La Bande dessinée prendra ses aises, samedi, toute la journée, à la salle Adrien Scarantino. Organisé par la Bdthèque municipale de la ville, en partenariat avec Au tour de la BD, l’événement sera l’occasion de venir à la rencontre de nombreux auteurs et de dialoguer avec des passionnés qui sont de plus en plus nombreux depuis le premier confinement. 

Angélique Pintus, responsable des lieux, raconte : « Par semaine, sans compter les enfants, nous faisons 85 entrées. Il y a toujours eu des passionnés de la BD, mais depuis le confinement, on voit les chiffres augmenter. Les Mangas sont également devenus des incontournables. On ne fait pas la police, mais depuis que le phénomène a pris de l’ampleur, on est obligé de surveiller qui emprunte quoi car tout le monde ne sait pas ce qu’il y a entre ces pages issus tout droit de la culture du Japon Cette semaine, par exemple, une grand-mère est venue récupérer un manga pour sa petite fille de 9 ans. On a du lui expliquer que ce n’était pas des choses pour le jeune âge et on a refusé le prêt. » Car il n’y a pas que les goûts qui ont changé durant cette période trouble.

Elle reprend : « Lorsque les lieux culturels étaient fermés, nous avons mis en place le Drive de la Bdthèque. Les usagers pouvaient venir récupérer leur commande dans un délai de quinze minutes. Et bien cela a changé le rapport que les gens pouvaient avoir avec nous. Ces instants volés à l’actualité ont permis le dialogue. Depuis, nous conseillons beaucoup plus qu’avant. Les abonnés viennent nous demander avec beaucoup plus de facilité nos avis. On peut ainsi, orienter quelqu’un sur un livre qu’il n’aurait jamais ouvert sans notre aide. On créer de nouveaux goûts … et même des vocations! Une petite fille qui avait pour habitude de nous faire de jolis dessins, fait aujourd’hui des études pour en faire son métier. »  

Des bandes dessinées humoristiques, d’autres fantastiques, des enquêtes policières et même des contes, il y en a vraiment pour toutes les envies. Au dessus des étals, une petite exposition des planches de Clément Baloup qui vient de faire paraître « Les filles du Kurdistan; une révolution féminine ». « Son oeuvre suit le reportage de Mylène Sauloy, ajoute Angélique, c’est une journaliste qui est partie enquêter sur ces terres en guerre. Le résultat est incroyable, on voit une véritable enquête à travers les pages. Il sera présent ce samedi pour présenter son travail, rencontrer le public et réaliser des dédicaces. »

Seront présents: Cardona Philippe, Torta Florence, Pellet Philippe, Pica, Chanouga, Aucompte Jonathan, Torregrossa Rémi, Guarino Aurélie, Parigi Jérémy, Guedre Guillaume …. et d’autres surprises ! Samedi 11 décembre de 10h à 18h, salle Scarantino.

La Bande dessinée prendra ses aises, samedi, toute la journée, à la salle Adrien Scarantino. Organisé par la Bdthèque municipale de la ville, en partenariat avec Au tour de la BD, l’événement sera l’occasion de venir à la rencontre de nombreux auteurs et de dialoguer avec des passionnés qui sont de plus en plus nombreux depuis le premier confinement. 

Angélique Pintus, responsable des lieux, raconte : « Par semaine, sans compter les enfants, nous faisons 85 entrées. Il y a toujours eu des passionnés de la BD, mais depuis le confinement, on voit les chiffres augmenter. Les Mangas sont également devenus des incontournables. On ne fait pas la police, mais depuis que le phénomène a pris de l’ampleur, on est obligé de surveiller qui emprunte quoi car tout le monde ne sait pas ce qu’il y a entre ces pages issus tout droit de la culture du Japon Cette semaine, par exemple, une grand-mère est venue récupérer un manga pour sa petite fille de 9 ans. On a du lui expliquer que ce n’était pas des choses pour le jeune âge et on a refusé le prêt. » Car il n’y a pas que les goûts qui ont changé durant cette période trouble.

Elle reprend : « Lorsque les lieux culturels étaient fermés, nous avons mis en place le Drive de la Bdthèque. Les usagers pouvaient venir récupérer leur commande dans un délai de quinze minutes. Et bien cela a changé le rapport que les gens pouvaient avoir avec nous. Ces instants volés à l’actualité ont permis le dialogue. Depuis, nous conseillons beaucoup plus qu’avant. Les abonnés viennent nous demander avec beaucoup plus de facilité nos avis. On peut ainsi, orienter quelqu’un sur un livre qu’il n’aurait jamais ouvert sans notre aide. On créer de nouveaux goûts … et même des vocations! Une petite fille qui avait pour habitude de nous faire de jolis dessins, fait aujourd’hui des études pour en faire son métier. »  

Des bandes dessinées humoristiques, d’autres fantastiques, des enquêtes policières et même des contes, il y en a vraiment pour toutes les envies. Au dessus des étals, une petite exposition des planches de Clément Baloup qui vient de faire paraître « Les filles du Kurdistan; une révolution féminine ». « Son oeuvre suit le reportage de Mylène Sauloy, ajoute Angélique, c’est une journaliste qui est partie enquêter sur ces terres en guerre. Le résultat est incroyable, on voit une véritable enquête à travers les pages. Il sera présent ce samedi pour présenter son travail, rencontrer le public et réaliser des dédicaces. »

Seront présents: Cardona Philippe, Torta Florence, Pellet Philippe, Pica, Chanouga, Aucompte Jonathan, Torregrossa Rémi, Guarino Aurélie, Parigi Jérémy, Guedre Guillaume …. et d’autres surprises ! Samedi 11 décembre de 10h à 18h, salle Scarantino.

La Bande dessinée prendra ses aises, samedi, toute la journée, à la salle Adrien Scarantino. Organisé par la Bdthèque municipale de la ville, en partenariat avec Au tour de la BD, l’événement sera l’occasion de venir à la rencontre de nombreux auteurs et de dialoguer avec des passionnés qui sont de plus en plus nombreux depuis le premier confinement. 

Angélique Pintus, responsable des lieux, raconte : « Par semaine, sans compter les enfants, nous faisons 85 entrées. Il y a toujours eu des passionnés de la BD, mais depuis le confinement, on voit les chiffres augmenter. Les Mangas sont également devenus des incontournables. On ne fait pas la police, mais depuis que le phénomène a pris de l’ampleur, on est obligé de surveiller qui emprunte quoi car tout le monde ne sait pas ce qu’il y a entre ces pages issus tout droit de la culture du Japon Cette semaine, par exemple, une grand-mère est venue récupérer un manga pour sa petite fille de 9 ans. On a du lui expliquer que ce n’était pas des choses pour le jeune âge et on a refusé le prêt. » Car il n’y a pas que les goûts qui ont changé durant cette période trouble.

Elle reprend : « Lorsque les lieux culturels étaient fermés, nous avons mis en place le Drive de la Bdthèque. Les usagers pouvaient venir récupérer leur commande dans un délai de quinze minutes. Et bien cela a changé le rapport que les gens pouvaient avoir avec nous. Ces instants volés à l’actualité ont permis le dialogue. Depuis, nous conseillons beaucoup plus qu’avant. Les abonnés viennent nous demander avec beaucoup plus de facilité nos avis. On peut ainsi, orienter quelqu’un sur un livre qu’il n’aurait jamais ouvert sans notre aide. On créer de nouveaux goûts … et même des vocations! Une petite fille qui avait pour habitude de nous faire de jolis dessins, fait aujourd’hui des études pour en faire son métier. »  

Des bandes dessinées humoristiques, d’autres fantastiques, des enquêtes policières et même des contes, il y en a vraiment pour toutes les envies. Au dessus des étals, une petite exposition des planches de Clément Baloup qui vient de faire paraître « Les filles du Kurdistan; une révolution féminine ». « Son oeuvre suit le reportage de Mylène Sauloy, ajoute Angélique, c’est une journaliste qui est partie enquêter sur ces terres en guerre. Le résultat est incroyable, on voit une véritable enquête à travers les pages. Il sera présent ce samedi pour présenter son travail, rencontrer le public et réaliser des dédicaces. »

Seront présents: Cardona Philippe, Torta Florence, Pellet Philippe, Pica, Chanouga, Aucompte Jonathan, Torregrossa Rémi, Guarino Aurélie, Parigi Jérémy, Guedre Guillaume …. et d’autres surprises ! Samedi 11 décembre de 10h à 18h, salle Scarantino.