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vendredi 18 octobre 2024

Une exposition en centre ville à ciel ouvert pour sensibiliser à la cause environnementale.

Depuis la révolution industrielle, les sociétés et les modes de consommation ont fragilisé l’équilibre de la planète et ont soumis l’environnement aux caprices humains. Comment valoriser le travail que mènent les associations et ONG environnementales ? Quelle est la place de l’art dans la lutte écologique ? 

C’est en se posant ces questions que Nicolas Henry, artiste photographe, et l’association Le Tourdumonde ont produit la Biennale « Photoclimat » qui s’est exposée à Paris au mois de septembre. Mais souhaitant faire de ce festival artistique, écologique et pédagogique une oeuvre d’art à ciel ouvert qui traverse les villes et les campagnes. Ils ont cherché a faire escale ailleurs. La ville de La Seyne-sur-Mer est la première cité a avoir souhaité recevoir ce brillant plaidoyer pour l’environnement en son centre ville.

L’exposition à Paris au mois de septembre.

Philippe Serenon, l’homme qui a rendu cela possible raconte : « Je suis varois et lorsque mon ami Nicolas Henry m’a parlé pour la première fois de son idée, j’ai tout de suite pensé à la ville de La Seyne-sur-Mer car elle condense tout ce qui représente la Méditerranée. Autant sociologiquement qu’avec ses particularités. On a accès à la rade mais aussi au large. La ville de la Seyne-sur-Mer a un passé industriel et maintenant elle se tourne vers le tourisme. Il n’y avait pas meilleure place pour accueillir cette initiative. »

Nathalie Bicais reprend : « Cette biennale entre pleinement dans notre souhait premier : emmener l’art dans les lieux de vie, en centre-ville mais aussi sur les places et a la crèche Josette Vincent. De plus, nous sommes une ville méditerranéenne et s’il n’est pas possible de faire adhérer le public a une idée en lui envoyant constamment des informations négatives, nous pouvons sensibiliser les gens avec des actions ludiques. Nous sommes tous capable de faire un petit geste pour préserver les fonds marins. Cette biennale expliquera par le jeu, les images, les images et ses informations pour notre futur. » 

Nicolas Henry termine : « Il n’est pas simplement question de regarder des oeuvres ici, il y aura également des textes à lire pour comprendre les enjeux, des images à regarder, un noël solidaire décembre, du théâtre dans les rues. C’est tout un univers amusant et savant qui arrive en centre ville. Ce qu’il faut retenir, c’est que ce travail est le fruit d’artistes, de scientifiques et d’associations avec des bénévoles qui travaillent au quotidien pour un monde meilleur ». 

Le parcours d’exposition : Quai Hoche, Place Martel Esprit, Place Bourradet, Crèche Josette Vincent.

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Depuis la révolution industrielle, les sociétés et les modes de consommation ont fragilisé l’équilibre de la planète et ont soumis l’environnement aux caprices humains. Comment valoriser le travail que mènent les associations et ONG environnementales ? Quelle est la place de l’art dans la lutte écologique ? 

C’est en se posant ces questions que Nicolas Henry, artiste photographe, et l’association Le Tourdumonde ont produit la Biennale « Photoclimat » qui s’est exposée à Paris au mois de septembre. Mais souhaitant faire de ce festival artistique, écologique et pédagogique une oeuvre d’art à ciel ouvert qui traverse les villes et les campagnes. Ils ont cherché a faire escale ailleurs. La ville de La Seyne-sur-Mer est la première cité a avoir souhaité recevoir ce brillant plaidoyer pour l’environnement en son centre ville.

L’exposition à Paris au mois de septembre.

Philippe Serenon, l’homme qui a rendu cela possible raconte : « Je suis varois et lorsque mon ami Nicolas Henry m’a parlé pour la première fois de son idée, j’ai tout de suite pensé à la ville de La Seyne-sur-Mer car elle condense tout ce qui représente la Méditerranée. Autant sociologiquement qu’avec ses particularités. On a accès à la rade mais aussi au large. La ville de la Seyne-sur-Mer a un passé industriel et maintenant elle se tourne vers le tourisme. Il n’y avait pas meilleure place pour accueillir cette initiative. »

Nathalie Bicais reprend : « Cette biennale entre pleinement dans notre souhait premier : emmener l’art dans les lieux de vie, en centre-ville mais aussi sur les places et a la crèche Josette Vincent. De plus, nous sommes une ville méditerranéenne et s’il n’est pas possible de faire adhérer le public a une idée en lui envoyant constamment des informations négatives, nous pouvons sensibiliser les gens avec des actions ludiques. Nous sommes tous capable de faire un petit geste pour préserver les fonds marins. Cette biennale expliquera par le jeu, les images, les images et ses informations pour notre futur. » 

Nicolas Henry termine : « Il n’est pas simplement question de regarder des oeuvres ici, il y aura également des textes à lire pour comprendre les enjeux, des images à regarder, un noël solidaire décembre, du théâtre dans les rues. C’est tout un univers amusant et savant qui arrive en centre ville. Ce qu’il faut retenir, c’est que ce travail est le fruit d’artistes, de scientifiques et d’associations avec des bénévoles qui travaillent au quotidien pour un monde meilleur ». 

Le parcours d’exposition : Quai Hoche, Place Martel Esprit, Place Bourradet, Crèche Josette Vincent.

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C’est en se posant ces questions que Nicolas Henry, artiste photographe, et l’association Le Tourdumonde ont produit la Biennale « Photoclimat » qui s’est exposée à Paris au mois de septembre. Mais souhaitant faire de ce festival artistique, écologique et pédagogique une oeuvre d’art à ciel ouvert qui traverse les villes et les campagnes. Ils ont cherché a faire escale ailleurs. La ville de La Seyne-sur-Mer est la première cité a avoir souhaité recevoir ce brillant plaidoyer pour l’environnement en son centre ville.

L’exposition à Paris au mois de septembre.

Philippe Serenon, l’homme qui a rendu cela possible raconte : « Je suis varois et lorsque mon ami Nicolas Henry m’a parlé pour la première fois de son idée, j’ai tout de suite pensé à la ville de La Seyne-sur-Mer car elle condense tout ce qui représente la Méditerranée. Autant sociologiquement qu’avec ses particularités. On a accès à la rade mais aussi au large. La ville de la Seyne-sur-Mer a un passé industriel et maintenant elle se tourne vers le tourisme. Il n’y avait pas meilleure place pour accueillir cette initiative. »

Nathalie Bicais reprend : « Cette biennale entre pleinement dans notre souhait premier : emmener l’art dans les lieux de vie, en centre-ville mais aussi sur les places et a la crèche Josette Vincent. De plus, nous sommes une ville méditerranéenne et s’il n’est pas possible de faire adhérer le public a une idée en lui envoyant constamment des informations négatives, nous pouvons sensibiliser les gens avec des actions ludiques. Nous sommes tous capable de faire un petit geste pour préserver les fonds marins. Cette biennale expliquera par le jeu, les images, les images et ses informations pour notre futur. » 

Nicolas Henry termine : « Il n’est pas simplement question de regarder des oeuvres ici, il y aura également des textes à lire pour comprendre les enjeux, des images à regarder, un noël solidaire décembre, du théâtre dans les rues. C’est tout un univers amusant et savant qui arrive en centre ville. Ce qu’il faut retenir, c’est que ce travail est le fruit d’artistes, de scientifiques et d’associations avec des bénévoles qui travaillent au quotidien pour un monde meilleur ». 

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