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jeudi 3 juillet 2025

« Il faut sensibiliser au cancer de la prostate »

En France, environ 50 000 nouveaux cas de cancer de la prostates sont estimés chaque année. « C’est le cancer le plus fréquent chez l’homme, explique Jean-Sébastien Vialatte, premier magistrat de la commune. Cette année, encore, octobre rose a été une réussite, les événements se sont multipliés et ont rencontré un vif succès auprès de la population, mais il n’y a pas que les femmes qui souffrent de maladie. » Le mois de novembre sera donc dédié à la santé des hommes à Six-Fours.

Des événements publics pour sensibiliser.

Après un débat mené par le Dr Martine Audibert et Béatrice Friaud présidente des infirmières libéraux au six n’étoiles après la projection du film « 50/50 » la semaine passée, le rendez-vous à ne pas manquer pour soutenir la cause sera une grande marche bleue de 7 km à réaliser en famille qui aura lieu dimanche 27 novembre à 10h au partir la Villa Nuraghe.

Un rendez-vous en laboratoire suffit pour un dépistage.

Le Docteur Stéphanie Guillaume raconte : « La meilleure des médecines qui existe c’est la préventive. Un cancer qui est dépisté tôt à de grandes chances d’être bien traité et le patient peut espérer une meilleure guérison. Dans le cas du cancer de la prostate, c’est la même chose, surtout que la particularité de ce dernier est que son évolution est lente et qu’il se développe sur plusieurs années. Nous recommandons à tous les hommes âgés de 50 ans et plus de faire un dosage du PSA en laboratoire. Si le taux est élevé il faut consulter. Si ce dernier augmente de manière importante d’une année sur l’autre, c’est la même chose. 

La prévention vaut mieux que 1000 maux.

 Jean-Sébastien Vialatte, qui est biologiste de métier poursuit : « Toutes les anomalies du PSA ne sont pas signes de cancer, mais un médecin pourra vous aiguiller justement sur le sujet. Si vous avez eu des antécédents dans la famille un frère, un cousin porteur de la maladie, n’hésitez pas à vous faire tester avant les 50 ans. Nous ne demandons à personne de tomber dans la paranoïa, mais en termes de médecine, un petit contrôle peut parfois éviter mille maux. » 

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« Il faut sensibiliser au cancer de la prostate »

En France, environ 50 000 nouveaux cas de cancer de la prostates sont estimés chaque année. « C’est le cancer le plus fréquent chez l’homme, explique Jean-Sébastien Vialatte, premier magistrat de la commune. Cette année, encore, octobre rose a été une réussite, les événements se sont multipliés et ont rencontré un vif succès auprès de la population, mais il n’y a pas que les femmes qui souffrent de maladie. » Le mois de novembre sera donc dédié à la santé des hommes à Six-Fours.

Des événements publics pour sensibiliser.

Après un débat mené par le Dr Martine Audibert et Béatrice Friaud présidente des infirmières libéraux au six n’étoiles après la projection du film « 50/50 » la semaine passée, le rendez-vous à ne pas manquer pour soutenir la cause sera une grande marche bleue de 7 km à réaliser en famille qui aura lieu dimanche 27 novembre à 10h au partir la Villa Nuraghe.

Un rendez-vous en laboratoire suffit pour un dépistage.

Le Docteur Stéphanie Guillaume raconte : « La meilleure des médecines qui existe c’est la préventive. Un cancer qui est dépisté tôt à de grandes chances d’être bien traité et le patient peut espérer une meilleure guérison. Dans le cas du cancer de la prostate, c’est la même chose, surtout que la particularité de ce dernier est que son évolution est lente et qu’il se développe sur plusieurs années. Nous recommandons à tous les hommes âgés de 50 ans et plus de faire un dosage du PSA en laboratoire. Si le taux est élevé il faut consulter. Si ce dernier augmente de manière importante d’une année sur l’autre, c’est la même chose. 

La prévention vaut mieux que 1000 maux.

 Jean-Sébastien Vialatte, qui est biologiste de métier poursuit : « Toutes les anomalies du PSA ne sont pas signes de cancer, mais un médecin pourra vous aiguiller justement sur le sujet. Si vous avez eu des antécédents dans la famille un frère, un cousin porteur de la maladie, n’hésitez pas à vous faire tester avant les 50 ans. Nous ne demandons à personne de tomber dans la paranoïa, mais en termes de médecine, un petit contrôle peut parfois éviter mille maux. » 

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En France, environ 50 000 nouveaux cas de cancer de la prostates sont estimés chaque année. « C’est le cancer le plus fréquent chez l’homme, explique Jean-Sébastien Vialatte, premier magistrat de la commune. Cette année, encore, octobre rose a été une réussite, les événements se sont multipliés et ont rencontré un vif succès auprès de la population, mais il n’y a pas que les femmes qui souffrent de maladie. » Le mois de novembre sera donc dédié à la santé des hommes à Six-Fours.

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Après un débat mené par le Dr Martine Audibert et Béatrice Friaud présidente des infirmières libéraux au six n’étoiles après la projection du film « 50/50 » la semaine passée, le rendez-vous à ne pas manquer pour soutenir la cause sera une grande marche bleue de 7 km à réaliser en famille qui aura lieu dimanche 27 novembre à 10h au partir la Villa Nuraghe.

Un rendez-vous en laboratoire suffit pour un dépistage.

Le Docteur Stéphanie Guillaume raconte : « La meilleure des médecines qui existe c’est la préventive. Un cancer qui est dépisté tôt à de grandes chances d’être bien traité et le patient peut espérer une meilleure guérison. Dans le cas du cancer de la prostate, c’est la même chose, surtout que la particularité de ce dernier est que son évolution est lente et qu’il se développe sur plusieurs années. Nous recommandons à tous les hommes âgés de 50 ans et plus de faire un dosage du PSA en laboratoire. Si le taux est élevé il faut consulter. Si ce dernier augmente de manière importante d’une année sur l’autre, c’est la même chose. 

La prévention vaut mieux que 1000 maux.

 Jean-Sébastien Vialatte, qui est biologiste de métier poursuit : « Toutes les anomalies du PSA ne sont pas signes de cancer, mais un médecin pourra vous aiguiller justement sur le sujet. Si vous avez eu des antécédents dans la famille un frère, un cousin porteur de la maladie, n’hésitez pas à vous faire tester avant les 50 ans. Nous ne demandons à personne de tomber dans la paranoïa, mais en termes de médecine, un petit contrôle peut parfois éviter mille maux. » 

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