Dans la zone des Playes, une grande bâtisse domine. A vol d’oiseau, elle est à quelques mètres du Fort de Six-Fours. Entre ces murs, 23 appartements à la location. Ici, tout est calme et reposant comme un dimanche après-midi en famille. On joue au scrabble, on raconte les anecdotes qui font une vie près du feu et on bouquine dans des fauteuils en velours au pied d’une grande bibliothèque aménagée avec soin aux goûts de chacun.

Cette ambiance, c’était le souhait de Albert Martin, PDG de l’ehpad Bellevue, où une de ses filles est directrice. Il avait dans l’idée depuis plusieurs années déjà de revenir à la source de son métier : créer un lieu de vie pour les Séniors.

Il raconte : “​Nous avons créé l’ehpad il y a de cela 25 ans, et nous avions envie de mettre toute notre expérience et notre savoir faire au service du plus grand nombre. A l’époque, dans les campagnes, il existait une grande solidarité. Les aînés se retrouvaient sur la place du village, il n’y avait pas d’isolement ou peu, les gens prenaient soin des uns et des autres. Le voisin n’était pas un étranger”.

Il reprend :​ “C’est cette dynamique que nous souhaitons aujourd’hui installer. Nous avons imaginé comme un club de résidence pour les seniors avec de nombreux services pour qu’ils n’aient plus le soucis du quotidien. Un chef cuisine chaque jour dans les cuisines des plats faits maison, des associations de la ville viennent proposer des animations, et nous avons un cabinet ​de kinésithérapeutes et d’infirmiers dans nos locaux s’il y a besoin”.

Stéphanie Matin, sa seconde fille, est directrice du nouvel établissement.​ “Elle a su faire ses preuves à l’ehpad pendant des années, il était temps qu’elle puisse faire profiter le plus grand nombre de ses compétences”​ confie le père.

La jeune femme termine : ​“Nous travaillons en famille, nous avons donc la même philosophie de vie et les mêmes valeurs. Mon souhait le plus cher, c’est que les fêtes de fin d’année se déroulent comme à l’ehpad. C’est à dire que les tables ne se vident pas, bien au contraire. J’espère que les familles nous rejoindrons, avec enfants et petits-enfants.”

« Notre véritable but n’est pas de multiplier les résidents à foison, mais véritablement de recréer un cocon. Je souhaite connaître chaque personne qui entre chez nous, et pouvoir prendre le temps de parler avec, tous les jours. Nous avons prévu d’organiser des soirées dansantes, des ateliers, des conférences, quelques cours de zumba … une chose est certaine, il va y avoir du mouvement … (rire). »

Dans la zone des Playes, une grande bâtisse domine. A vol d’oiseau, elle est à quelques mètres du Fort de Six-Fours. Entre ces murs, 23 appartements à la location. Ici, tout est calme et reposant comme un dimanche après-midi en famille. On joue au scrabble, on raconte les anecdotes qui font une vie près du feu et on bouquine dans des fauteuils en velours au pied d’une grande bibliothèque aménagée avec soin aux goûts de chacun.

Cette ambiance, c’était le souhait de Albert Martin, PDG de l’ehpad Bellevue, où une de ses filles est directrice. Il avait dans l’idée depuis plusieurs années déjà de revenir à la source de son métier : créer un lieu de vie pour les Séniors.

Il raconte : “​Nous avons créé l’ehpad il y a de cela 25 ans, et nous avions envie de mettre toute notre expérience et notre savoir faire au service du plus grand nombre. A l’époque, dans les campagnes, il existait une grande solidarité. Les aînés se retrouvaient sur la place du village, il n’y avait pas d’isolement ou peu, les gens prenaient soin des uns et des autres. Le voisin n’était pas un étranger”.

Il reprend :​ “C’est cette dynamique que nous souhaitons aujourd’hui installer. Nous avons imaginé comme un club de résidence pour les seniors avec de nombreux services pour qu’ils n’aient plus le soucis du quotidien. Un chef cuisine chaque jour dans les cuisines des plats faits maison, des associations de la ville viennent proposer des animations, et nous avons un cabinet ​de kinésithérapeutes et d’infirmiers dans nos locaux s’il y a besoin”.

Stéphanie Matin, sa seconde fille, est directrice du nouvel établissement.​ “Elle a su faire ses preuves à l’ehpad pendant des années, il était temps qu’elle puisse faire profiter le plus grand nombre de ses compétences”​ confie le père.

La jeune femme termine : ​“Nous travaillons en famille, nous avons donc la même philosophie de vie et les mêmes valeurs. Mon souhait le plus cher, c’est que les fêtes de fin d’année se déroulent comme à l’ehpad. C’est à dire que les tables ne se vident pas, bien au contraire. J’espère que les familles nous rejoindrons, avec enfants et petits-enfants.”

« Notre véritable but n’est pas de multiplier les résidents à foison, mais véritablement de recréer un cocon. Je souhaite connaître chaque personne qui entre chez nous, et pouvoir prendre le temps de parler avec, tous les jours. Nous avons prévu d’organiser des soirées dansantes, des ateliers, des conférences, quelques cours de zumba … une chose est certaine, il va y avoir du mouvement … (rire). »

Dans la zone des Playes, une grande bâtisse domine. A vol d’oiseau, elle est à quelques mètres du Fort de Six-Fours. Entre ces murs, 23 appartements à la location. Ici, tout est calme et reposant comme un dimanche après-midi en famille. On joue au scrabble, on raconte les anecdotes qui font une vie près du feu et on bouquine dans des fauteuils en velours au pied d’une grande bibliothèque aménagée avec soin aux goûts de chacun.

Cette ambiance, c’était le souhait de Albert Martin, PDG de l’ehpad Bellevue, où une de ses filles est directrice. Il avait dans l’idée depuis plusieurs années déjà de revenir à la source de son métier : créer un lieu de vie pour les Séniors.

Il raconte : “​Nous avons créé l’ehpad il y a de cela 25 ans, et nous avions envie de mettre toute notre expérience et notre savoir faire au service du plus grand nombre. A l’époque, dans les campagnes, il existait une grande solidarité. Les aînés se retrouvaient sur la place du village, il n’y avait pas d’isolement ou peu, les gens prenaient soin des uns et des autres. Le voisin n’était pas un étranger”.

Il reprend :​ “C’est cette dynamique que nous souhaitons aujourd’hui installer. Nous avons imaginé comme un club de résidence pour les seniors avec de nombreux services pour qu’ils n’aient plus le soucis du quotidien. Un chef cuisine chaque jour dans les cuisines des plats faits maison, des associations de la ville viennent proposer des animations, et nous avons un cabinet ​de kinésithérapeutes et d’infirmiers dans nos locaux s’il y a besoin”.

Stéphanie Matin, sa seconde fille, est directrice du nouvel établissement.​ “Elle a su faire ses preuves à l’ehpad pendant des années, il était temps qu’elle puisse faire profiter le plus grand nombre de ses compétences”​ confie le père.

La jeune femme termine : ​“Nous travaillons en famille, nous avons donc la même philosophie de vie et les mêmes valeurs. Mon souhait le plus cher, c’est que les fêtes de fin d’année se déroulent comme à l’ehpad. C’est à dire que les tables ne se vident pas, bien au contraire. J’espère que les familles nous rejoindrons, avec enfants et petits-enfants.”

« Notre véritable but n’est pas de multiplier les résidents à foison, mais véritablement de recréer un cocon. Je souhaite connaître chaque personne qui entre chez nous, et pouvoir prendre le temps de parler avec, tous les jours. Nous avons prévu d’organiser des soirées dansantes, des ateliers, des conférences, quelques cours de zumba … une chose est certaine, il va y avoir du mouvement … (rire). »