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Toulon
samedi 23 novembre 2024

Une crèche pour l’amour des traditions 

Ce mercredi en fin de matinée, une foule de personnes anonymes attendaient devant l’hôtel de ville que leur soit dévoilés la traditionnelle crèche de fin d’année réalisée par la famille Dalmas. La rencontre initiée par la municipalité et feu le grand-père de Camille, Georges, il y a de cela presque une décennie, perdure, depuis, à travers les années. Ce santonnier qui travaillait à la main et avait à coeur de réaliser des pièces uniques, a transmis sa passion à son petit-fils. « C’est avec beaucoup d’émotion que j’ai pris le relais et aujourd’hui encore, j’ai une pointe au coeur en pensant à lui » a confié le jeune homme de 27 ans. Celui qui se passionne pour la culture provençale et les métiers d’antan a choisi de créer cette année pour nouvelle pièce : une vendeuse de savon de Marseille.

« Un engagement envers notre Histoire. »

Juste après que le rideau métallique ne se soit levé sur la crèche faisant ainsi apparaître le labeur de la famille à la foule, le maire de la commune Jean-Sebastien Vialatte a tenu à remercier ces derniers « pour la beauté » de leurs créations. Le premier magistrat, a par la suite ajouté « partager cet attachement à la perpétuation des traditions » avant de poursuivre : « Nous avons le même engagement en faveur de notre culture, de notre histoire, de nos costumes, de notre identité alors que certains voudraient nous y faire renoncer ou nous en excuser. À cela, je réponds que nous ne céderons jamais, je dis bien jamais. » Après quelques mots pour Georges, la crèche a été béni par un prêtre avant que les chants traditionnels Provençal ne soient entonner par les membres de l’association Lou Raioulet, venus en costume d’époque pour l’occasion.

À découvrir avant le 10 janvier prochain à l’Hotel de ville.

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Ce mercredi en fin de matinée, une foule de personnes anonymes attendaient devant l’hôtel de ville que leur soit dévoilés la traditionnelle crèche de fin d’année réalisée par la famille Dalmas. La rencontre initiée par la municipalité et feu le grand-père de Camille, Georges, il y a de cela presque une décennie, perdure, depuis, à travers les années. Ce santonnier qui travaillait à la main et avait à coeur de réaliser des pièces uniques, a transmis sa passion à son petit-fils. « C’est avec beaucoup d’émotion que j’ai pris le relais et aujourd’hui encore, j’ai une pointe au coeur en pensant à lui » a confié le jeune homme de 27 ans. Celui qui se passionne pour la culture provençale et les métiers d’antan a choisi de créer cette année pour nouvelle pièce : une vendeuse de savon de Marseille.

« Un engagement envers notre Histoire. »

Juste après que le rideau métallique ne se soit levé sur la crèche faisant ainsi apparaître le labeur de la famille à la foule, le maire de la commune Jean-Sebastien Vialatte a tenu à remercier ces derniers « pour la beauté » de leurs créations. Le premier magistrat, a par la suite ajouté « partager cet attachement à la perpétuation des traditions » avant de poursuivre : « Nous avons le même engagement en faveur de notre culture, de notre histoire, de nos costumes, de notre identité alors que certains voudraient nous y faire renoncer ou nous en excuser. À cela, je réponds que nous ne céderons jamais, je dis bien jamais. » Après quelques mots pour Georges, la crèche a été béni par un prêtre avant que les chants traditionnels Provençal ne soient entonner par les membres de l’association Lou Raioulet, venus en costume d’époque pour l’occasion.

À découvrir avant le 10 janvier prochain à l’Hotel de ville.

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« Un engagement envers notre Histoire. »

Juste après que le rideau métallique ne se soit levé sur la crèche faisant ainsi apparaître le labeur de la famille à la foule, le maire de la commune Jean-Sebastien Vialatte a tenu à remercier ces derniers « pour la beauté » de leurs créations. Le premier magistrat, a par la suite ajouté « partager cet attachement à la perpétuation des traditions » avant de poursuivre : « Nous avons le même engagement en faveur de notre culture, de notre histoire, de nos costumes, de notre identité alors que certains voudraient nous y faire renoncer ou nous en excuser. À cela, je réponds que nous ne céderons jamais, je dis bien jamais. » Après quelques mots pour Georges, la crèche a été béni par un prêtre avant que les chants traditionnels Provençal ne soient entonner par les membres de l’association Lou Raioulet, venus en costume d’époque pour l’occasion.

À découvrir avant le 10 janvier prochain à l’Hotel de ville.

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