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mardi 17 juin 2025

Marseille: des manifestants bravent le couvre-feu pour dénoncer la « casse sociale »

Flambeaux en main une fois la nuit tombée. Ce mardi soir quelques centaines de personnes ont bravé le couvre-feu mis en place par le gouvernement pour lutter contre la propagation du Covid. Leur but : manifester à la nuit tombée dans le centre de Marseille afin de dénoncer « La Casse sociale ». 

Les manifestants qui répondaient à l’appel de plusieurs organisations dont le Parti communiste et le syndicat CGT.

« Les moyens ne sont pas mis dans la recherche, dans la prévention ou le soin. Et chaque semaine, on annonce des fermetures d’activités et des plans de sauvegarde de l’emploi qui n’en sont jamais », a dénoncé Olivier Mateu, secrétaire général de la CGT des Bouches-du-Rhône.

Les policiers n’ont pas effectué de contrôles.

Des « justificatifs de déplacement pour activités syndicales », édités par la CGT, ont été distribués aux manifestants qui en ont fait la demande pour participer à la manifestation puis retourner à leur domicile après 18h00. Mais les rares policiers qui suivaient le cortège n’effectuaient pas de contrôles.

Plus d’informations en cliquant ici. 

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Marseille: des manifestants bravent le couvre-feu pour dénoncer la « casse sociale »

Flambeaux en main une fois la nuit tombée. Ce mardi soir quelques centaines de personnes ont bravé le couvre-feu mis en place par le gouvernement pour lutter contre la propagation du Covid. Leur but : manifester à la nuit tombée dans le centre de Marseille afin de dénoncer « La Casse sociale ». 

Les manifestants qui répondaient à l’appel de plusieurs organisations dont le Parti communiste et le syndicat CGT.

« Les moyens ne sont pas mis dans la recherche, dans la prévention ou le soin. Et chaque semaine, on annonce des fermetures d’activités et des plans de sauvegarde de l’emploi qui n’en sont jamais », a dénoncé Olivier Mateu, secrétaire général de la CGT des Bouches-du-Rhône.

Les policiers n’ont pas effectué de contrôles.

Des « justificatifs de déplacement pour activités syndicales », édités par la CGT, ont été distribués aux manifestants qui en ont fait la demande pour participer à la manifestation puis retourner à leur domicile après 18h00. Mais les rares policiers qui suivaient le cortège n’effectuaient pas de contrôles.

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« Les moyens ne sont pas mis dans la recherche, dans la prévention ou le soin. Et chaque semaine, on annonce des fermetures d’activités et des plans de sauvegarde de l’emploi qui n’en sont jamais », a dénoncé Olivier Mateu, secrétaire général de la CGT des Bouches-du-Rhône.

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