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dimanche 13 avril 2025

Six-Fours : à la caserne, l’engagement des pompiers ne faiblit pas

À Six-Fours, la caserne peut compter sur une centaine de sapeurs-pompiers, dont une vingtaine de professionnels. Les autres sont des volontaires, essentiels au bon fonctionnement du centre de secours. Une force vive sur laquelle veille le capitaine Anthony Lecomte, qui se dit confiant pour l’avenir.

« Nous avons la chance de bénéficier d’une certaine stabilité. Les candidatures sont régulières, il y a des admissions chaque année. Je peux même effectuer des pré-sélections avant de proposer les candidats aux épreuves physiques. Ce dynamisme est précieux, car nous sommes à un tournant : les générations se renouvellent, et des départs en retraite ont lieu chaque année. »

Un lien fort avec les plus jeunes

Afin de transmettre l’esprit de vocation, la caserne ouvre régulièrement ses portes aux plus jeunes. Chaque mois, des crèches et écoles sollicitent une visite. Et lorsque les contraintes opérationnelles le permettent, les pompiers répondent présents.

« Les enfants montent dans les camions, visitent la caserne, manipulent du matériel. Il y a des choses qui ne changent pas : l’image du pompier reste celle du super héros. Ces visites permettent aussi de rassurer les plus jeunes. En cas d’intervention, ils peuvent reconnaître nos tenues, se souvenir d’un visage. Ça favorise le dialogue et la confiance. »

Moins d’interventions, mais toujours présents

En 2024, le secours à la personne reste l’intervention la plus fréquente, même si le nombre global est en baisse par rapport à 2023.

« C’est une tendance régionale : les besoins ont été moindres cette année. Aucun événement majeur n’a été recensé dans notre secteur, à l’exception de l’incendie de Vidauban en juin dernier, qui a ravagé 600 hectares. Notre caserne n’a toutefois pas été mobilisée. »

Un ancrage local solide

Au-delà des interventions, les pompiers entretiennent un lien fort avec la population. La distribution annuelle des calendriers est un moment privilégié pour renforcer ce lien.

« On a compris l’importance de laisser les mêmes pompiers distribuer les calendriers dans leur secteur. Les personnes âgées, notamment, sont ravies de retrouver des visages connus. Elles se sentent en confiance, posent des questions, partagent des souvenirs. Ce sont de vrais moments d’échange, où le lien social prend tout son sens. »

Malgré l’évolution des générations, la volonté de servir et de rester proche des habitants demeure une constante à la caserne de Six-Fours. Une vocation, intacte, année après année.

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Six-Fours : à la caserne, l’engagement des pompiers ne faiblit pas

À Six-Fours, la caserne peut compter sur une centaine de sapeurs-pompiers, dont une vingtaine de professionnels. Les autres sont des volontaires, essentiels au bon fonctionnement du centre de secours. Une force vive sur laquelle veille le capitaine Anthony Lecomte, qui se dit confiant pour l’avenir.

« Nous avons la chance de bénéficier d’une certaine stabilité. Les candidatures sont régulières, il y a des admissions chaque année. Je peux même effectuer des pré-sélections avant de proposer les candidats aux épreuves physiques. Ce dynamisme est précieux, car nous sommes à un tournant : les générations se renouvellent, et des départs en retraite ont lieu chaque année. »

Un lien fort avec les plus jeunes

Afin de transmettre l’esprit de vocation, la caserne ouvre régulièrement ses portes aux plus jeunes. Chaque mois, des crèches et écoles sollicitent une visite. Et lorsque les contraintes opérationnelles le permettent, les pompiers répondent présents.

« Les enfants montent dans les camions, visitent la caserne, manipulent du matériel. Il y a des choses qui ne changent pas : l’image du pompier reste celle du super héros. Ces visites permettent aussi de rassurer les plus jeunes. En cas d’intervention, ils peuvent reconnaître nos tenues, se souvenir d’un visage. Ça favorise le dialogue et la confiance. »

Moins d’interventions, mais toujours présents

En 2024, le secours à la personne reste l’intervention la plus fréquente, même si le nombre global est en baisse par rapport à 2023.

« C’est une tendance régionale : les besoins ont été moindres cette année. Aucun événement majeur n’a été recensé dans notre secteur, à l’exception de l’incendie de Vidauban en juin dernier, qui a ravagé 600 hectares. Notre caserne n’a toutefois pas été mobilisée. »

Un ancrage local solide

Au-delà des interventions, les pompiers entretiennent un lien fort avec la population. La distribution annuelle des calendriers est un moment privilégié pour renforcer ce lien.

« On a compris l’importance de laisser les mêmes pompiers distribuer les calendriers dans leur secteur. Les personnes âgées, notamment, sont ravies de retrouver des visages connus. Elles se sentent en confiance, posent des questions, partagent des souvenirs. Ce sont de vrais moments d’échange, où le lien social prend tout son sens. »

Malgré l’évolution des générations, la volonté de servir et de rester proche des habitants demeure une constante à la caserne de Six-Fours. Une vocation, intacte, année après année.

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« Nous avons la chance de bénéficier d’une certaine stabilité. Les candidatures sont régulières, il y a des admissions chaque année. Je peux même effectuer des pré-sélections avant de proposer les candidats aux épreuves physiques. Ce dynamisme est précieux, car nous sommes à un tournant : les générations se renouvellent, et des départs en retraite ont lieu chaque année. »

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Moins d’interventions, mais toujours présents

En 2024, le secours à la personne reste l’intervention la plus fréquente, même si le nombre global est en baisse par rapport à 2023.

« C’est une tendance régionale : les besoins ont été moindres cette année. Aucun événement majeur n’a été recensé dans notre secteur, à l’exception de l’incendie de Vidauban en juin dernier, qui a ravagé 600 hectares. Notre caserne n’a toutefois pas été mobilisée. »

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« On a compris l’importance de laisser les mêmes pompiers distribuer les calendriers dans leur secteur. Les personnes âgées, notamment, sont ravies de retrouver des visages connus. Elles se sentent en confiance, posent des questions, partagent des souvenirs. Ce sont de vrais moments d’échange, où le lien social prend tout son sens. »

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