Comme tous les seconds samedis du mois, le club des anciennes automobiles varoises accompagnés de quelques passionnés possédant également des véhicules de plus de trente ans d’âge, sont venus exposer sur la place Décugis et rue de la République. Comme à son habitude, le rendez-vous a séduit aussi bien les petits que les grands. Avec un parc qui sait se renouveler à chaque rencontre avec le public, l’événement n’en finit pas de séduire les foules.

Un lien entre les générations.

Pour certains, comme François, un heureux grand-père de 75 ans, c’est même, « le petit plaisir familial du mois. Mon petit-fils Nicolas est un amoureux des petites voitures. Alors à chaque fois, c’est le même jeu, on voit si on peut trouver en vrai, celles qu’ils affectionnent tant. Et inversement, s’il a un coup de coeur pour un modèle grandeur nature, on essaie de le trouver dans le commerce pendant le mois. Cette histoire nous tient bien occupés lui comme moi, je l’admets (rires) ».

 Le van Wolkswagen, un symbole de la liberté.

 Éric possède la même passion depuis presque toujours. Lorsqu’il est adolescent, son regard croise un van Wolkswagen dans la rue. Cette image ne le quittera plus. « Je ne sais pas vraiment pourquoi, c’est peut-être l’esthétisme du véhicule qui est tout en rondeur, ou peut-être ce que cela transmet comme valeur. Il y a l’amour des seventies, de la liberté, mais aussi l’idée qu’avec ce véhicule, on peut rouler jusqu’au bout du monde sans contrainte de logement ou autre. Je crois que c’est une histoire de liberté finalement (rires). » Eric n’a pas le temps de finir de conter ses dernières aventures, qu’une passante souhaite que l’on ouvre le toit du véhicule, elle questionne avant d’affirmer : « C’est le rêve de ma vie d’en posséder un« . Le propriétaire du van reprend : « Il y a ça aussi, les gens aiment les choses anciennes. Lorsque je pars sur la route, on me questionne souvent ou les gens prennent des photos. On partage quelque chose avec des anonymes et c’est plaisant. » À la tête d’une famille recomposée, avec sa compagne, Eric est en charge de quatre jeunes garçons. « Au-delà de l’aspect plaisir, lorsqu’on est nombreux à la maison, partir en vacances avec un van et une tente, c’est sortir un peu des clous et s’offrir un grand trip dans la nature. On affectionne particulièrement les espaces sauvages. Les enfants peuvent se dépenser, ils sont heureux et nous aussi. » Ainsi, si certains collectionneurs, durant cette matinée, mettront en avant l’âme de leur véhicules anciens, d’autres, prennent la chose comme un retour aux sources, un mode de vie alternatif ou encore un  socle pour vivre de belles aventures familiales.

Comme tous les seconds samedis du mois, le club des anciennes automobiles varoises accompagnés de quelques passionnés possédant également des véhicules de plus de trente ans d’âge, sont venus exposer sur la place Décugis et rue de la République. Comme à son habitude, le rendez-vous a séduit aussi bien les petits que les grands. Avec un parc qui sait se renouveler à chaque rencontre avec le public, l’événement n’en finit pas de séduire les foules.

Un lien entre les générations.

Pour certains, comme François, un heureux grand-père de 75 ans, c’est même, « le petit plaisir familial du mois. Mon petit-fils Nicolas est un amoureux des petites voitures. Alors à chaque fois, c’est le même jeu, on voit si on peut trouver en vrai, celles qu’ils affectionnent tant. Et inversement, s’il a un coup de coeur pour un modèle grandeur nature, on essaie de le trouver dans le commerce pendant le mois. Cette histoire nous tient bien occupés lui comme moi, je l’admets (rires) ».

 Le van Wolkswagen, un symbole de la liberté.

 Éric possède la même passion depuis presque toujours. Lorsqu’il est adolescent, son regard croise un van Wolkswagen dans la rue. Cette image ne le quittera plus. « Je ne sais pas vraiment pourquoi, c’est peut-être l’esthétisme du véhicule qui est tout en rondeur, ou peut-être ce que cela transmet comme valeur. Il y a l’amour des seventies, de la liberté, mais aussi l’idée qu’avec ce véhicule, on peut rouler jusqu’au bout du monde sans contrainte de logement ou autre. Je crois que c’est une histoire de liberté finalement (rires). » Eric n’a pas le temps de finir de conter ses dernières aventures, qu’une passante souhaite que l’on ouvre le toit du véhicule, elle questionne avant d’affirmer : « C’est le rêve de ma vie d’en posséder un« . Le propriétaire du van reprend : « Il y a ça aussi, les gens aiment les choses anciennes. Lorsque je pars sur la route, on me questionne souvent ou les gens prennent des photos. On partage quelque chose avec des anonymes et c’est plaisant. » À la tête d’une famille recomposée, avec sa compagne, Eric est en charge de quatre jeunes garçons. « Au-delà de l’aspect plaisir, lorsqu’on est nombreux à la maison, partir en vacances avec un van et une tente, c’est sortir un peu des clous et s’offrir un grand trip dans la nature. On affectionne particulièrement les espaces sauvages. Les enfants peuvent se dépenser, ils sont heureux et nous aussi. » Ainsi, si certains collectionneurs, durant cette matinée, mettront en avant l’âme de leur véhicules anciens, d’autres, prennent la chose comme un retour aux sources, un mode de vie alternatif ou encore un  socle pour vivre de belles aventures familiales.

Comme tous les seconds samedis du mois, le club des anciennes automobiles varoises accompagnés de quelques passionnés possédant également des véhicules de plus de trente ans d’âge, sont venus exposer sur la place Décugis et rue de la République. Comme à son habitude, le rendez-vous a séduit aussi bien les petits que les grands. Avec un parc qui sait se renouveler à chaque rencontre avec le public, l’événement n’en finit pas de séduire les foules.

Un lien entre les générations.

Pour certains, comme François, un heureux grand-père de 75 ans, c’est même, « le petit plaisir familial du mois. Mon petit-fils Nicolas est un amoureux des petites voitures. Alors à chaque fois, c’est le même jeu, on voit si on peut trouver en vrai, celles qu’ils affectionnent tant. Et inversement, s’il a un coup de coeur pour un modèle grandeur nature, on essaie de le trouver dans le commerce pendant le mois. Cette histoire nous tient bien occupés lui comme moi, je l’admets (rires) ».

 Le van Wolkswagen, un symbole de la liberté.

 Éric possède la même passion depuis presque toujours. Lorsqu’il est adolescent, son regard croise un van Wolkswagen dans la rue. Cette image ne le quittera plus. « Je ne sais pas vraiment pourquoi, c’est peut-être l’esthétisme du véhicule qui est tout en rondeur, ou peut-être ce que cela transmet comme valeur. Il y a l’amour des seventies, de la liberté, mais aussi l’idée qu’avec ce véhicule, on peut rouler jusqu’au bout du monde sans contrainte de logement ou autre. Je crois que c’est une histoire de liberté finalement (rires). » Eric n’a pas le temps de finir de conter ses dernières aventures, qu’une passante souhaite que l’on ouvre le toit du véhicule, elle questionne avant d’affirmer : « C’est le rêve de ma vie d’en posséder un« . Le propriétaire du van reprend : « Il y a ça aussi, les gens aiment les choses anciennes. Lorsque je pars sur la route, on me questionne souvent ou les gens prennent des photos. On partage quelque chose avec des anonymes et c’est plaisant. » À la tête d’une famille recomposée, avec sa compagne, Eric est en charge de quatre jeunes garçons. « Au-delà de l’aspect plaisir, lorsqu’on est nombreux à la maison, partir en vacances avec un van et une tente, c’est sortir un peu des clous et s’offrir un grand trip dans la nature. On affectionne particulièrement les espaces sauvages. Les enfants peuvent se dépenser, ils sont heureux et nous aussi. » Ainsi, si certains collectionneurs, durant cette matinée, mettront en avant l’âme de leur véhicules anciens, d’autres, prennent la chose comme un retour aux sources, un mode de vie alternatif ou encore un  socle pour vivre de belles aventures familiales.