Après Édouard Philippe et François Hollande, c’était au tour de Nicolas Sarkozy de participer aux entretiens littérairesorganisés par le Comité de liaison des associations bruscaines (Clab). L’ancien président de la République s’est rendu mercredi soir à la Maison du Patrimoine du Brusc, à Six-Fours-les-Plages, pour présenter son dernier ouvrage, Le Temps des combats.

Devant un public venu nombreux, Nicolas Sarkozy s’est livré à une série de confidences autour de la deuxième partie de son quinquennat, couvrant la période 2009 à 2011. Dans un récit sans détour, il a mêlé souvenirs personnels et révélations sur les coulisses du pouvoir.

Il est notamment revenu sur l’émotion de Carla Bruni lors de l’affaire de Sakineh Mohammadi Ashtiani, cette Iranienne menacée de lapidation pour adultère. Touchée, la Première dame avait alors pris la plume pour publier une tribune. En réaction, un journal iranien l’avait insultée, allant jusqu’à écrire qu’elle méritait elle aussi de mourir. Devant le tollé international, le ministère des Affaires étrangères iranien avait finalement adressé des excuses officielles à l’Élysée.

Sur le terrain de la géopolitique, Nicolas Sarkozy a rappelé son opposition ferme à l’adhésion de l’Ukraine à l’Otan en 2008, position qu’il avait défendue aux côtés d’Angela Merkel. « Si nous avions cédé, l’Europe serait aujourd’hui en guerre avec la Russie », a-t-il déclaré, en évoquant les implications de l’article 5 de l’Alliance atlantique.

L’ancien chef de l’État a également évoqué le drame du vol Rio-Paris d’Air France, survenu en 2009. Il a confié combien l’annonce de la mort des passagers aux familles l’avait profondément marqué. Il a également rappelé les décisions prises pour protéger la France face à la menace de l’épidémie de H1N1, n’hésitant pas à faire un parallèle avec la gestion de la crise du Covid-19 par la majorité actuelle.

Cette rencontre, empreinte de gravité et d’humanité, a permis aux participants de mieux comprendre les rouages du pouvoir et les émotions parfois enfouies derrière les discours officiels.

📍 Maison du Patrimoine du Brusc, Corniche des Îles, Six-Fours-les-Plages.
🎟️ Entrée libre.

Après Édouard Philippe et François Hollande, c’était au tour de Nicolas Sarkozy de participer aux entretiens littérairesorganisés par le Comité de liaison des associations bruscaines (Clab). L’ancien président de la République s’est rendu mercredi soir à la Maison du Patrimoine du Brusc, à Six-Fours-les-Plages, pour présenter son dernier ouvrage, Le Temps des combats.

Devant un public venu nombreux, Nicolas Sarkozy s’est livré à une série de confidences autour de la deuxième partie de son quinquennat, couvrant la période 2009 à 2011. Dans un récit sans détour, il a mêlé souvenirs personnels et révélations sur les coulisses du pouvoir.

Il est notamment revenu sur l’émotion de Carla Bruni lors de l’affaire de Sakineh Mohammadi Ashtiani, cette Iranienne menacée de lapidation pour adultère. Touchée, la Première dame avait alors pris la plume pour publier une tribune. En réaction, un journal iranien l’avait insultée, allant jusqu’à écrire qu’elle méritait elle aussi de mourir. Devant le tollé international, le ministère des Affaires étrangères iranien avait finalement adressé des excuses officielles à l’Élysée.

Sur le terrain de la géopolitique, Nicolas Sarkozy a rappelé son opposition ferme à l’adhésion de l’Ukraine à l’Otan en 2008, position qu’il avait défendue aux côtés d’Angela Merkel. « Si nous avions cédé, l’Europe serait aujourd’hui en guerre avec la Russie », a-t-il déclaré, en évoquant les implications de l’article 5 de l’Alliance atlantique.

L’ancien chef de l’État a également évoqué le drame du vol Rio-Paris d’Air France, survenu en 2009. Il a confié combien l’annonce de la mort des passagers aux familles l’avait profondément marqué. Il a également rappelé les décisions prises pour protéger la France face à la menace de l’épidémie de H1N1, n’hésitant pas à faire un parallèle avec la gestion de la crise du Covid-19 par la majorité actuelle.

Cette rencontre, empreinte de gravité et d’humanité, a permis aux participants de mieux comprendre les rouages du pouvoir et les émotions parfois enfouies derrière les discours officiels.

📍 Maison du Patrimoine du Brusc, Corniche des Îles, Six-Fours-les-Plages.
🎟️ Entrée libre.

Après Édouard Philippe et François Hollande, c’était au tour de Nicolas Sarkozy de participer aux entretiens littérairesorganisés par le Comité de liaison des associations bruscaines (Clab). L’ancien président de la République s’est rendu mercredi soir à la Maison du Patrimoine du Brusc, à Six-Fours-les-Plages, pour présenter son dernier ouvrage, Le Temps des combats.

Devant un public venu nombreux, Nicolas Sarkozy s’est livré à une série de confidences autour de la deuxième partie de son quinquennat, couvrant la période 2009 à 2011. Dans un récit sans détour, il a mêlé souvenirs personnels et révélations sur les coulisses du pouvoir.

Il est notamment revenu sur l’émotion de Carla Bruni lors de l’affaire de Sakineh Mohammadi Ashtiani, cette Iranienne menacée de lapidation pour adultère. Touchée, la Première dame avait alors pris la plume pour publier une tribune. En réaction, un journal iranien l’avait insultée, allant jusqu’à écrire qu’elle méritait elle aussi de mourir. Devant le tollé international, le ministère des Affaires étrangères iranien avait finalement adressé des excuses officielles à l’Élysée.

Sur le terrain de la géopolitique, Nicolas Sarkozy a rappelé son opposition ferme à l’adhésion de l’Ukraine à l’Otan en 2008, position qu’il avait défendue aux côtés d’Angela Merkel. « Si nous avions cédé, l’Europe serait aujourd’hui en guerre avec la Russie », a-t-il déclaré, en évoquant les implications de l’article 5 de l’Alliance atlantique.

L’ancien chef de l’État a également évoqué le drame du vol Rio-Paris d’Air France, survenu en 2009. Il a confié combien l’annonce de la mort des passagers aux familles l’avait profondément marqué. Il a également rappelé les décisions prises pour protéger la France face à la menace de l’épidémie de H1N1, n’hésitant pas à faire un parallèle avec la gestion de la crise du Covid-19 par la majorité actuelle.

Cette rencontre, empreinte de gravité et d’humanité, a permis aux participants de mieux comprendre les rouages du pouvoir et les émotions parfois enfouies derrière les discours officiels.

📍 Maison du Patrimoine du Brusc, Corniche des Îles, Six-Fours-les-Plages.
🎟️ Entrée libre.