13.9 C
Toulon
vendredi 29 mars 2024

La fin du masque en extérieur « bientôt » envisageable, selon Olivier Véran

Sans évoquer de date, le ministre de la Santé a ouvert la porte lundi à un allègement de l’obligation du port du masque si la situation épidémique s’avérait favorable.

La France va « bientôt » arriver à un point où le masque ne sera plus obligatoire en extérieur, a déclaré lundi 17 mai le ministre de la Santé Olivier Véran sur BFMTV, sans vouloir donner de date.

« On n’en est pas encore là en France. On y arrivera bientôt », a-t-il répondu, interrogé par la chaîne à propos de cette échéance.

« Quand vous êtes dehors, dans le centre d’une grande ville, avec plein de boutiques, vous allez faire la queue dehors, vous allez manger, vous allez croiser des gens etc. Là, tant qu’on n’a pas un niveau de couverture vaccinale adéquate, il paraît plus prudent de maintenir l’obligation de port du masque », a détaillé le ministre.

Le risque du « trop vite trop fort »

Selon lui, « le plus grand risque qu’on prendrait, c’est d’y aller trop vite trop fort, de dire : « c’est parti, on y va ». Et dans un mois, dans trois semaines, dire : « les amis, il y a un problème, le virus réaugmente, il y a des hospitalisations, on referme » », a-t-il développé. « Les pays qui sont allés trop vite, trop tôt, et qui ont été obligés de revenir en arrière, ça a été extrêmement mal vécu ».

spot_img

Nos derniers articles

LAISSER UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici

spot_img
spot_img
spot_img

La fin du masque en extérieur « bientôt » envisageable, selon Olivier Véran

Sans évoquer de date, le ministre de la Santé a ouvert la porte lundi à un allègement de l’obligation du port du masque si la situation épidémique s’avérait favorable.

La France va « bientôt » arriver à un point où le masque ne sera plus obligatoire en extérieur, a déclaré lundi 17 mai le ministre de la Santé Olivier Véran sur BFMTV, sans vouloir donner de date.

« On n’en est pas encore là en France. On y arrivera bientôt », a-t-il répondu, interrogé par la chaîne à propos de cette échéance.

« Quand vous êtes dehors, dans le centre d’une grande ville, avec plein de boutiques, vous allez faire la queue dehors, vous allez manger, vous allez croiser des gens etc. Là, tant qu’on n’a pas un niveau de couverture vaccinale adéquate, il paraît plus prudent de maintenir l’obligation de port du masque », a détaillé le ministre.

Le risque du « trop vite trop fort »

Selon lui, « le plus grand risque qu’on prendrait, c’est d’y aller trop vite trop fort, de dire : « c’est parti, on y va ». Et dans un mois, dans trois semaines, dire : « les amis, il y a un problème, le virus réaugmente, il y a des hospitalisations, on referme » », a-t-il développé. « Les pays qui sont allés trop vite, trop tôt, et qui ont été obligés de revenir en arrière, ça a été extrêmement mal vécu ».

spot_img

Nos derniers articles

LAISSER UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici

spot_img
spot_img

La fin du masque en extérieur « bientôt » envisageable, selon Olivier Véran

Sans évoquer de date, le ministre de la Santé a ouvert la porte lundi à un allègement de l’obligation du port du masque si la situation épidémique s’avérait favorable.

La France va « bientôt » arriver à un point où le masque ne sera plus obligatoire en extérieur, a déclaré lundi 17 mai le ministre de la Santé Olivier Véran sur BFMTV, sans vouloir donner de date.

« On n’en est pas encore là en France. On y arrivera bientôt », a-t-il répondu, interrogé par la chaîne à propos de cette échéance.

« Quand vous êtes dehors, dans le centre d’une grande ville, avec plein de boutiques, vous allez faire la queue dehors, vous allez manger, vous allez croiser des gens etc. Là, tant qu’on n’a pas un niveau de couverture vaccinale adéquate, il paraît plus prudent de maintenir l’obligation de port du masque », a détaillé le ministre.

Le risque du « trop vite trop fort »

Selon lui, « le plus grand risque qu’on prendrait, c’est d’y aller trop vite trop fort, de dire : « c’est parti, on y va ». Et dans un mois, dans trois semaines, dire : « les amis, il y a un problème, le virus réaugmente, il y a des hospitalisations, on referme » », a-t-il développé. « Les pays qui sont allés trop vite, trop tôt, et qui ont été obligés de revenir en arrière, ça a été extrêmement mal vécu ».

spot_img

Nos derniers articles

LAISSER UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici

spot_img
spot_img

Vous aimez nos articles ?


Abonnez-vous à notre newsletter !