les envies. « J’aime le local et le labeur des artisans. Pour tout ce qui est nougat et amandes par exemple, c’est à Ollioules que je me fournis : à la maison Joncquier. Pour le miel, c’est sur le marché des producteurs locaux que je trouve mon bonheur. Pour les fruits, je fais en fonction des saisons. »

Au volant de son food truck, elle fait aussi bien les fêtes de village que les baptêmes, les mariages et autres joyeusetés. « Parce que j’aime partager ma passion, je réalise également des ateliers pour les enfants ou même les adultes. Si certains désirent apprendre, qu’ils n’hésitent pas à me contacter. Idem si vous cherchez une animation pour les plus jeunes. Je sais d’expérience qu’ils adoreront repartir avec les macarons qu’ils ont réalisés sous le bras. »

Insta et FB : L’île aux macarons. Infos 06.19.88.12.13

Le macaron, « cette petite pâtisserie ronde aux amandes » comme le décrivait déjà Rabelais au XVIè siècles, s’habille aujourd’hui de tons pastels pour attirer tous les regards et cache en son coeur nombre de saveurs pour faire frémir les papilles. Et c’est ce véritable symbole de la gastronomie française, celui-là même qui séduisait toute la haute bourgeoisie parisienne durant la belle époque que Valérie Pichambert a décidé de travailler au quotidien.

« Avec les fruits du jardin quand cela est possible, ou ceux du maraîcher lorsque cela est nécessaire », la pâtissière expérimentée sait comment réaliser les mets les plus gourmands. Il faut dire que la création de desserts a toujours eu une place importante dans sa vie. Lorsqu’elle remonte dans ses souvenirs d’enfance, elle se revoit avec son père, pâtissier amateur, en train « de jouer avec les couleurs et les saveurs ».

« Il y a toujours eu quelque chose de sacré pour moi dans la cuisine. Et c’est sans doute pour cette raison que je m’attarde autant sur les détails et que je ne prends aucun raccourci dans mes recettes. Lorsque je propose un macaron aux pommes, c’est que j’ai passé du temps à éplucher ces dernières et que j’ai laissé les morceaux sur le feu pendant assez longtemps pour obtenir une compote. Je n’ajoute pas de sucre à cette mixture, celui présent dans la coque adoucira bien assez l’ensemble.« 

Aux côtés des classiques tels que banane-chocolat, vanille-noix de pécan ou encore pomme-cannelle, des macarons salés sèment la surprise : chèvre-miel, confit de figues-foie gras, gelée de vin aux épices-foie gras, il y en a pour toutes les envies. « J’aime le local et le labeur des artisans. Pour tout ce qui est nougat et amandes par exemple, c’est à Ollioules que je me fournis : à la maison Joncquier. Pour le miel, c’est sur le marché des producteurs locaux que je trouve mon bonheur. Pour les fruits, je fais en fonction des saisons. »

Au volant de son food truck, elle fait aussi bien les fêtes de village que les baptêmes, les mariages et autres joyeusetés. « Parce que j’aime partager ma passion, je réalise également des ateliers pour les enfants ou même les adultes. Si certains désirent apprendre, qu’ils n’hésitent pas à me contacter. Idem si vous cherchez une animation pour les plus jeunes. Je sais d’expérience qu’ils adoreront repartir avec les macarons qu’ils ont réalisés sous le bras. »

Insta et FB : L’île aux macarons. Infos 06.19.88.12.13

Le macaron, « cette petite pâtisserie ronde aux amandes » comme le décrivait déjà Rabelais au XVIè siècles, s’habille aujourd’hui de tons pastels pour attirer tous les regards et cache en son coeur nombre de saveurs pour faire frémir les papilles. Et c’est ce véritable symbole de la gastronomie française, celui-là même qui séduisait toute la haute bourgeoisie parisienne durant la belle époque que Valérie Pichambert a décidé de travailler au quotidien.

« Avec les fruits du jardin quand cela est possible, ou ceux du maraîcher lorsque cela est nécessaire », la pâtissière expérimentée sait comment réaliser les mets les plus gourmands. Il faut dire que la création de desserts a toujours eu une place importante dans sa vie. Lorsqu’elle remonte dans ses souvenirs d’enfance, elle se revoit avec son père, pâtissier amateur, en train « de jouer avec les couleurs et les saveurs ».

« Il y a toujours eu quelque chose de sacré pour moi dans la cuisine. Et c’est sans doute pour cette raison que je m’attarde autant sur les détails et que je ne prends aucun raccourci dans mes recettes. Lorsque je propose un macaron aux pommes, c’est que j’ai passé du temps à éplucher ces dernières et que j’ai laissé les morceaux sur le feu pendant assez longtemps pour obtenir une compote. Je n’ajoute pas de sucre à cette mixture, celui présent dans la coque adoucira bien assez l’ensemble.« 

Aux côtés des classiques tels que banane-chocolat, vanille-noix de pécan ou encore pomme-cannelle, des macarons salés sèment la surprise : chèvre-miel, confit de figues-foie gras, gelée de vin aux épices-foie gras, il y en a pour toutes les envies. « J’aime le local et le labeur des artisans. Pour tout ce qui est nougat et amandes par exemple, c’est à Ollioules que je me fournis : à la maison Joncquier. Pour le miel, c’est sur le marché des producteurs locaux que je trouve mon bonheur. Pour les fruits, je fais en fonction des saisons. »

Au volant de son food truck, elle fait aussi bien les fêtes de village que les baptêmes, les mariages et autres joyeusetés. « Parce que j’aime partager ma passion, je réalise également des ateliers pour les enfants ou même les adultes. Si certains désirent apprendre, qu’ils n’hésitent pas à me contacter. Idem si vous cherchez une animation pour les plus jeunes. Je sais d’expérience qu’ils adoreront repartir avec les macarons qu’ils ont réalisés sous le bras. »

Insta et FB : L’île aux macarons. Infos 06.19.88.12.13