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samedi 5 octobre 2024

Un atelier de couture « aux normes d’une autre époque » dans une villa à Six-Fours

Dans une charmante villa provençale qui laisse imaginer de belles heures de farniente sous un soleil d’été, de nombreuses « petites mains » sont à l’oeuvre. Au rez-de-chaussée, elles travaillent un satin importé d’Italie en provenance de l’illustre maison de haute couture Boselli. À l’étage, on compte le nombre de maillots de bain créés depuis le début de l’année, en prévision du lancement officiel de la marque Alvana.

« Des normes d’une autre époque »

Florence Boilleau est la directrice de cet établissement « aux normes d’une autre époque ». Après une carrière menée dans le milieu de la mode parisienne, elle est revenue au coeur de la Provence avec l’envie « d’un retour au savoir ». Dans son équipe: des apprentis et des stagiaires en quête d’un grand avenir qui côtoient au quotidien des anciens des plus grandes maison : d’Aubade à Dior et Yves Saint-Laurent. Les jeunes âmes en quête de savoir sont pour la plupart, toutes en apprentissage au lycée de la Coudoulière. Certaines viennent d’obtenir leur baccalauréat et veulent poursuivre avec un BTS. Les autres, sont issus du même parcours mais ont fini par obtenir un contrat en tant que salarié. Et parce que l’idée de Florence est d’être dans la création, sans frontière, elle laisse son bureau ouvert à tous : « Il y a les stagiaires qui se découvrent un nouveau talent en dessinant des modèles mais aussi, des personnes extérieures qui nous contactent pour de nouvelles idées, comme cette femme qui était à la retraite et qui à présent fait du crochet avec de laine d’Ollioules pour nous. Je souhaite que dans mes locaux, les idées fusent. J’ai 50 ans, cette entreprise je l’ai décidé avec l’envie de transmettre quelque chose, de créer un héritage. Le savoir est le plus beau de tous. »

« L’élégance à la française »

Depuis un petit mois, la marque Alvana est commercialisée. Lorsque le client arrive sur le site internet, il peut acheter « l’élégance à la française pour les plages ». Maillots de bain, tenues, sacs : des dizaines de pépites fabriquées à la main s’exposent.

Il aura fallu trois ans à Florence pour en arriver là, subissant les soubresauts de la crise sanitaire puis énergétique. Elle concède pourtant ne jamais avoir eu l’envie de baisser les bras : « Ce temps a été consacré à la quête de la perfection. Nous avons pu sélectionner des produits européens et éthiques et trouver des petites mains 100% varoises. uJe n’en garde que du bon. » 

La prochaine ambition de la directrice : être référencée dans les plus grands magazines de mode. Une partie de l’équipe part à Paris en novembre à la rencontre des journalistes.

Site internet : https://alvana.fr/

 

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Un atelier de couture « aux normes d’une autre époque » dans une villa à Six-Fours

Dans une charmante villa provençale qui laisse imaginer de belles heures de farniente sous un soleil d’été, de nombreuses « petites mains » sont à l’oeuvre. Au rez-de-chaussée, elles travaillent un satin importé d’Italie en provenance de l’illustre maison de haute couture Boselli. À l’étage, on compte le nombre de maillots de bain créés depuis le début de l’année, en prévision du lancement officiel de la marque Alvana.

« Des normes d’une autre époque »

Florence Boilleau est la directrice de cet établissement « aux normes d’une autre époque ». Après une carrière menée dans le milieu de la mode parisienne, elle est revenue au coeur de la Provence avec l’envie « d’un retour au savoir ». Dans son équipe: des apprentis et des stagiaires en quête d’un grand avenir qui côtoient au quotidien des anciens des plus grandes maison : d’Aubade à Dior et Yves Saint-Laurent. Les jeunes âmes en quête de savoir sont pour la plupart, toutes en apprentissage au lycée de la Coudoulière. Certaines viennent d’obtenir leur baccalauréat et veulent poursuivre avec un BTS. Les autres, sont issus du même parcours mais ont fini par obtenir un contrat en tant que salarié. Et parce que l’idée de Florence est d’être dans la création, sans frontière, elle laisse son bureau ouvert à tous : « Il y a les stagiaires qui se découvrent un nouveau talent en dessinant des modèles mais aussi, des personnes extérieures qui nous contactent pour de nouvelles idées, comme cette femme qui était à la retraite et qui à présent fait du crochet avec de laine d’Ollioules pour nous. Je souhaite que dans mes locaux, les idées fusent. J’ai 50 ans, cette entreprise je l’ai décidé avec l’envie de transmettre quelque chose, de créer un héritage. Le savoir est le plus beau de tous. »

« L’élégance à la française »

Depuis un petit mois, la marque Alvana est commercialisée. Lorsque le client arrive sur le site internet, il peut acheter « l’élégance à la française pour les plages ». Maillots de bain, tenues, sacs : des dizaines de pépites fabriquées à la main s’exposent.

Il aura fallu trois ans à Florence pour en arriver là, subissant les soubresauts de la crise sanitaire puis énergétique. Elle concède pourtant ne jamais avoir eu l’envie de baisser les bras : « Ce temps a été consacré à la quête de la perfection. Nous avons pu sélectionner des produits européens et éthiques et trouver des petites mains 100% varoises. uJe n’en garde que du bon. » 

La prochaine ambition de la directrice : être référencée dans les plus grands magazines de mode. Une partie de l’équipe part à Paris en novembre à la rencontre des journalistes.

Site internet : https://alvana.fr/

 

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« Des normes d’une autre époque »

Florence Boilleau est la directrice de cet établissement « aux normes d’une autre époque ». Après une carrière menée dans le milieu de la mode parisienne, elle est revenue au coeur de la Provence avec l’envie « d’un retour au savoir ». Dans son équipe: des apprentis et des stagiaires en quête d’un grand avenir qui côtoient au quotidien des anciens des plus grandes maison : d’Aubade à Dior et Yves Saint-Laurent. Les jeunes âmes en quête de savoir sont pour la plupart, toutes en apprentissage au lycée de la Coudoulière. Certaines viennent d’obtenir leur baccalauréat et veulent poursuivre avec un BTS. Les autres, sont issus du même parcours mais ont fini par obtenir un contrat en tant que salarié. Et parce que l’idée de Florence est d’être dans la création, sans frontière, elle laisse son bureau ouvert à tous : « Il y a les stagiaires qui se découvrent un nouveau talent en dessinant des modèles mais aussi, des personnes extérieures qui nous contactent pour de nouvelles idées, comme cette femme qui était à la retraite et qui à présent fait du crochet avec de laine d’Ollioules pour nous. Je souhaite que dans mes locaux, les idées fusent. J’ai 50 ans, cette entreprise je l’ai décidé avec l’envie de transmettre quelque chose, de créer un héritage. Le savoir est le plus beau de tous. »

« L’élégance à la française »

Depuis un petit mois, la marque Alvana est commercialisée. Lorsque le client arrive sur le site internet, il peut acheter « l’élégance à la française pour les plages ». Maillots de bain, tenues, sacs : des dizaines de pépites fabriquées à la main s’exposent.

Il aura fallu trois ans à Florence pour en arriver là, subissant les soubresauts de la crise sanitaire puis énergétique. Elle concède pourtant ne jamais avoir eu l’envie de baisser les bras : « Ce temps a été consacré à la quête de la perfection. Nous avons pu sélectionner des produits européens et éthiques et trouver des petites mains 100% varoises. uJe n’en garde que du bon. » 

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