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vendredi 26 avril 2024

La Seyne: La Régalade : de l’amour à l’assiette pour la Saint-Valentin !

De la daube de poulpe, de la souris d’agneau confite au miel et au thym, des Saint-Jacques revenus doucement dans leur sauce, les recettes du chef en cuisine ont le goût et les couleurs de la Provence d’antan. 

Si les assiettes sont dressées avec minutie, c’est sans nul doute parce que ce restaurant, ouvert en pleine crise sanitaire, est le rêve de toute une vie. Sandrine Chamard, l’hôtesse de l’établissement raconte : « C’était un rêve d’enfant et à la fois une surprise incroyable. Cela fait plus de vingt-ans à présent que je partage ma vie avec Sébastien mon mari. J’étais une jeune mère célibataire lorsque je l’ai rencontré du côté de la Haute Provence, la région d’où je suis originaire, et ça a été le coup de foudre. Quelques mois plus tard, nous avons tous emménagé à La Seyne-sur-Mer. Je me souviens que le déménagement s’est fait sous la neige (rires). Oui, le jour de mon établissement dans cette ville côtière, j’ai emmené avec moi une véritable petite tempête! Pendant des années, j’ai parlé de cette ambition d’ouvrir un restaurant. La cuisine était une telle passion à la maison, que mon fils a souhaité faire carrière derrière les fourneaux. Lorsque nous avons appris que le restaurant a coté de la salle des mariages où nous nous sommes unis était à la vente, mon mari m’a dit que c’était le signe que nous attendions! »

Pour cette petite famille, qu’importe donc le contexte, à coeur vaillant rien d’impossible ! Elle reprend : « Nous savions que ce serait compliqué avec la crise sanitaire, mais on savait la chance de notre côté. depuis nous nous efforçons de transformer cet endroit, qui est un véritable foyer pour nous, en lieu de vie. Nous organisons des soirées à thème, on fait venir des talents de toute la région pour satisfaire les envies de chacun. Niveau cuisine, on ne travaille qu’avec des produits locaux. Sébastien est également primeur à quelques rues de là, les fruits et les légumes proviennent donc des cultures avoisinantes. Le poisson est de Tamaris, le pain de la boulangerie le fournil des deux frères… et dois-je préciser que le cuisinier Thomas est un pu produit de la Provence (rires)? » 

Ouvert dès 7h le matin, le restaurant fait aussi bar au petit matin. Sandrine termine : « On a les travailleurs du centre ville qui viennent commencer leur journée avec un café mais aussi et surtout les habitués du quartier qui viennent échanger autour du journal. presque tous les matins j’ai le même groupe qui refait le monde et échange des éclats de rire. je crois qu’en cette période troublée, nous avons tous besoin de contacts humain et de se retrouver. Alors pourquoi ne pas le faire devant une tasse fumante ? » 

La régalade. A coté de la salle des mariages. 8 rue des Chantiers. La Seyne-sur-Mer.

 

 

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La Seyne: La Régalade : de l’amour à l’assiette pour la Saint-Valentin !

De la daube de poulpe, de la souris d’agneau confite au miel et au thym, des Saint-Jacques revenus doucement dans leur sauce, les recettes du chef en cuisine ont le goût et les couleurs de la Provence d’antan. 

Si les assiettes sont dressées avec minutie, c’est sans nul doute parce que ce restaurant, ouvert en pleine crise sanitaire, est le rêve de toute une vie. Sandrine Chamard, l’hôtesse de l’établissement raconte : « C’était un rêve d’enfant et à la fois une surprise incroyable. Cela fait plus de vingt-ans à présent que je partage ma vie avec Sébastien mon mari. J’étais une jeune mère célibataire lorsque je l’ai rencontré du côté de la Haute Provence, la région d’où je suis originaire, et ça a été le coup de foudre. Quelques mois plus tard, nous avons tous emménagé à La Seyne-sur-Mer. Je me souviens que le déménagement s’est fait sous la neige (rires). Oui, le jour de mon établissement dans cette ville côtière, j’ai emmené avec moi une véritable petite tempête! Pendant des années, j’ai parlé de cette ambition d’ouvrir un restaurant. La cuisine était une telle passion à la maison, que mon fils a souhaité faire carrière derrière les fourneaux. Lorsque nous avons appris que le restaurant a coté de la salle des mariages où nous nous sommes unis était à la vente, mon mari m’a dit que c’était le signe que nous attendions! »

Pour cette petite famille, qu’importe donc le contexte, à coeur vaillant rien d’impossible ! Elle reprend : « Nous savions que ce serait compliqué avec la crise sanitaire, mais on savait la chance de notre côté. depuis nous nous efforçons de transformer cet endroit, qui est un véritable foyer pour nous, en lieu de vie. Nous organisons des soirées à thème, on fait venir des talents de toute la région pour satisfaire les envies de chacun. Niveau cuisine, on ne travaille qu’avec des produits locaux. Sébastien est également primeur à quelques rues de là, les fruits et les légumes proviennent donc des cultures avoisinantes. Le poisson est de Tamaris, le pain de la boulangerie le fournil des deux frères… et dois-je préciser que le cuisinier Thomas est un pu produit de la Provence (rires)? » 

Ouvert dès 7h le matin, le restaurant fait aussi bar au petit matin. Sandrine termine : « On a les travailleurs du centre ville qui viennent commencer leur journée avec un café mais aussi et surtout les habitués du quartier qui viennent échanger autour du journal. presque tous les matins j’ai le même groupe qui refait le monde et échange des éclats de rire. je crois qu’en cette période troublée, nous avons tous besoin de contacts humain et de se retrouver. Alors pourquoi ne pas le faire devant une tasse fumante ? » 

La régalade. A coté de la salle des mariages. 8 rue des Chantiers. La Seyne-sur-Mer.

 

 

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De la daube de poulpe, de la souris d’agneau confite au miel et au thym, des Saint-Jacques revenus doucement dans leur sauce, les recettes du chef en cuisine ont le goût et les couleurs de la Provence d’antan. 

Si les assiettes sont dressées avec minutie, c’est sans nul doute parce que ce restaurant, ouvert en pleine crise sanitaire, est le rêve de toute une vie. Sandrine Chamard, l’hôtesse de l’établissement raconte : « C’était un rêve d’enfant et à la fois une surprise incroyable. Cela fait plus de vingt-ans à présent que je partage ma vie avec Sébastien mon mari. J’étais une jeune mère célibataire lorsque je l’ai rencontré du côté de la Haute Provence, la région d’où je suis originaire, et ça a été le coup de foudre. Quelques mois plus tard, nous avons tous emménagé à La Seyne-sur-Mer. Je me souviens que le déménagement s’est fait sous la neige (rires). Oui, le jour de mon établissement dans cette ville côtière, j’ai emmené avec moi une véritable petite tempête! Pendant des années, j’ai parlé de cette ambition d’ouvrir un restaurant. La cuisine était une telle passion à la maison, que mon fils a souhaité faire carrière derrière les fourneaux. Lorsque nous avons appris que le restaurant a coté de la salle des mariages où nous nous sommes unis était à la vente, mon mari m’a dit que c’était le signe que nous attendions! »

Pour cette petite famille, qu’importe donc le contexte, à coeur vaillant rien d’impossible ! Elle reprend : « Nous savions que ce serait compliqué avec la crise sanitaire, mais on savait la chance de notre côté. depuis nous nous efforçons de transformer cet endroit, qui est un véritable foyer pour nous, en lieu de vie. Nous organisons des soirées à thème, on fait venir des talents de toute la région pour satisfaire les envies de chacun. Niveau cuisine, on ne travaille qu’avec des produits locaux. Sébastien est également primeur à quelques rues de là, les fruits et les légumes proviennent donc des cultures avoisinantes. Le poisson est de Tamaris, le pain de la boulangerie le fournil des deux frères… et dois-je préciser que le cuisinier Thomas est un pu produit de la Provence (rires)? » 

Ouvert dès 7h le matin, le restaurant fait aussi bar au petit matin. Sandrine termine : « On a les travailleurs du centre ville qui viennent commencer leur journée avec un café mais aussi et surtout les habitués du quartier qui viennent échanger autour du journal. presque tous les matins j’ai le même groupe qui refait le monde et échange des éclats de rire. je crois qu’en cette période troublée, nous avons tous besoin de contacts humain et de se retrouver. Alors pourquoi ne pas le faire devant une tasse fumante ? » 

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