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samedi 23 novembre 2024

« Un geste peut sauver une vie » 

Cécile Limier est professeure de karaté , ceinture noire 6ème Dan. Avec son association « Sport Adapté Santé 83 », elle intervient auprès des femmes qui ont besoin de reprendre confiance en elles, qui cherchent à s’épanouir par une activité physique ou qui souhaitent simplement apprendre les rudiments des sports de défense.

Ce matin-là, c’est au gymnase Reynier qu’elle reçoit un peu moins d’une dizaine de volontaires de tous les âges. Pendant deux heures, elles vont apprendre des techniques d’auto-défense rudimentaires afin d’éviter les situation dangereuses.

Plusieurs fois pendant le cours, la professeure réagit : « On agit, on se dégage et on se sauve les filles. Ni plus ni moins. On ne se prépare pas au combat, on cherche à se mettre en sécurité. » Car si les mouvements du corps sont décortiqués et les postures de combat étudiées encore et encore, l’aspect psychologique de la chose, semble tout aussi important.

Entre deux coups de pieds dans les parties intimes du pauvre homme qui se prête au jeu de l’agresseur ce jour-là, elle confie : « Les femmes ont une énergie fabuleuse mais parfois elles n’en ont pas conscience. Tout ne se joue pas avec la force physique. Lors d’une agression, un bon geste, une posture, tout cela peut faire basculer toutes les chances de votre côté. Ici, on est dans l’apprentissage, on voit comment se positionner. Le but est de faire en sorte qu’elles acquièrent des automatismes simples. C’est à la portée de toutes les femmes, elles doivent avoir confiance en elles.  De nos jours, les agressions peuvent être partout : dans la rue, mais aussi au coeur des foyers. Les violences conjugales existent depuis toujours. » 

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Cécile Limier est professeure de karaté , ceinture noire 6ème Dan. Avec son association « Sport Adapté Santé 83 », elle intervient auprès des femmes qui ont besoin de reprendre confiance en elles, qui cherchent à s’épanouir par une activité physique ou qui souhaitent simplement apprendre les rudiments des sports de défense.

Ce matin-là, c’est au gymnase Reynier qu’elle reçoit un peu moins d’une dizaine de volontaires de tous les âges. Pendant deux heures, elles vont apprendre des techniques d’auto-défense rudimentaires afin d’éviter les situation dangereuses.

Plusieurs fois pendant le cours, la professeure réagit : « On agit, on se dégage et on se sauve les filles. Ni plus ni moins. On ne se prépare pas au combat, on cherche à se mettre en sécurité. » Car si les mouvements du corps sont décortiqués et les postures de combat étudiées encore et encore, l’aspect psychologique de la chose, semble tout aussi important.

Entre deux coups de pieds dans les parties intimes du pauvre homme qui se prête au jeu de l’agresseur ce jour-là, elle confie : « Les femmes ont une énergie fabuleuse mais parfois elles n’en ont pas conscience. Tout ne se joue pas avec la force physique. Lors d’une agression, un bon geste, une posture, tout cela peut faire basculer toutes les chances de votre côté. Ici, on est dans l’apprentissage, on voit comment se positionner. Le but est de faire en sorte qu’elles acquièrent des automatismes simples. C’est à la portée de toutes les femmes, elles doivent avoir confiance en elles.  De nos jours, les agressions peuvent être partout : dans la rue, mais aussi au coeur des foyers. Les violences conjugales existent depuis toujours. » 

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Ce matin-là, c’est au gymnase Reynier qu’elle reçoit un peu moins d’une dizaine de volontaires de tous les âges. Pendant deux heures, elles vont apprendre des techniques d’auto-défense rudimentaires afin d’éviter les situation dangereuses.

Plusieurs fois pendant le cours, la professeure réagit : « On agit, on se dégage et on se sauve les filles. Ni plus ni moins. On ne se prépare pas au combat, on cherche à se mettre en sécurité. » Car si les mouvements du corps sont décortiqués et les postures de combat étudiées encore et encore, l’aspect psychologique de la chose, semble tout aussi important.

Entre deux coups de pieds dans les parties intimes du pauvre homme qui se prête au jeu de l’agresseur ce jour-là, elle confie : « Les femmes ont une énergie fabuleuse mais parfois elles n’en ont pas conscience. Tout ne se joue pas avec la force physique. Lors d’une agression, un bon geste, une posture, tout cela peut faire basculer toutes les chances de votre côté. Ici, on est dans l’apprentissage, on voit comment se positionner. Le but est de faire en sorte qu’elles acquièrent des automatismes simples. C’est à la portée de toutes les femmes, elles doivent avoir confiance en elles.  De nos jours, les agressions peuvent être partout : dans la rue, mais aussi au coeur des foyers. Les violences conjugales existent depuis toujours. » 

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