Il existe un lieu qui peut vous transporter jusqu’aux quatre coins du monde et vous permettre de vivre les plus belles émotions. Rue République, depuis presque dix ans à présent, le Six n’étoiles à ouvert ses portes au monde de la culture.

En 2019, la structure affichait des chiffres records en comptabilisant 220 000 entrées mais avec la crise sanitaire et les restrictions qui lui sont liées, comme dans tous les établissements similaires de France, les recettes s’effondrent en 2020 et 2021 avec 50 000 entrées pour la première année et 90 000 pour la seconde. Le monde des salles obscures panique, les grands distributeurs investissent dans les plateformes. Pour Disney, pour ne citer que lui, c’est la course aux foyers: Black Widow, Cruella, Mulan, Soul, tous ces films apparaissent en streaming en même temps qu’au cinéma.

Dans l’industrie, on prévoit une défaite des grands écrans face aux petits. Le partie semble perdue. Toute la partie ? Non ! Une poignée d’irréductibles Gaulois résiste encore et toujours à l’envahisseur.

À Six-Fours, la directrice a misé sur sa carte fétiche : celle de la rencontre avec le public et de la proximité. Elle raconte : « Pour le grand public, l’année a été portée par des grosses productions comme Top Gun: Maverick, Jurassic World, Black Panther et Avatar qui nous offre une très belle fin d’année. Mais en centre ville, on aime surtout la proximité : échanger après un film, mêler les arts avec un concert en début de séance pour plus d’émotions, avoir un réalisateur qui vient expliquer son travail en amont de la projection (…). Ici, nous avons la chance d’avoir des spectateurs curieux de tout et toujours à l’affut d’une nouvelle rencontre. C’est pour cette raison que 2022, sans être l’année du record, nous voit afficher à nouveau de bons résultats avec 160 000 entrées. » Le travail de terrain qu’elle effectue avant certains projections, elle le fournie aussi pour la jeunesse.

Presque tous les matins en semaine, lorsque le cinéma est fermé au public, les enfants et les adolescents du Ouest-Var sont rois.

« Nous recevons des écoles couramment, l’éducation à l’image est quelque chose qui nous tient à coeur. Nous avons des lycéens qui font école du cinéma en option et qui cette année ont vu des chefs-d’oeuvres d’Asie. Le grand écran est un excellent moyen de découvrir le patrimoine. Des collégiens quant-à-eux ont pu vivre l’actualité autrement grâce à des projections comme par exemple avec le film « She Said » qui suit l’enquête des journalistes du New York Times qui va aboutir à la fameuse affaire Weinstein et donc au lancement du mouvement #Metoo. Pour les plus jeunes, il y a des dessins animés et des souvenirs impérissables à la clef puisque le cinéma est aussi là pour faire rêver. » 

Il existe un lieu qui peut vous transporter jusqu’aux quatre coins du monde et vous permettre de vivre les plus belles émotions. Rue République, depuis presque dix ans à présent, le Six n’étoiles à ouvert ses portes au monde de la culture.

En 2019, la structure affichait des chiffres records en comptabilisant 220 000 entrées mais avec la crise sanitaire et les restrictions qui lui sont liées, comme dans tous les établissements similaires de France, les recettes s’effondrent en 2020 et 2021 avec 50 000 entrées pour la première année et 90 000 pour la seconde. Le monde des salles obscures panique, les grands distributeurs investissent dans les plateformes. Pour Disney, pour ne citer que lui, c’est la course aux foyers: Black Widow, Cruella, Mulan, Soul, tous ces films apparaissent en streaming en même temps qu’au cinéma.

Dans l’industrie, on prévoit une défaite des grands écrans face aux petits. Le partie semble perdue. Toute la partie ? Non ! Une poignée d’irréductibles Gaulois résiste encore et toujours à l’envahisseur.

À Six-Fours, la directrice a misé sur sa carte fétiche : celle de la rencontre avec le public et de la proximité. Elle raconte : « Pour le grand public, l’année a été portée par des grosses productions comme Top Gun: Maverick, Jurassic World, Black Panther et Avatar qui nous offre une très belle fin d’année. Mais en centre ville, on aime surtout la proximité : échanger après un film, mêler les arts avec un concert en début de séance pour plus d’émotions, avoir un réalisateur qui vient expliquer son travail en amont de la projection (…). Ici, nous avons la chance d’avoir des spectateurs curieux de tout et toujours à l’affut d’une nouvelle rencontre. C’est pour cette raison que 2022, sans être l’année du record, nous voit afficher à nouveau de bons résultats avec 160 000 entrées. » Le travail de terrain qu’elle effectue avant certains projections, elle le fournie aussi pour la jeunesse.

Presque tous les matins en semaine, lorsque le cinéma est fermé au public, les enfants et les adolescents du Ouest-Var sont rois.

« Nous recevons des écoles couramment, l’éducation à l’image est quelque chose qui nous tient à coeur. Nous avons des lycéens qui font école du cinéma en option et qui cette année ont vu des chefs-d’oeuvres d’Asie. Le grand écran est un excellent moyen de découvrir le patrimoine. Des collégiens quant-à-eux ont pu vivre l’actualité autrement grâce à des projections comme par exemple avec le film « She Said » qui suit l’enquête des journalistes du New York Times qui va aboutir à la fameuse affaire Weinstein et donc au lancement du mouvement #Metoo. Pour les plus jeunes, il y a des dessins animés et des souvenirs impérissables à la clef puisque le cinéma est aussi là pour faire rêver. » 

Il existe un lieu qui peut vous transporter jusqu’aux quatre coins du monde et vous permettre de vivre les plus belles émotions. Rue République, depuis presque dix ans à présent, le Six n’étoiles à ouvert ses portes au monde de la culture.

En 2019, la structure affichait des chiffres records en comptabilisant 220 000 entrées mais avec la crise sanitaire et les restrictions qui lui sont liées, comme dans tous les établissements similaires de France, les recettes s’effondrent en 2020 et 2021 avec 50 000 entrées pour la première année et 90 000 pour la seconde. Le monde des salles obscures panique, les grands distributeurs investissent dans les plateformes. Pour Disney, pour ne citer que lui, c’est la course aux foyers: Black Widow, Cruella, Mulan, Soul, tous ces films apparaissent en streaming en même temps qu’au cinéma.

Dans l’industrie, on prévoit une défaite des grands écrans face aux petits. Le partie semble perdue. Toute la partie ? Non ! Une poignée d’irréductibles Gaulois résiste encore et toujours à l’envahisseur.

À Six-Fours, la directrice a misé sur sa carte fétiche : celle de la rencontre avec le public et de la proximité. Elle raconte : « Pour le grand public, l’année a été portée par des grosses productions comme Top Gun: Maverick, Jurassic World, Black Panther et Avatar qui nous offre une très belle fin d’année. Mais en centre ville, on aime surtout la proximité : échanger après un film, mêler les arts avec un concert en début de séance pour plus d’émotions, avoir un réalisateur qui vient expliquer son travail en amont de la projection (…). Ici, nous avons la chance d’avoir des spectateurs curieux de tout et toujours à l’affut d’une nouvelle rencontre. C’est pour cette raison que 2022, sans être l’année du record, nous voit afficher à nouveau de bons résultats avec 160 000 entrées. » Le travail de terrain qu’elle effectue avant certains projections, elle le fournie aussi pour la jeunesse.

Presque tous les matins en semaine, lorsque le cinéma est fermé au public, les enfants et les adolescents du Ouest-Var sont rois.

« Nous recevons des écoles couramment, l’éducation à l’image est quelque chose qui nous tient à coeur. Nous avons des lycéens qui font école du cinéma en option et qui cette année ont vu des chefs-d’oeuvres d’Asie. Le grand écran est un excellent moyen de découvrir le patrimoine. Des collégiens quant-à-eux ont pu vivre l’actualité autrement grâce à des projections comme par exemple avec le film « She Said » qui suit l’enquête des journalistes du New York Times qui va aboutir à la fameuse affaire Weinstein et donc au lancement du mouvement #Metoo. Pour les plus jeunes, il y a des dessins animés et des souvenirs impérissables à la clef puisque le cinéma est aussi là pour faire rêver. »