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vendredi 29 mars 2024

La Seyne « Travailler sur les facteurs de risque à l’origine de la délinquance »

Le 25 novembre dernier, les acteurs du Contrat local de sécurité et de prévention de la délinquance (CLSPD) se sont réunis en assemblée plénière à l’Hôtel de Ville. Autour de la table présidée par le maire Nathalie Bicais, étaient représentés : l’État, le ministère de la justice, l’Éducation nationale, la Direction de la sûreté publique de la Ville, la Police nationale, les sapeurs-pompiers, le bailleur social Toulon Habitat Méditerranée, ainsi que des associations partenaires.

« Dans notre ville, nous faisons de la tranquillité publique le préalable indispensable à chacune de nos actions publiques », a souligné Nathalie Bicais, maire de La Seyne-sur-Mer, en introduction de l’assemblée plénière du Contrat local de sécurité et de prévention de la délinquance (CLSPD), qui s’est tenu le 25 novembre dernier. À l’Hôtel de Ville, étaient ainsi réunis tous les acteurs de cette instance de coordination, dont le maire a rappelé la vocation : « Le CLSPD constitue une feuille de route réunissant des champs pluriels tels que le système éducatif, la cellule familiale, l’insertion professionnelle, la sûreté publique et la justice.

Ensemble, nous avons pour objectifs communs de travailler sur les facteurs de risque qui sont à l’origine de la délinquance, éviter la répétition des comportements fautifs, identifier l’isolement des publics les plus fragiles et les plus touchés, tracer les bases d’un parcours républicain pour nos jeunes en difficulté, afin qu’ils évitent le chemin de la délinquance et se construisent en tant que futurs citoyens seynois et français. »

« Faire de La Seyne une ville plus sûre et plus sereine »

Ainsi, étaient présents : le préfet du Var, Evence Richard, la sous-préfète Audrey Graffault et la déléguée du préfet, Nadine Giraud, le procureur de la République, Samuel Filnielz, le directeur académique des services de l’Éducation nationale (Daasen), Alain Aubert ; et représentés : la Direction des services départementaux de l’Éducation nationale (DSDEN), la Direction territoriale de la Protection judiciaire de la jeunesse (PJJ), les Services territoriaux éducatifs de milieu ouvert (STEMO) de la PJJ, le Service pénitentiaire d’insertion et de probation (SPIP), la Police nationale, la Direction de la sûreté publique de la Ville, les sapeurs-pompiers, le bailleur social Toulon Habitat Méditerranée, ainsi que les associations Nouvel Horizon, APEA (Association de prévention et d’aide à l’insertion), Avef (Association Vivre en famille), Aaviv (association d’aide aux victimes d’infraction du Var).

« Nous avons opté, a poursuivi Nathalie Bicais, pour une dimension opérationnelle du CLSPD en créant des groupes de travail thématiques : tranquillité, absentéisme, violences conjugales et intrafamiliales ou prévention de la récidive. »

Ce vendredi 25 novembre, il s’agissait donc, pour Nathalie Bicais et son adjoint délégué à la politique de la ville, Cheikh Mansour, de dresser, « le bilan de nos actions, identifier nos forces, nos progrès et corriger nos faiblesses ». Ce, afin de « faire de La Seyne une ville plus sûre et plus sereine ».

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La Seyne « Travailler sur les facteurs de risque à l’origine de la délinquance »

Le 25 novembre dernier, les acteurs du Contrat local de sécurité et de prévention de la délinquance (CLSPD) se sont réunis en assemblée plénière à l’Hôtel de Ville. Autour de la table présidée par le maire Nathalie Bicais, étaient représentés : l’État, le ministère de la justice, l’Éducation nationale, la Direction de la sûreté publique de la Ville, la Police nationale, les sapeurs-pompiers, le bailleur social Toulon Habitat Méditerranée, ainsi que des associations partenaires.

« Dans notre ville, nous faisons de la tranquillité publique le préalable indispensable à chacune de nos actions publiques », a souligné Nathalie Bicais, maire de La Seyne-sur-Mer, en introduction de l’assemblée plénière du Contrat local de sécurité et de prévention de la délinquance (CLSPD), qui s’est tenu le 25 novembre dernier. À l’Hôtel de Ville, étaient ainsi réunis tous les acteurs de cette instance de coordination, dont le maire a rappelé la vocation : « Le CLSPD constitue une feuille de route réunissant des champs pluriels tels que le système éducatif, la cellule familiale, l’insertion professionnelle, la sûreté publique et la justice.

Ensemble, nous avons pour objectifs communs de travailler sur les facteurs de risque qui sont à l’origine de la délinquance, éviter la répétition des comportements fautifs, identifier l’isolement des publics les plus fragiles et les plus touchés, tracer les bases d’un parcours républicain pour nos jeunes en difficulté, afin qu’ils évitent le chemin de la délinquance et se construisent en tant que futurs citoyens seynois et français. »

« Faire de La Seyne une ville plus sûre et plus sereine »

Ainsi, étaient présents : le préfet du Var, Evence Richard, la sous-préfète Audrey Graffault et la déléguée du préfet, Nadine Giraud, le procureur de la République, Samuel Filnielz, le directeur académique des services de l’Éducation nationale (Daasen), Alain Aubert ; et représentés : la Direction des services départementaux de l’Éducation nationale (DSDEN), la Direction territoriale de la Protection judiciaire de la jeunesse (PJJ), les Services territoriaux éducatifs de milieu ouvert (STEMO) de la PJJ, le Service pénitentiaire d’insertion et de probation (SPIP), la Police nationale, la Direction de la sûreté publique de la Ville, les sapeurs-pompiers, le bailleur social Toulon Habitat Méditerranée, ainsi que les associations Nouvel Horizon, APEA (Association de prévention et d’aide à l’insertion), Avef (Association Vivre en famille), Aaviv (association d’aide aux victimes d’infraction du Var).

« Nous avons opté, a poursuivi Nathalie Bicais, pour une dimension opérationnelle du CLSPD en créant des groupes de travail thématiques : tranquillité, absentéisme, violences conjugales et intrafamiliales ou prévention de la récidive. »

Ce vendredi 25 novembre, il s’agissait donc, pour Nathalie Bicais et son adjoint délégué à la politique de la ville, Cheikh Mansour, de dresser, « le bilan de nos actions, identifier nos forces, nos progrès et corriger nos faiblesses ». Ce, afin de « faire de La Seyne une ville plus sûre et plus sereine ».

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« Dans notre ville, nous faisons de la tranquillité publique le préalable indispensable à chacune de nos actions publiques », a souligné Nathalie Bicais, maire de La Seyne-sur-Mer, en introduction de l’assemblée plénière du Contrat local de sécurité et de prévention de la délinquance (CLSPD), qui s’est tenu le 25 novembre dernier. À l’Hôtel de Ville, étaient ainsi réunis tous les acteurs de cette instance de coordination, dont le maire a rappelé la vocation : « Le CLSPD constitue une feuille de route réunissant des champs pluriels tels que le système éducatif, la cellule familiale, l’insertion professionnelle, la sûreté publique et la justice.

Ensemble, nous avons pour objectifs communs de travailler sur les facteurs de risque qui sont à l’origine de la délinquance, éviter la répétition des comportements fautifs, identifier l’isolement des publics les plus fragiles et les plus touchés, tracer les bases d’un parcours républicain pour nos jeunes en difficulté, afin qu’ils évitent le chemin de la délinquance et se construisent en tant que futurs citoyens seynois et français. »

« Faire de La Seyne une ville plus sûre et plus sereine »

Ainsi, étaient présents : le préfet du Var, Evence Richard, la sous-préfète Audrey Graffault et la déléguée du préfet, Nadine Giraud, le procureur de la République, Samuel Filnielz, le directeur académique des services de l’Éducation nationale (Daasen), Alain Aubert ; et représentés : la Direction des services départementaux de l’Éducation nationale (DSDEN), la Direction territoriale de la Protection judiciaire de la jeunesse (PJJ), les Services territoriaux éducatifs de milieu ouvert (STEMO) de la PJJ, le Service pénitentiaire d’insertion et de probation (SPIP), la Police nationale, la Direction de la sûreté publique de la Ville, les sapeurs-pompiers, le bailleur social Toulon Habitat Méditerranée, ainsi que les associations Nouvel Horizon, APEA (Association de prévention et d’aide à l’insertion), Avef (Association Vivre en famille), Aaviv (association d’aide aux victimes d’infraction du Var).

« Nous avons opté, a poursuivi Nathalie Bicais, pour une dimension opérationnelle du CLSPD en créant des groupes de travail thématiques : tranquillité, absentéisme, violences conjugales et intrafamiliales ou prévention de la récidive. »

Ce vendredi 25 novembre, il s’agissait donc, pour Nathalie Bicais et son adjoint délégué à la politique de la ville, Cheikh Mansour, de dresser, « le bilan de nos actions, identifier nos forces, nos progrès et corriger nos faiblesses ». Ce, afin de « faire de La Seyne une ville plus sûre et plus sereine ».

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