Samedi, toute la journée, avait lieu dans les jardins de la Villa Simone, la première fête de l’abeille organisée par la ville. Et parce que cette dernière possède le label des communes qui préservent les pollinisateurs (APIcité) et que Jean-Sébastien Vialatte, premier magistrat de la cité souhaite faire de Six-Fours, « la ville des jardins », le moindre que l’on puisse dire c’est que les choses ont été faites en grand ! Il y avait de nombreux ateliers pour attirer les enfants et leur apprendre tout en s’amusant comment préserver la nature.

Des bombes à graines à faire soit-même.

Des apiculteurs de la ville étaient également présents pour régaler les adultes gourmands avec leurs productions de miel de l’année. Oman et Valentine de l’association « Bzzz » ont tenu un stand qui n’a pas désempli de la journée. « Nous préparons des bombes à graines. Avec quelques de la terre, de l’eau, des choses que l’on trouve dans la nature et un peu d’huile de coude, on peut créer des petites boulettes à distiller ici et là qui feront en sorte que des fleurs pousseront à des endroits habituellement désert. Par ces petits gestes, on aide à nourrir les pollinisateurs et autres insectes qui sont des éléments essentiels à la biodiversité. »  Un peu plus loin, l’association Natur’Abelha rencontre le même succès.

Les abeilles inspirent l’humanité depuis la nuit des temps.

Un bénévole commence par énumérer les différentes particularités des pollinisateurs avant d’inviter les jeunes âmes à un atelier manuel. Avec leurs petites mains et aidés de leurs parents, les enfants réalisent des bougies de cire. Une bonne façon de les mettre en relation avec la production des abeilles. « L’essentiel pour eux, c’est de retenir que sans les insectes et la biodiversité, on peut dire adieu aux fruits et aux légumes. Les enfants retiennent lorsqu’on leur explique les choses avec des images, des mots simples et une activité ludique. Ce genre de journée est une aubaine pour nous qui espérons sensibiliser le plus grand nombre au génie des abeilles et à la beauté du monde naturel. Saviez-vous que les abeilles inspirent l’humanité depuis l’Antiquité ? » En effet, en basse-Egypte, l’abeille était le symbole du pays, et les habitants avaient l’habitude de confectionner des abris pour ces dernières en poterie et en osier. En échange, ils utilisaient le miel comme offrande pour les dieux par le biais d’une boisson fermentée qui servaient aussi de remède en cas de maladie. « Ne serait-ce donc pas un juste retour des choses qu’on prenne à nouveau soin de nos amis à petites ailes ? » conclut un bénévole.

Samedi, toute la journée, avait lieu dans les jardins de la Villa Simone, la première fête de l’abeille organisée par la ville. Et parce que cette dernière possède le label des communes qui préservent les pollinisateurs (APIcité) et que Jean-Sébastien Vialatte, premier magistrat de la cité souhaite faire de Six-Fours, « la ville des jardins », le moindre que l’on puisse dire c’est que les choses ont été faites en grand ! Il y avait de nombreux ateliers pour attirer les enfants et leur apprendre tout en s’amusant comment préserver la nature.

Des bombes à graines à faire soit-même.

Des apiculteurs de la ville étaient également présents pour régaler les adultes gourmands avec leurs productions de miel de l’année. Oman et Valentine de l’association « Bzzz » ont tenu un stand qui n’a pas désempli de la journée. « Nous préparons des bombes à graines. Avec quelques de la terre, de l’eau, des choses que l’on trouve dans la nature et un peu d’huile de coude, on peut créer des petites boulettes à distiller ici et là qui feront en sorte que des fleurs pousseront à des endroits habituellement désert. Par ces petits gestes, on aide à nourrir les pollinisateurs et autres insectes qui sont des éléments essentiels à la biodiversité. »  Un peu plus loin, l’association Natur’Abelha rencontre le même succès.

Les abeilles inspirent l’humanité depuis la nuit des temps.

Un bénévole commence par énumérer les différentes particularités des pollinisateurs avant d’inviter les jeunes âmes à un atelier manuel. Avec leurs petites mains et aidés de leurs parents, les enfants réalisent des bougies de cire. Une bonne façon de les mettre en relation avec la production des abeilles. « L’essentiel pour eux, c’est de retenir que sans les insectes et la biodiversité, on peut dire adieu aux fruits et aux légumes. Les enfants retiennent lorsqu’on leur explique les choses avec des images, des mots simples et une activité ludique. Ce genre de journée est une aubaine pour nous qui espérons sensibiliser le plus grand nombre au génie des abeilles et à la beauté du monde naturel. Saviez-vous que les abeilles inspirent l’humanité depuis l’Antiquité ? » En effet, en basse-Egypte, l’abeille était le symbole du pays, et les habitants avaient l’habitude de confectionner des abris pour ces dernières en poterie et en osier. En échange, ils utilisaient le miel comme offrande pour les dieux par le biais d’une boisson fermentée qui servaient aussi de remède en cas de maladie. « Ne serait-ce donc pas un juste retour des choses qu’on prenne à nouveau soin de nos amis à petites ailes ? » conclut un bénévole.

Samedi, toute la journée, avait lieu dans les jardins de la Villa Simone, la première fête de l’abeille organisée par la ville. Et parce que cette dernière possède le label des communes qui préservent les pollinisateurs (APIcité) et que Jean-Sébastien Vialatte, premier magistrat de la cité souhaite faire de Six-Fours, « la ville des jardins », le moindre que l’on puisse dire c’est que les choses ont été faites en grand ! Il y avait de nombreux ateliers pour attirer les enfants et leur apprendre tout en s’amusant comment préserver la nature.

Des bombes à graines à faire soit-même.

Des apiculteurs de la ville étaient également présents pour régaler les adultes gourmands avec leurs productions de miel de l’année. Oman et Valentine de l’association « Bzzz » ont tenu un stand qui n’a pas désempli de la journée. « Nous préparons des bombes à graines. Avec quelques de la terre, de l’eau, des choses que l’on trouve dans la nature et un peu d’huile de coude, on peut créer des petites boulettes à distiller ici et là qui feront en sorte que des fleurs pousseront à des endroits habituellement désert. Par ces petits gestes, on aide à nourrir les pollinisateurs et autres insectes qui sont des éléments essentiels à la biodiversité. »  Un peu plus loin, l’association Natur’Abelha rencontre le même succès.

Les abeilles inspirent l’humanité depuis la nuit des temps.

Un bénévole commence par énumérer les différentes particularités des pollinisateurs avant d’inviter les jeunes âmes à un atelier manuel. Avec leurs petites mains et aidés de leurs parents, les enfants réalisent des bougies de cire. Une bonne façon de les mettre en relation avec la production des abeilles. « L’essentiel pour eux, c’est de retenir que sans les insectes et la biodiversité, on peut dire adieu aux fruits et aux légumes. Les enfants retiennent lorsqu’on leur explique les choses avec des images, des mots simples et une activité ludique. Ce genre de journée est une aubaine pour nous qui espérons sensibiliser le plus grand nombre au génie des abeilles et à la beauté du monde naturel. Saviez-vous que les abeilles inspirent l’humanité depuis l’Antiquité ? » En effet, en basse-Egypte, l’abeille était le symbole du pays, et les habitants avaient l’habitude de confectionner des abris pour ces dernières en poterie et en osier. En échange, ils utilisaient le miel comme offrande pour les dieux par le biais d’une boisson fermentée qui servaient aussi de remède en cas de maladie. « Ne serait-ce donc pas un juste retour des choses qu’on prenne à nouveau soin de nos amis à petites ailes ? » conclut un bénévole.