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dimanche 12 janvier 2025

Sanary : portrait d’une artiste. « Ce que je fais, c’est de l’art Trippal. »

Isabelle Van Collie est une femme sans concession. Elle vit où ses pinceaux la mènent, traversant les frontières en fonction des imprévus qui se présentent dans sa vie et émergent sur ses toiles. Toutes ses expériences de vie, elle les transforme en œuvre.

D’abord graphiste dans une agence de pub en Belgique, elle quitte tout pour « rejoindre l’humain » et travailler dans l’accompagnement des personnes en difficulté et en fin de vie. Elle embrasse différentes méthodes thérapeutiques comme la Gestalt, elle utilise dans son quotidien l’art, le théâtre, la peinture, la danse et le massage pour communiquer avec ceux qui n’ont plus les mots.

A partir de 2000, elle devient « Clown Relationnel » en soin palliatif, psychomotricienne et art thérapeute pour personnes démentes ou atteintes de la maladie d’Alzheimer.

En 2019, elle sent le naufrage de son âme arriver. Alors, comme elle le fait depuis toujours, elle utilise l’art comme une bouée. Elle multiplie les toiles, produit des photographies qui s’exposent en Europe et passe une formation pour devenir peintre décorateur. Bientôt, elle est contactée par les centres hospitaliers et les EHPAD pour remettre de la gaieté dans le monde du soin. Sur des murs qui font le quotidien des malades, elle dessine la vie, imagine des paysages où s’évader. « Je connais le monde des pathologies, intervient-elle, je sais comment m’adapter à l’humain. » Isabelle est ouverte à toutes les envies artistiques.

Insta: Isabelgevancollie Site : https://isavancollie.wixsite.com/ #Articlesponsorisé

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Sanary : portrait d’une artiste. « Ce que je fais, c’est de l’art Trippal. »

Isabelle Van Collie est une femme sans concession. Elle vit où ses pinceaux la mènent, traversant les frontières en fonction des imprévus qui se présentent dans sa vie et émergent sur ses toiles. Toutes ses expériences de vie, elle les transforme en œuvre.

D’abord graphiste dans une agence de pub en Belgique, elle quitte tout pour « rejoindre l’humain » et travailler dans l’accompagnement des personnes en difficulté et en fin de vie. Elle embrasse différentes méthodes thérapeutiques comme la Gestalt, elle utilise dans son quotidien l’art, le théâtre, la peinture, la danse et le massage pour communiquer avec ceux qui n’ont plus les mots.

A partir de 2000, elle devient « Clown Relationnel » en soin palliatif, psychomotricienne et art thérapeute pour personnes démentes ou atteintes de la maladie d’Alzheimer.

En 2019, elle sent le naufrage de son âme arriver. Alors, comme elle le fait depuis toujours, elle utilise l’art comme une bouée. Elle multiplie les toiles, produit des photographies qui s’exposent en Europe et passe une formation pour devenir peintre décorateur. Bientôt, elle est contactée par les centres hospitaliers et les EHPAD pour remettre de la gaieté dans le monde du soin. Sur des murs qui font le quotidien des malades, elle dessine la vie, imagine des paysages où s’évader. « Je connais le monde des pathologies, intervient-elle, je sais comment m’adapter à l’humain. » Isabelle est ouverte à toutes les envies artistiques.

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D’abord graphiste dans une agence de pub en Belgique, elle quitte tout pour « rejoindre l’humain » et travailler dans l’accompagnement des personnes en difficulté et en fin de vie. Elle embrasse différentes méthodes thérapeutiques comme la Gestalt, elle utilise dans son quotidien l’art, le théâtre, la peinture, la danse et le massage pour communiquer avec ceux qui n’ont plus les mots.

A partir de 2000, elle devient « Clown Relationnel » en soin palliatif, psychomotricienne et art thérapeute pour personnes démentes ou atteintes de la maladie d’Alzheimer.

En 2019, elle sent le naufrage de son âme arriver. Alors, comme elle le fait depuis toujours, elle utilise l’art comme une bouée. Elle multiplie les toiles, produit des photographies qui s’exposent en Europe et passe une formation pour devenir peintre décorateur. Bientôt, elle est contactée par les centres hospitaliers et les EHPAD pour remettre de la gaieté dans le monde du soin. Sur des murs qui font le quotidien des malades, elle dessine la vie, imagine des paysages où s’évader. « Je connais le monde des pathologies, intervient-elle, je sais comment m’adapter à l’humain. » Isabelle est ouverte à toutes les envies artistiques.

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